Malika Ferdjoukh

une très belle découverte

[...] Trouville Palace fleure bon les vacances au bord de la Manche, les pêches pantalon relevé et… dites, à propos, vous préférez Deauville ou Trouville ?
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On pense aux Quatre filles du Docteur March en le lisant, parce qu’il est question du manque d’argent pour survivre, de complicité et parce que le récit s’étale sur un an aussi. Mais c’est un univers original que présente Ferdjoukh et c’est un véritable coup de cœur pour la lectrice que je suis. Une impression de grande joie s’échappe des pages et au moment de terminer les quatre livres j’ai eu l’impression d’une grande perte…
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je n ai pas très bien compris.

J ai bien ce livre mais je trouve qu avant l aventure il avait trop de choses qui" embrouillé la tète."

J'ai plutôt aimé découvrir ce petit ouvrage. Malika Ferdjoukh utilise un style simple et direct. On se prend vite d'affection pour nos trois compères et j'avoue que la pauvreté infantile est un sujet qui me fait froid dans le dos. Pourtant, je n'ai pas du tout été mal à l'aise durant cette lecture. Je l'ai même trouvé plaisante.







De plus, la fin est assez déconcertante et pas du tout prévue. J'ai beaucoup aimé ce point ! C'est rare qu'on arrive à m'étonner avec la fin avec un roman jeunesse donc bravo !







Le gros défaut est je trouve, le manque de description... Ce qui me gêne un peu vu que j'attendais de ce roman, d'en savoir un peu plus sur la ville de Prague. Mais Malika Ferdjoukh se contente juste de donner des noms (de la synagogue, de l'île sur le fleuve) mais ne les décrit jamais et c'est un peu dommage.
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Un roman pour enfants délicieux, un conte de Noël aux personnages très attachants, écrit dans un style très agréable à lire avec une touche d'humour. Un coup de coeur !
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Difficile de résumer l’esprit qui règne dans ce roman : tour à tour profondément ancré dans le quotidien et subitement filant vers la fantaisie la plus débridée. [...]
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Lecture jeune, n°117 - Pourquoi Celestino n’a-t-il pas livré aux carabinieri la jeune voleuse qui venait de dérober des briquets en or dans une papeterie ? Parce que, «boum», lui est revenu en mémoire un très pénible souvenir de son adolescence : un été, il s’est retrouvé très souvent face à un garçon de son âge rescapé d’une traversée clandestine. Oisif, privilégié, Celestino peine à cerner cet être qui n’est pas du même côté de la barrière. La peinture de l’incompréhension entre deux ados venant de deux mondes si différents donne lieu à un roman émouvant qui bousculera le lecteur. Agnès Donon

Lecture jeune, n°117 - Celestino nous livre les souvenirs de l’été de ses quatorze ans. Cet été passé sur l’île de Vulcano, au nord de la Sicile, fut celui de classiques retrouvailles familiales – une grand-mère nostalgique, une cousine délurée et troublante – mais aussi celui de la confrontation répétée et brutale à l’autre et à la différence, en la personne d’un jeune vendeur à la sauvette. L’auteur se prête à un exercice de style – le classique souvenir de vacances adolescentes – dont elle maîtrise parfaitement les codes. Elle décrit habilement cet adolescent pas très sûr de lui, toujours arrangeant pour ne pas être en proie à la mauvaise conscience, et l’atmosphère étouffante de cette famille bourgeoise, sur une île à l’odeur d’«oeuf pourri». Evidemment elle n’en reste pas là et surprend le lecteur en introduisant une autre réalité, celle d’un jeune sans papiers qui tente de survivre. Incompréhension, haine et violence sont les seuls sentiments qui, dans cette urgence, se révéleront. Réseau de lecture : Sur le même sujet – un adolescent bien loti confronté à un jeune immigré clandestin de son âge –, on peut lire Entre chien et Lou de Florence Thinard chez Thierry Magnier (voir notice 16). Hélène Sagnet