La grand-mère s'arrête un instant pour boire son thé et pense à tous ces enfants qui, comme Valéria, ont peur d'affronter le regard moqueur des autres. Des regards comme des flêches empoisonnées qui visent le coeur... (p.25)
"Je voudrais que ces pierres dorées soient une couronne de prince. Dans un conte j'ai lu qu'un crapaud s'était transformé en prince simplement parce qu'on l'avait aimé." (p.30)
Parfois dans la vie - si on sait regarder - des cailloux gris deviennent des pépites d'or et des crapauds verts se transforment en princes ou en princesses. (p.9)
Bête comme une vache, un mouton ou une poule ! Plus ses camarades la traitent de la sorte, plus Valéria souffre et plus ses notes dégringolent... (p.18)