Julien Neel

Bien mais à la fin on ne comprend plus grand chose...

Dans ce tome, on retrouve Lou qui se rend à Mortebouse avec ses amies pour un "retour aux sources". Elles décident donc de construire une immense cabane dans un arbre aidées des adultes du village, de Tristan et Jean-Jean et des étoiles de Mortebouse, un groupe de majorettes. J'ai beaucoup aimé ce tome d'une part parce que les dessins sont précis et, à mon sens, magnifiques et aussi parce que ce tome explique le tome "l'âge de cristal" et éclaircit certaine choses.

J'ai encore beaucoup aimé, on ne se lasse pas de suivre ses aventures (même si j'ai relu cette BD 5 fois) Je le conseille à tous, petits et grands et vous souhaite bonne lecture !

Lou est désormais une jeune femme ayant acquis une certaine maturité. J'ai beaucoup aimé passé des heures à lire les différents tomes de Lou durant de nombreuses années. Le sixième tome m'avait particulièrement ému car on découvrait une Lou devenue adulte devant surmonter de nombreuses épreuves. C'est l'été ! Lou vient passer des vacances à Mortebouse en compagnie de sa mère, son frère et deux de ses amies : Mina et Marie-Emilie. Un vrai retour aux sources s'impose ici, plus de réseaux sociaux, les jeunes femmes reviennent à une époque qu'elles n'ont pas connu. Elles ne sont pas venues à Mortebouse par hasard. Lou, Mina et Marie-Emilie veulent construire une cabane dans un arbre. C'est aussi l'occasion de retrouvailles entre Tristan et Lou, leur histoire d'amour avait été laissé en suspend dans le tome 5. Marie-Emilie s'ouvre peu à peu et assume ce qu'elle est vraiment. Ainsi, on suit une véritable évolution des personnages qui ont acquis une certaine maturité au fil des tomes. Je dois dire que la mamie de Lou m'avait terriblement manqué, toujours en train de se plaindre et de piquer des colères à tous les membres de sa famille. Cela faisait un bon moment que je n'avais pas passer un doux moment à Mortebouse.

Quel plaisir de retrouver Lou après tant d'années ! J'étais impatiente de lire la suite, mais j'ai quand même attendu un certain moment, parce que je n'étais pas sûre d'apprécier. En effet, l'étrange sixième tome m'avait déçue, je n'avais rien compris à l'histoire.



Cette fois, nous suivons Lou qui va construire une cabane avec ses ami.e.s à Mortebouse, loin de tout, et sans réseau. J'ai eu grand plaisir à retrouver certains des personnages, comme la grand-mère qui me fait toujours autant rire à râler tout le temps, mais aussi les autres : la maman, Marie-Emilie, Mister Juice...



Nous nous situons entre le cinquième et le sixième tome, et j'ai ainsi eu un début de réponse sur ce dernier qui n'avait jusque-là aucun sens. Les couleurs sont de nouveau plus chatoyantes, et les illustrations toujours aussi belles, ce qui m'a fait plaisir.



Peut-être est-ce l'âge (ha, ha !) puisque quelques années me séparent de ma dernière lecture de Lou !, mais j'ai trouvé l'histoire moins amusante, et que certaines choses allaient trop vite. J'ai apprécié ce que Julien Neel a décidé pour Marie-Emilie, ce qui a permis d'aborder un sujet d'actualité de manière naturelle, mais ça tombait un peu comme un cheveu dans la soupe sans plus d'explications, ce qui est un peu dommage... L'idée reste bonne et est abordée avec un véritable naturel, ce qui est appréciable.



Les personnages et les situations évoluent, et nous finissons la bande-dessinée sur ce que le Monde devient ensuite, ce qui me donne envie de relire L'âge de cristal afin de mieux comprendre.



J'ai hâte de lire la suite, et j'espère que Julien Neel la sortira prochainement !
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Après un tome six en demi (voire tiers)-teinte, le lecteur accroc retrouve Lou au meilleur de sa forme.

C'est "retour à Mortebouse", pour tout le petit monde de Lou!

