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Citations de Robert Lawrence Stine (236)


Les grillons s'étaient tus. Un silence pesant était tombé sur le centre.Les seuls bruits que nous entendions étaient ceux de nos semelles foulant la terre meuble.
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La bannière attira son attention lorsqu'elle entra.
Sous la bannière se trouvait une étincelante Corvette rouge.
Et debout à côté de la voiture se tenaient Victor et Jasmin.
-Hein?
Chloé s'immobilisa brusquement, doutant d'avoir bien vu.
- Je n'arrive pas à le croire, marmotta Chloé.
Elle revit les deux garçons se battant dans le stationnement obscur la veille et essayant presque de se tuer.
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-Je ne trouve pas ça amusant, dit Eugénie avec brusquerie. Tu crois toujours que c'est tordant quand il m'arrive un malheur.
-Pas toujours, la taquina Chloé. Écoute, peux-tu venir chez moi pour qu'on continue notre complot? Il faut absolument qu'on s'y mette.
-Je ne peut pas, répondit Eugénie, l'air déçu, en hissant son sac à dos sur ses épaules frêles. Je travaille le lundi.
-On n'arrivera jamais à planifier notre meurtre, gémit Chloé. Il faut le remettre tout de suite après Halloween.
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Le pouvoir d'un homme est ici. Dans sa tête. Parce que c'est là qu'il rêve de ses conquêtes. C'est là qu'il prépare ses batailles. Ôte sa tête à un homme et tu lui ôtes le meilleur de lui-même.
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Je m'appelle Steve Boswell, et cette année je suis rentré en quatrième au collège...les enfants du primaire sont de vraies pestes.
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Je vous demande un peu, pourquoi s'attacher à des gens quand on sait qu'on ne les connaîtra pas longtemps?
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Il regarda les gouttes de cire fondue glisser le long de la chandelle et se figer sur le sol froid. Tels les grains d'un sablier, chaque goutte qui tombait le rapprochait de la fin.
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Cette fois, j'étais au moins à soixante mètres de profondeur sous la mer. J'avais entrepris l'expédition de ma vie: je poursuivais la grande raie pastenague. C'est comme ça qu'on l'appelait au bureau des gardes-côtes. Mais moi, je l'avais baptisée Monstra. La raie géante avait déjà mortellement piqué dix nageurs. La population n'osait plus se baigner. Un vent de panique soufflait sur toute la côte. C'est pour cette raison qu'on avait fait appel à moi.
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L'innocence est morte aujourd'hui mais ma haine se perpétuera de génération en génération jusqu'à ce que le dernier des Fear périsse dans les flammes de la malédiction.
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Les nuages noirs couraient dans le ciel, si bas qu’on avait l’impression de pouvoir les toucher.
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Il n’y avait personne dans les jardins ni dans la rue. Bien sûr, nous étions en vacances et beaucoup de gens avaient sans doute quitté la ville. Mais c’était un endroit calme, trop calme. Et très ombragé. Toutes les maisons, entourées d’arbres énormes et touffus, restaient dans l’ombre. La rue était le seul endroit ensoleillé, étroit ruban doré entre leurs masses obscures. « Cette ville est sombre et silencieuse, comme une tombe, me dis-je.
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Le grenier était spacieux, rempli de meubles, de cartons, de vieux vêtements inutilisés, de cannes à pêche, de piles de journaux jaunis.
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Toute la maison semblait gémir, et dehors le tonnerre grondait.
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Parfois, il rêvait de parcourir le monde, d'explorer des régions inconnues, hautes montagnes et jungles impénétrables. Il en ramènerait des photographies qui le rendraient célèbre.
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Au sommet de ce terrain à l'abandon se dressait une grande maison délabrée, cachée en partie par les ombres d'énormes chênes. Tout indiquait qu'autre- fois c'avait dû être une splendide demeure. E l l e s'élevait sur deux étages. E l l e avait un vaste porche en façade et un long toit pentu encadrait de hautes cheminées. M a i s il était évident que plus personne ne s'en occupait depuis longtemps : des volets à demi arrachés pendaient aux fenêtres, les vitres étaient bri- sées ou couvertes de poussière, et bon nombre de tuiles manquaient à la toiture
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Un pâle clair de lune pénétrait dans la chambre des filles, créant des ombres violettes qui semblaient envahir la pièce.
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Le pantin ne la quittait pas des yeux. Son sourire peint était toujours le même, mais son regard était glacé et impitoyable.
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Le pantin semblait fixer Lucy, avec un grand sourire méchant et laid.
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C'était une momie. Debout, calée contre une paroi de granit. Un visage sans yeux, sans bouche, enveloppé de bandelettes.
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L ' a i r était déjà brûlant. Le soleil semblait suspendu au-dessus du désert comme un ballon orange
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