Citations de Lara Adrian (199)
- Jamais je ne pourrais te laisser t'en aller, Gabrielle. Car, que tu l'acceptes ou non, je t'offre mon coeur. Je t'offre également mon amour, si tu le veux.
Elle déglutit.
- Pardon ?
- Je t'aime. Gabrielle Maxwell, je t'aime plus que la vie elle-même. Il y a si longtemps que je suis seul.. j'étais trop stupide pour le reconnaître... jusqu'à ce que ce soit quasiment trop tard. Ce n'est pas... trop tard, n'est ce pas ?
- Je suis à la maison quand je suis avec toi, dit-il, la voix rauque d'émotion quand il la serra contre lui. C'est la seule maison dont j'aurai jamais besoin.
- Si tu étais mienne, murmura-t-il, je traverserais jusqu'aux flammes de l'enfer pour te protéger d'un homme comme moi.
- J'arrêterais de respirer, pour elle, si elle me le demandait, répondit-il, surpris lui-même par la profondeur de son dévouement.
- Tu veux que je retrouve un chien perdu, c'est ça ?
- T'as bien dit que tu ferais n'importe quoi, n'est-ce pas?
- C'est vrai. (Chase eut un petit rire.) C'est d'accord. Je m'en charge.
Dante sortit de sa poche les clés de la Porsche et les lança à l'autre vampire. Alors que Chase se retournait pour partir, Dante ajouta :
- Au fait, le petit bâtard répond au nom d'Harvard.
- Harvard, répéta Chase d'une voix traînante. (Il hocha la tête et adressa un sourire narquois à Dante.) J'imagine que ce n'est pas une coïncidence.
Dante haussa les épaules.
-Tu vois que ton pedigree universitaire sert à quelque chose.
Par la barbe de Moise en roller sur l autoroute !
- Tu es si dangereuse, murmura t-il contre sa bouche. J'aime t'avoir ici sur mon territoire. Je ne pensais pas que je ressentirai ça. Dieu sait que je ne devrais pas.
[...]
Il n'imaginait pas partager son lit avec une autre, à présent. Personne ne saurait jamais remplacer Gabrielle dans son coeur.
- Elle est super, Lucan. Si tu savais, elle est tout simplement géniale.
- A la tombée de la nuit, tu prendras Tegan avec toi pour aller interroger Chase. Ramène-le en un seul morceau compris ? Puis tu mettras les choses au clair avec ta Compagne de sang.
- Me charger de Chase ne me fait pas peur, répondit Dante. C'est pour l'autre partie que je ne sais pas trop comment m'y prendre. Tu as un conseil à me donner Lucan ?
- Bien sûr [...] Tiens-toi prêt, car tu pourrais bien finir à genoux avant la fin de la nuit.
- Pourquoi ? interrogea -t-il sur un ton accusateur. Pourquoi me faire ça à moi?
- Tu ne le sais vraiment pas? (Elle soutint son regard et son courroux tandis que des gouttelettes de sang cramoisi venaient entacher le blanc neigeux de son peignoir.) Parce que je t'aime, Lucan. Et que c'est tout ce que j'ai à t'offrir.
- Si vous trouviez quelqu'un de blessé, en sang dans la rue, est-ce que vous prendriez le temps de regarder s'il est différent de vous avant de vous occuper de lui?
Depuis l'ombre protectrice de l'abri de lianes, Nikolaï entendit les pas de Renata qui s'approchait.
—Toc, toc, appela-t-elle à travers les feuilles. Je vais entrer, alors attention à la lumière. Ça m'embêterait que tu me la joues pop-corn.
- Tu es très importante pour moi, lâcha-t-il, frustré par sa lutte avec les mots, qu'il aurait voulus parfaits pour la circonstance. Je ne sais pas comment c'est arrivé, ni ce que ça va vouloir dire pour toi - si ça veut dire quelque chose -, mais il faut que je le dise, parce que c'est la vérité. C'est la réalité et je n'ai jamais ressenti ça avant... pour personne.
- Ne pars pas, la supplia-t-il d'une voix pâteuse, les mots entravés pas l'allongement de crocs spectaculaires. Je ne vais pas te faire de mal.
- C'est trop tard, Dante. C'est déjà fait, répondit-elle.
- Après le désastre de ma relation avec Eva, je n'étais pas prêt à m'ouvrir à une autre femme. Mais toi, Dylan... [...] Toi, tu es le feu même. Je te touche et je m'enflamme. Je t'embrasse et je brûle de t'embrasser encore. Tu me consumes comme aucune autre femme avant toi et, j'en suis certain, comme aucune ne le pourra jamais plus.
Elle se redressa, prit son visage dans ses mains et l'embrassa. Lorsqu'elle s'écarta, elle ne put s'empêcher de lui déclarer combien il comptait pour elle.
- Je t'aime, Rio. Cela me fait terriblement peur de le dire à haute voix, mais c'est vrai. Je t'aime.
- Dios ! soupira-t-il. Dylan... J'ai commencé à tomber amoureux de toi dès le début. Mais, comment tu peux m'aimer tel que je suis aujourd'hui, ça, je ne comprends pas...
Aucun doute n'était permis quant à sa nature profonde : c'était un mâle solitaire, meurtrier, entraîner à tuer et d'une indifférence presque parfaite. Mais il émanait de lui une vulnérabilité stupéfiante tandis qu'il se tenait devant elle, trempé, la main tendue vers elle dans un geste de pure bonté. Et si le guerrier taciturne lui avait paru mystérieux auparavant, cette nouvelle version était encore plus déroutante. Cela lui donnait envie de courir dans ses bras et d'y rester pour toujours.
- Vous seriez surpris. Je connais beaucoup de gens, répliqua-t-elle, d'autant plus insistante qu'il semblait évasif. Testez-moi.
Ses lèvres charnues dessinèrent un sourire.
- Est-ce une invitation, Alex?
- Ce que j'essaie de te dire, c'est que je suis en train de tomber amoureux de toi, amoureux fou. Je ne m'attendais pas à ça. Je pensais même ne jamais désirer me retrouver dans cet état, mais...Ah ! Seigneur, Renata... chaque fois que mon regard plonge dans tes yeux, la même chose me vient à l'esprit: " pour toujours".
- Je te regarde, Rio, je te vois. Je te touche. Toi, dit-elle avec solennité.
- Ces cicatrices...
-... sont accessoires, acheva-t-elle à sa place.
- Je ne suis pas en train de tomber amoureuse de lui, n'est-ce pas ?
Le désir se fiche complètement de la bienséance.