Qu'on se le dise: il y aura cabane dans un grand arbre et grosse teuf sous le signe de l'amour (deux pleines pages de toute beauté).

Mortebouse ne capte rien de rien, et ce silence va s'étendre...au monde entier,après cette étrange nuit festive et orageuse à la suite de laquelle Lou va devoir chausser des lunettes (en passant, Julien Neel gratifie le lecteur d'une page floue). C'est fou!

... Et toujours ces succulentes pages de garde en forme de journal de Lou, qui rendent hommage au plaisir d'écrire et de coller.

un bon avant-dernier opus pour la première saison de cette attachante saga!

Les lecteurs suivent un nouvel été du personnage de Lou avec ses proches chez sa grand-mère qui a un nouveau compagnon.

Ce tome est centré sur la construction d'une cabane dont le point d'appui est un arbre emplit de souvenirs pour la mère de Lou. En effet, elle y a reçu notamment son premier baiser !

La construction achevée, ce lieu initie une réflexion au sujet de l'amour...



Mon avis : un tome dont l'histoire est drôle, touchante et accaparante ! Les illustrations accompagnent le côté estival et festif du récit. Des relations se nouent et d'autres reprennent. C'est intriguant de suivre l'évolution au fur et à mesure des personnages. En bref, un tome agréable à lire !

Ce tome est beaucoup mieux que le précédent. On retrouve l'histoire et les personnages des tomes 1 à 5. L'histoire est mieux et l'idée de la cabane est vraiment bien !

Après un tome hors-sol, on retrouve Lou, ses copines et sa famille dans un épisode plus « classique ». C’est d’ailleurs sa force et sa faiblesse, « La cabane » est à la fois la quintessence de Lou et son stéréotype. En magnifiant l’amitié et l’amour dans des situations très bien cadrées, on perd la fraicheur et la simplicité des premiers tomes.

Lou, ses amis, sa mère et Fulgor ont décidé de passer l'été à Mortebouse. J'ai aimé des moments très forts dans le livre, celui ou la mère de Lou redécouvre son "ami" l'arbre et que tout le monde décide de construire une cabane à cet endroit ; celui ou la cabane est entièrement finie ; et enfin celui ou ils font un "bain de minuit de la joie".

C'est un album qui fait du bien.

M

Grande fan de Lou, une réelle addiction j'adore son univers qui m'a transportée toute mon adolescence !

J'ai l'impression de me reconnaître dans ses petites histoires et d'évoluer avec elle.

Merci a Julien Neel de nous avoir accompagné moi et mes amies avec Lou a nos côtés !

Les événements de ce volume se passent avant ceux du tome 6, et apporte pas mal de réponses aux nombreuses interrogations qui en découlaient...

Toute la troupe se retrouve à Mortebouse pour un été à la campagne loin des mauvaises ondes de la ville tout en appréciant la présence des êtres chers et de la beauté de la nature...

Ahhhh ! Enfin un début de réponse !

L’histoire de ce septième tome se déroule avant le sixième… j’avoue que j’aurais nettement préféré lire celui-ci avant, ça aurait été moins frustrant donc plus agréable et tout autant mystérieux… d’ailleurs, j’ai presque envie de relire le 6.

On n’a pas toutes les explications (on ignore toujours ce que sont les cristaux et pourquoi ont-ils poussé comme du chiendent), l’auteur nous laisse libre de nous faire notre propre opinion sur beaucoup de choses, mais c’est suffisant pour me satisfaire.



Lou, sa mère, Fulgor, Mina et Marie-Emilie se rendent à Mortebouse pour les vacances. Elles comptent construire une cabane dans le jardin de la mamie et y vivre un temps. Malheureusement, elles n’avaient pas prévu qu’il n’y aurait pas d’internet pour les aider à mener à bien leur construction. Qu’à cela ne tienne, elles se rendent à la bibliothèque selon les conseils de Paul.

Tristan, Jean-Jean, leurs deux potes Preston et Manolo, ainsi que Karine, monsieur Raisin et les parents de Marie-Emilie rejoigne notre héroïne à Mortebouse. C’est l’occasion de passer à nouveau de super vacances.



