Nationalité : Argentine
Né(e) à : Rosario, Argentine , 1967
Né(e) à : Rosario, Argentine , 1967
Biographie :
Mariana Travacio est née à Rosario en Argentine, a passé son enfance à São Paulo au Brésil, et vit actuellement à Buenos Aires.
Diplômée en psychologie de l'université de Buenos Aires, elle y a enseigné la psychologie médico-légale.
Elle est également titulaire d'une maîtrise en création littéraire de l'Universidad Nacional de Tres de Febrero, et traduit du français et du portugais.
Ses nouvelles ont reçu de nombreux prix nationaux et internationaux et ont été publiées dans des magazines et des anthologies en Argentine, en Uruguay, au Brésil, à Cuba, en Espagne et aux États-Unis.
Elle est l'autrice des recueils de nouvelles Cotidiano (2015), Cenizas de Carnaval (2018), Figuras infinitas (2021), et de deux romans, Como si existiese el perdón (2016) et Quebrada (2022), traduits dans plusieurs langues.
+ Voir plusMariana Travacio est née à Rosario en Argentine, a passé son enfance à São Paulo au Brésil, et vit actuellement à Buenos Aires.
Diplômée en psychologie de l'université de Buenos Aires, elle y a enseigné la psychologie médico-légale.
Elle est également titulaire d'une maîtrise en création littéraire de l'Universidad Nacional de Tres de Febrero, et traduit du français et du portugais.
Ses nouvelles ont reçu de nombreux prix nationaux et internationaux et ont été publiées dans des magazines et des anthologies en Argentine, en Uruguay, au Brésil, à Cuba, en Espagne et aux États-Unis.
Elle est l'autrice des recueils de nouvelles Cotidiano (2015), Cenizas de Carnaval (2018), Figuras infinitas (2021), et de deux romans, Como si existiese el perdón (2016) et Quebrada (2022), traduits dans plusieurs langues.
Source : cambourakis.com
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Citations et extraits (4)
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Si jamais l'angoisse vous prend, regardez toujours vers dehors et regardez bien. (...) Regardez toujours vers dehors, aussi loin que vous pouvez, et rappelez-vous que vous cherchez la mer.
Par ici, les familles se font et se défont au gré du vent, aussi facilement que le ciel se décompose et se recompose au gré de nos orages.
On n'abandonne pas son mari, on n'abandonne pas sa terre, on n'abandonne pas ses morts. On n'abandonne pas, Lina, on n'abandonne pas.
Il n'y avait ni éclairs, ni tonnerre, ni rien. Juste une pluie pacifique qui continuait à tomber comme sans le faire exprès.
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