Dans les campagnes reculées du Malawi et dans diverses autres cultures, dès l’instant des premières menstruations de la jeune fille, une Hyène viendra la « purifier » durant la nuit. Ces hommes sont désignés par la communauté pour initier les fillettes désormais fécondes, qu’elles aient neuf ans ou quinze ans. L’« épuration » se fait sans protection aucune, le sperme de la Hyène ayant soit-disant des « vertus magiques réparatrices ». Ces individus sont rémunérés pour ce « travail accompli ». Et si la fille ne s’y soumet pas, le malheur sera jeté sur sa personne. Elle en tombera gravement malade. Et malgré les épidémies de sida, les habitants n’y voient aucun lien déductifs. Les femmes d’âge mûr initient les jeunes à l’acte sexuel à travers une danse mimant les mouvements adéquats pour satisfaire leurs époux. Cette mission de transmission intergénérationnelle est prise très au sérieux par les doyennes, quelquefois anciennes victimes de passages à tabac de maris insatisfaits. Les coutumes de cet acabit érigent de véritables finasseries, systématisant et standardisant la domination de l’homme sur les femmes et les enfants des deux sexes. L’Européen se glisse alors dans ces coutumes locales, les adoptant lui-même, et ce, malgré l’instruction dont il peut jouir, notamment vis-à-vis de la connaissance des lois.
Facebook est également la vitrine d’un autre phénomène moins connu. Une tendance qui entretient le trafic sous-marin et qui anime les plateformes d’échanges. Qu’il s’agisse de Google, YouTube, ainsi que du Deepweb et du Darkweb, les prédateurs ingénieux volent les photos de vacances de nos enfants en supprimant la petite culotte portée par le mioche gambadant gaiement sur la plage. La modification est ahurissante, le petit se retrouve nu et vendu sur le web aux plus offrants. Quelques enfants nourrissent ce trafic d’images sans en être avertis, ni même leurs parents, totalement sidérés, s’ils l’apprennent un jour.
Affirmer que les femmes ont le droit de se vendre, c’est camoufler le fait que les hommes ont le droit de les acheter.
Affirmer que la prostitution réduirait le taux de viols n’est qu’une croyance populaire, un cliché, qui autorise l’agression d’une poignée de femmes, pour que les « autres femmes » puissent soi-disant vivre avec moins de risques d’être violées. Une aberration totale !
Qui doute est plongé dans l’angoisse, tandis que l’individu convaincu se cramponne à une option unique de pensée-vérité absolue et par définition apaisante.
Chaque image d’agression sexuelle d’enfant est un crime. Un crime qui se répète inlassablement lors de chaque partage du matériel représentant l’agression sexuelle d’enfants. Chacun de ces crimes cache une réalité non virtuelle. Une histoire tragique ; celle d’un mineur en chair et en os, torturé sexuellement, quelque part dans le monde. En fermant les yeux, nous sommes complices de ces crimes et manquons à notre devoir protectionnel inscrit dans toutes les conventions internationales.
Selon le DSM-4, les caractéristiques essentielles d’une paraphilie sont des fantaisies imaginatives sexuellement excitantes, des impulsions sexuelles ou des comportements survenant de façon répétée et intense, et impliquant soit des objets inanimés, soit la souffrance ou l’humiliation de soi-même ou de son partenaire, ou encore des enfants ou d’autres personnes non consentantes. Le DSM-5 viendra ensuite adoucir ces propos, passant de déviances à « intérêts sexuels inhabituels ». L’exhibitionnisme, le fétichisme, le frotteurisme, la pédophilie, le masochisme sexuel, le sadisme sexuel, le transvestisme fétichiste et le voyeurisme y sont cités. Pourtant, la scatologie, l’urophilie, la zoophilie, l’émétophilie (vomi), l’apotemnophilie (fantasme d’être tué), la vorarephilie (manger son partenaire), l’autonepiophilie (aimer porter une couche-culotte) et tout un tas d’autres « courants » hors normes existent bel et bien. Ces prestations sont régulièrement réclamées auprès des femmes et enfants mis en vente, et spécifiquement par des époux dont la partenaire refuse ce type de rapport particulier.
Le déni est excessivement moins douloureux et est plus rassurant que la prise de conscience.
Et si un soldat (ONU - OTAN) réussit à filmer et dénoncer ses collègues qui abusent sexuellement de jeunes filles avec des animaux, ce dernier se verra emprisonné durant cinq années pour avoir porté préjudice à la mission première.
L'écrivaine (Julie Bindel) précise que le lien entre les militants transgenres et les groupes lobbyistes pro-prostitution est régulièrement explicité par l'idée que beaucoup de femmes transsexuelles basculent dans la traite sexuelle parce qu'elles sont exclues du marché du travail. L'écrivaine suggère une avance supplémentaire : l'identité des femmes trans repose en partie sur la nécessité de s'hyper-sexualiser.