Cette fois, le personnage qui m’a saoulée, c’est Tristan. Il passe son temps à pleurnicher sur son sort au lieu d’agir et quand il se décide, il fait de la merde (bourde annoncé dans le tome 6)… on ne peut pas dire non plus que Lou joue franc-jeu, sa relation d’amitié avec Paul est quand même bien ambiguë et je comprends que son amoureux perde pieds et que sa confiance en prenne un coup, mais ça n’excuse pas son comportement.

Par contre, j’ai adoré Marie-Emilie. Elle a abandonné son cynisme de façade : elle semble s’être trouvée et paraît mieux dans sa peau… ça se ressent vachement et c’est appréciable.



Le personnage qui me laisse dubitative, c’est Clément Fifrelin. Il cache son visage refait sous des bandages, a lâché son travail de médecin et semble avoir totalement changé, genre pétage de plomb zen. Un tel changement… pas sûre que ce soit lui. Est-ce que ce ne serait pas plutôt Richard qui, ayant flippé et abandonné la mère de Lou enceinte, est revenu et cache sa honte sous ce déguisement ? Surtout qu’il a quitté sa graoute… je ne vois peut-être que ce que j’ai bien envie de voir. Le prochain tome m’en révélera plus… ou pas.



J’ai adoré ce septième tome… il avait aussi un goût de vacances et ça m’a fait du bien.
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Lou, c’est la BD qui a rythmé mon enfance, mon adolescence et mon passage à l’âge adulte. J’ai grandi avec cette héroïne rêveuse de 12 ans qui vit seule avec sa maman, avec qui elle forme un duo détonnant. Au fil des tomes, Lou grandit et devient plus mature, plus adulte, ce qui fait de cette histoire une belle tranche de vie. Les dessins et la trame évoluent également et laissent place à plus de profondeur dans les tourments de la jolie blonde et son entourage. Les premiers amours, l’adolescence et ses changements, l’amitié et la famille tiennent une place importante dans l’histoire en ouvrant de jolies pistes de réflexion.
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Après avoir été déboussolée avec le tome 6 de la saga, j’étais curieuse de découvrir la suite, espérant retrouver les personnages auxquels je me suis attachée dans les 5 premiers tomes. Lou, sa mère, son petit-frère et ses deux copines Mina et Marie-Émilie partent pour des vacances à Mortebouse, chez la mémé de Lou. La petite troupe se met en tête de construire une cabane, où tous vivraient en harmonie.



Ce retour à Mortebouse m’a beaucoup plu, j’ai aimé retrouver les personnages dans un élément que l’on connaissait déjà. Avec un rythme un peu plus lent, ils vivent au jour le jour, dans une sorte de nature parfaite, loin des nouvelles technologies (et Mina ne cesse de nous le rappeler !) et des drôles de cristaux roses qui avaient émergé dans le tome précédent. Cette intrigue, où tout semble mis un peu sur pause, nous permet de découvrir plus en profondeur les pensées de certains personnages.



Un septième tome intéressant, qui m’a permis de renouer avec l’univers des premiers tomes, sans pour autant atteindre leur qualité.
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La BD Lou !



Découverte exceptionnelle! Julien Neel a écrit et illustré la BD LOU! Elle est le personnage principal. J’en suis au 7e tome pour l’instant et ça me plait! La BD parle de la vie de Lou.

C’est trop bien, en plus les personnes évoluent, ils grandissent. La BD vient de la maison d’édition Glénat. Les dessins sont magnifiques! Mes personnages favoris sont: Lou et ses meilleurs amies Marie- Emilie, Mina et Tristan. Je vous conseille donc cette BD. Souvenez- vous bien de cette collection!

