Chaque image d’agression sexuelle d’enfant est un crime. Un crime qui se répète inlassablement lors de chaque partage du matériel représentant l’agression sexuelle d’enfants. Chacun de ces crimes cache une réalité non virtuelle. Une histoire tragique ; celle d’un mineur en chair et en os, torturé sexuellement, quelque part dans le monde. En fermant les yeux, nous sommes complices de ces crimes et manquons à notre devoir protectionnel inscrit dans toutes les conventions internationales.