Roger Zelazny

Le premier volume de la série des Princes d'Ambre de Roger Zelazny. J'ai lu ce cycle il y a plus de dix ans et j'en garde un bon souvenir, mais bizarrement pas suffisamment pour avoir réellement envie de le relire après plusieurs années. Je me souviens que l'idée de départ m'avait beaucoup séduit mais que le récit s'essoufflait au bout d'un moment.

Le premier volume de la série des Princes d'Ambre de Roger Zelazny. J'ai lu ce cycle il y a plus de dix ans et j'en garde un bon souvenir, mais bizarrement pas suffisamment pour avoir réellement envie de le relire après plusieurs années. Je me souviens que l'idée de départ m'avait beaucoup séduit mais que le récit s'essoufflait au bout d'un moment.

Le premier volume de la série des Princes d'Ambre de Roger Zelazny. J'ai lu ce cycle il y a plus de dix ans et j'en garde un bon souvenir, mais bizarrement pas suffisamment pour avoir réellement envie de le relire après plusieurs années. Je me souviens que l'idée de départ m'avait beaucoup séduit mais que le récit s'essoufflait au bout d'un moment.

Qu'est ce que je me suis ennuyée avec cette lecture. Ce texte, paru pour la première fois en 1985, ne m'a pas du tout convaincue. Il ne se passe rien. Au mieux j'ai découvert les estampes d'Hokusai. Je reste sur ma faim, je suis perplexe et je n'ai pas été emmenée un seul instant dans le récit. La fin de l'histoire est brutale, subite.

Bref, je me serais bien passée d'une lecture comme celle-ci : elle touche du doigt des tas de sujets intéressants (comme l'omnipotence d'un être conscient qui pourrait utiliser le réseau mondial à sa convenance), vous fait croire qu'une intrigue de dingue va se développer, que l'apothéose sera incroyable.. et en fait, non. Grosse déception ! 🙁 Trop contemplatif et passif à mon goût.

Ce texte aura sûrement inspiré des tas de scénarios catastrophiques de prise de contrôle du réseau de données par des IA ou des humains qui transfèrent leur conscience dans ledit réseau. Ou alors l'auteur a choisi ce contexte pour nous offrir un récit philosophique.

Ce texte-ci ne fait qu'effleurer le sujet. Tellement dommage. Je suis passée à côté du message de l'auteur sans doute.

Première lecture de cet auteur dans le cadre d'un défi lecture ! J'avoue que ce n'est pas du tout la couverture qui m'a incitée à me lancer. J'y suis allée à taton et pourtant ce fut une surprise plutôt agréable. A poursuivre car il y a plusieurs tomes. Ok j'avoue qu'il faut s'accrocher quand même pour pouvoir entrer dans cet univers plutôt décalé. Attention spoiled ;-)

Corwin se réveille amnésique dans un hôpital psy où il est "chargé " pour ne pas se réveiller. Dans ses tripes il sent qu'il doit se sauver très rapidement. Intelligent, y allant à taton et à force de déductions il arrive à se sauver et se retrouve chez sœur - Flora. Il feinte et en dit assez peu pour savoir si il doit s'en méfier ou non. Personne en doit savoir qu'il est amnésique et pour lui c'est la seule certitude ! Obligé de lui faire à minimum confiance il donne le change pour rester un peu chez elle tout en tentant de lui soutirer les informations qui lui manquent sur son passé. Arrive un frère, Random. C'est avec lui dès leur rencontre qu'il entre en bataille contre... qui d'ailleur ? C'est à ce moment que Corwin se surprend à savoir d'instinct se battre. Il part avec Random en ce lieu que l'on nomme "Ambre" pour prendre le trône. Julian, un autre frère, rencontré en Ambre se ligue contre lui, idem pour Caine. Aucun de ceux-là ne croient en lui et leur loyauté va au plus fort selon eux... Cet autre frère qui cherche le trône se nomme Éric et possède une force que Corwin sait se méfier. Heureusement un xième frangin, Bleys, va aider Corwin mais à quel prix, une tuerie de masse. Douleur, trahison, solitude, Corwin doit continuer son chemin à tout prix pour ce "pays" d'Ambre, pour lui, car il n'y a pas de doute le roi ; c'est lui !

Un récit de fantasy qui propose une opposition entre science et magie. Malheureusement, cette troisième lecture, pour moi, d'un Zelazny confirme que je n'adhère pas à cet auteur. Je n'ai jamais été pris dans l'histoire ni été intéressé par le moindre personnage. La faute, peut-être, à un style un peu vieillot et plat qui transpose très maladroitement les passages d'action. Pas pour moi...

