La médecine tibétaine, elle, n’a jamais cessé de considérer l’urine comme un miroir qui reflète clairement l’état de santé. Sur une Tangkha3 illustrant le premier des quatre Tantras de la médecine tibétaine (rGyud bzhi), l’arbre du diagnostic comporte trois branches décrivant trois méthodes d’examen : l’observation, la palpation et l’interrogation.