(…)
nous guettons ce qui convulse,
l’ondulation des convulsions.
Rien ne comptait, car personne
ne nous prêtait plus attention.
Nous caressions l’incaressable
Dans le chaos à l’honneur
Le réel n’a d’autre signe
que l’oiseau-marionnette zigzaguant là-haut.
…
L’oiseau-marionnette qui zigzaguait fonce sur nous.
Il pointe son bec vers le soleil.
Alors qu’il ouvre sa crécelle,
l’eau du ruisseau apportée par ses oisillons nous dégouline dessus.
Je regarde le sourire de ta branche ridée.
C’est important. Tout comme le temps.