Lecture plutôt agréable qui m'a tout de même un peu agacé dans son choix de laisser le lecteur en déficit d'information sur la situation par rapport à l'héroïne. Il faut en effet attendre le dernier tiers du livre pour reconstituer le puzzle. Certainement que raconté linéairement, cette histoire aurait été trop simple.

Le récit alterne entre des ambiances méditatives, poétiques, et des scènes d'action brèves et d'autant plus haletantes qu'on ne comprend pas tout ce qu'il s'y passe.



Pour tenter une comparaison toute personnelle, cette lecture m'a fait penser, de par son ambiance, au film Only lovers left alive de Jim Jarmusch, et l'actrice Tilda Swinton serait parfaite dans le rôle de l'héroïne de ces 24 vues du mont Fuji.

Une lecture plaisante sur le moment, de l'humour, des idées sympathiques et originales. Mais bon, sans plus... Peut-être m'attendais-je à beaucoup mieux, après avoir aimé "De Bons Présages", quatre-mains délicieux partiellement mitonné par Neil Gaiman... Cette autre tentative fut parfois drôle et agréable, mais je ne le relirai pas.

Je ne suis pas objectif, car j'adore Zelazny. Un livre dans lequel on retrouve son thème de prédilection sur les mondes alternatifs. Une histoire assez complexe qui se découvre jusqu'à la dernière page, sans pour autant répondre à toutes les questions.

Malgré leur côté divertissant, ces enquêtes tiennent surtout grâce à une grosse ficelle... En tout cas en ce qui concerne les deux premières : l'enquêteur "de génie" qui résout les énigmes ne prend jamais la peine de regarder les infos ou d'ouvrir un journal. Il y apprendrait pourtant des choses qui lui éviteraient de grosses pertes de temps ou de graves cas de conscience (les débats autour du projet atomique...) !

Dans le 2e récit, l'auteur tente d'éviter cet écueil en avançant que la totalité des médias internationaux de ce monde hyperconnecté a dédaigné un communiqué de presse constituant pourtant un véritable rebondissement dans une affaire hors-norme. Personne n'a pris le temps d'interviewer des spécialistes de la question, ce qui aurait eu le même effet. Pourquoi ? Ils ont eu la flemme de décrocher un scoop ?

Pour conclure, Zelazny a tendance à introduire au dernier moment des éléments de background du héros. Ces derniers lui permettent de faire avancer l'histoire ou de le sortir automatiquement d'une situation délicate. Ils le rendent aussi un peu moins lisse.

La forme "roman" aurait sans doute été plus approprié en termes de taille pour développer cet univers. Restent les discussions philosophiques des personnages et les jeux de manipulation qui rappellent certains passages des Princes d'Ambre.

Complexe! Je le confesse, après 50 pages à me retourner le cerveau, j'étais prête à abandonner. Trop de noms, trop de non-dits. Je suis allée consulter la page Wiki***** consacrée au livre, j'y ai trouvé le résumé complet, et la liste des personnages que j'ai imprimée. Honnêtement, sans ce support, je n'aurais jamais compris qui étaient les Premiers, ni le découpage chronologique des chapitres. De plus, je ne sais pas si c'est dû à ma vieille édition, mais on passe sans cesse d'une scène à une autre sans que les paragraphes ne soient séparés, c'est très confus.

Une fois tout cela compris et accepté, le fond est vraiment intéressant. Mais ça ne valait peut-être pas tous ces efforts...

Il se passe des phénomènes étranges entre les personnages de la littérature fantastique classique. Un rituel se prépare. Malheureusement, je suis passé à côté de ce Zelazny.

Un roman bien fade qui ne parvient jamais à donner un sens à la quête de ces hommes à la poursuite de monsieur H.

Chacun suit ses objectifs froidement, sans état d'âme.

Monsieur H, lui n'est obsédé que par la vision d'une femme qu'il voit quand il se trouve en situation cataleptique pour combattre les fièvres de ses maladies.



Sans intérêt.
Lien : https://www.yfolire.net/sf/c..

Absolument génial. J'ai dévoré toute la saga. On est retourné de livre en livre, et Corwin est un personnage en demi teinte auquel on s'attache vite. Un grand classique qui fait partie de ma bibliothèque désormais au même étage que Tolkien ou Robert Jordan

J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire. Je n’ai pas vraiment aimé les personnages. Pour ce qui est de l’univers, il avait l’air pas mal mais on en apprend très peu.

Le cycle des princes d'Ambre est d'une originalité intrigante. L'imagination se partage le réel dans un univers sombre et magique où des personnages circulent à travers des Ombres souvent dangereuses, parfois maléfiques. Lire Zelazny, c'est plonger dans un rêve éveillé, c'est parcourir de grands labyrinthes dont on risque de ne pas sortir, c'est jouer à La Marelle à cheval entre deux mondes, c'est fermer les yeux dans votre chambre et les rouvrir en Ambre.

