Tandis qu'il les observe en reprenant ses esprits, les marins s'affairent autour de lui comme s'il était transparent. À genoux à même le pont, dans leur salopette en toile cirée jaune, ils trient les poissons en les jetant dans de grandes bassines en plastique.
Leurs mains gantées de caoutchouc s'activent en un ballet incessant. On sent l'habitude du geste, l'automatisme du lancer. Les bourrasques rabattent les embruns sur son visage en vagues régulières.
Il serre instinctivement la couverture autour de ses épaules et continue d'observer ce ballet muet.
Un jour lors d'une séance de dédicaces, un homme vient la voir. Il l'a fait rire, l'invite à boire un verre. Elle ne le voit pas arriver parce qu'elle ne l'attendait pas. Elle était déjà heureuse. Il ne fait que compléter son bonheur. THE END.
J'ai toujours le profond désir de réparer, de recoller, de récupérer, de donner une seconde chance aux choses et aux personnes.
Même si on avait une petite différence de trente (centimètres, ans, kilos), je me suis immédiatement identifiée
Il n’y a pas de meilleur moment que celui où l’on est entouré par ceux qu’on aime (p.462)
Il y avait toujours de la lumière même dans les moments les plus sombres (p.191)
L’attente est propre à celui qui ne se satisfait pas d’aujourd’hui (p. 429)
La vie vaut toujours la peine si seulement tu souris (p.247)
Parfois la vie aligne les cadeaux (p.199)