Toute la série est un must

Qui n'a pas rêvé d'avoir tous les pouvoirs ? Il y a une ville au centre de l'univers où ces pouvoirs n'auront pas d'impact. C'est Ambre, la ville parfaite, où les intrigues se nouent et se dénouent.

Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=43268

J'ai mis la note de : 14.5/20



Mon avis : Le songe d’une nuit d’octobre est un roman bien particulier qui nous transporte dans un univers à la fois étrange et familier, et où l’on s’y sent aussi à l’aise que perturbé. L’auteur a compilé un nombre de références incroyables et la préface aide le lecteur à y voir plus clair. Ses inspirations lovecraftiennes sont nettement visibles dès le résumé et le rendu de l’ambiance ne déçoit pas. Cthulhu est très en vogue ces derniers temps, au vu de tous les romans qui le prônent en composante essentielle de leur intrigue, et Le songe d’une nuit d’octobre l’aborde d’une manière subtile, sans que cela n’alourdisse la lecture ou ne gâche les rebondissements.



L’univers steampunk ne se ressent pas et cela est bien décevant. Les machines ou armes à vapeur ne sont pas mises en avant, et il n’y a pas de description de costumes ou de maisons qui pourraient nous rappeler cette atmosphère mécanique spécifique. Cependant, le lecteur est rapidement plongé dans une ambiance pleine de mystères, associée à de la magie, des enquêtes et des personnages énigmatiques. On ne peut comprendre tout ce qui se passe au début de la lecture. Il faut attendre quelques chapitres pour entr’apercevoir des indices intéressants et être la proie d’un suspense alléchant, qui nous entraînera jusqu’à la toute fin, jusqu’aux toutes dernières pages.



Les personnages principaux sont … des animaux ! Cela est déroutant au départ mais on s’y fait finalement très vite. Dès les premiers instants, il est difficile de s’attacher à eux tant ils sont différents de nous, ont des besoins et des idées étonnants ou des comportements curieux. Le lecteur appréciera tout de même l’humour noir et le professionnalisme de Snuff, chien et narrateur à la première personne, ainsi que la malice de son amie chat, la fourberie d’un de leur camarade hibou ou l’authenticité d’une de leur collègue chauve-souris.



On apprend rapidement pourquoi tous ces animaux sont dotés d’une telle intelligence et l’univers dans son ensemble est crédible. Tout n’est pas expliqué et, même si l’on pourrait trouver cela dommage, cela permet de laisser une grande part de secrets. On ne sait pas très bien ce que sont les Choses, ces drôles de créatures que doit surveiller Snuff ; on ne comprend pas exactement les enjeux de la mission des personnages humains dont les animaux sont les familiers, et la malédiction du maître et compagnon de Snuff n’est pas développée.



L’écriture va droit au but, à l’essentiel, notamment via des descriptions efficaces, un langage peu imagé, et des dialogues qui prennent une grande place. Le rythme est rapide tout du long et la lecture l’est tout autant. Chaque chapitre correspond en fait à une nuit du mois d’octobre, et certaines ne font qu’une page quand d’autres en font plus de dix, l’auteur ayant ainsi évité de faire du remplissage pour rien. Chaque détail a son importance et rien n’est laissé au hasard. Les enquêtes avancent petit à petit et on découvre fréquemment de nouveaux personnages, humains ou non. Ceux-ci sont nombreux et il n’est pas toujours facile de se rappeler qui est qui, ou de toutes les informations sur chacun. Il faut se concentrer lors de la lecture pour ne pas perdre le fil ou l’information qui peut tout faire basculer.



Les descriptions succinctes des humains de l’histoire ne trompent pas et nous plongent dans d’autres histoires fascinantes. On y reconnaît ainsi, sans que cela ne soit explicite, le détective Sherlock Holmes et son esprit affuté, le docteur Frankenstein et ses drôles de machinations, le ténébreux Jack l’Éventreur et ses affaires louches, ou encore le comte Dracula. Le roman met également en scène des sorcières, des mages, des loups-garous, et toutes sortes de créatures fantastiques, qui donnent de la force au livre, dont l’ambiance à la fois glauque et surprenante attire inexorablement le lecteur. Les personnages manquent tout de même cruellement de profondeur, même si cela n’est pas le point central du récit, étant donné que l’histoire avance vite et que seul le Jeu, l’intrigue, mène la danse. Certains sont même des stéréotypes grotesques, comme si le roman voulait se targuer d’être un conte, ce qui pourrait être le cas.



Le songe d’une nuit d’octobre nous embarque dans un récit fantasque agréable, naviguant entre horreur et humour absurde ou noir avec habileté. Le lecteur se prend vite au Jeu et est pris au piège. La fin est quelque peu décevante car elle n’étonne guère, et est certainement le bémol de ce livre.
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