OLIVIA PASCUCCI

Lorsque L'âge de cristal était sorti en novembre 2012, je m'étais jeté dessus très enthousiaste, pour me retrouver finalement déconcerté par cette prolepse sibylline et elliptique (c'est-à-dire un bond dans le futur), et cette diégèse digne d'un univers post-apocalyptique. Toutefois, si le sixième tome avait suscité la déception de beaucoup de lecteurs, je l'avais beaucoup apprécié. Comme beaucoup d'admirateurs de la série, je guettais avec impatience la suite des aventures de Lou avec l'espoir d'avoir enfin des explications relatives à l'apparition des cristaux roses et au sort de Richard. Mais avec la cabane, le mystère s'épaissit de plus belle. L'intrigue se présente de la sorte: pour profiter de l'été, Lou entraîne ses amis farfelus à Mortebouse, le village natal de sa mère, où Internet, Wi-Fi et autres technologies modernes sont inexistantes. Le message de ce septième tome est clair: il est temps de se mettre au vert. D'autre part, tandis que L'âge de cristal était une prolepse, La cabane est une analepse, donc un retour dans le passé qui dépeint les événements qui précèdent ceux de L'âge de cristal. La démarche est audacieuse est déconcertante, très intriguante, ce qui n'a pas manqué de me mettre l'eau à la bouche, puisque j'étais convaincu d'avoir enfin les explications dont je me languissais. Mais il n'en est rien.



Graphiquement, cet album coloré aux tons pastel a du charme et transpire d'onirisme, mais c'est bien là sa seule qualité : l'histoire me laisse affreusement sur ma faim, les personnages tournent en rond, à commencer par Lou et Tristan, et l'intrigue me paraît bien plate. J'ai été content de revoir l'éternelle grand-mère grincheuse au grand cœur de Lou, ainsi que d'autres personnages déjà apparus dans les tomes antérieurs, mais ce défilé gigantesque se fait précisément au détriment du récit qui avait de quoi être bien étoffé. Mais non: comme son nom l'indique, le septième tome tourne autour de la fabrication d'une cabane au cœur des bois qui deviendra le refuge de Lou et de sa bande, c'est tout. Imaginez ma déception: j'avais été subjugué par Laser ninja qui est à mes yeux le tome le mieux écrit de la série, compte tenu des événements qui s'y déroulent (l'incendie, l'arrivée du petit frère de Lou, la fuite inopinée de Richard), et surtout de la maturité de l'intrigue et de l'héroïne. J'ai le sentiment que ce septième album jette tout cela sans vergogne aux orties pour se fonder uniquement sur une philosophie écologiste. Espérons que les lecteurs sauront un jour où l'autre ce qu'il est advenu de Richard et comment Lou a vécu la fin du lycée, puisqu'elle fréquente désormais la fac...

Déçue par le précédent tome, je l’avais lu à sa sortie et n’avais pas compris grand-chose, délaissant ainsi cette série. Cependant, en voyant les tomes dans un magasin je me suis dit pourquoi pas. Me voilà donc après la lecture du tome 7 et j’ai l’impression d’avoir effectué un retour en arrière. Durant cette lecture j’ai replongé en enfance. Des années depuis que je n’avais pas lu un Lou et pourtant il a été très simple d’entrer dans l’histoire.



Les personnages sont toujours attachants, les dessins sont à la fois simples et très beaux, très reconnaissables. Les couleurs sont belles, le récit également. La cabane était franchement magnifique, j’aurais aimé vivre – ne serait-ce qu’un été – dans une telle construction. Les relations sont amusantes et attendrissantes, même si certaines semblent rapides elles fonctionnent.



Je pense lire la suite, en espérant que ce sentiment qui m’est revenu ici soit toujours au rendez-vous.

C’est reparti pour un tome de Lou !



Après le désastre du précédent, j’en attendais beaucoup de La Cabane. Ici, Lou et ses copines, Mina et Marie-Emilie partent en vacances à Mortebouse chez la grand-mère de l’héroïne.



Dans une volonté de retour aux sources, les personnages se lancent dans la construction d’une cabane géante.



Petit à petit, tous les personnages de Lou se retrouvent à Mortebouse par des « coïncidences ».



J’ai été une nouvelle fois déçue… Julien Neel continue avec sa tentative de science-fiction, absolument présente en fin d’ouvrage qui est toujours aussi dommage à mes yeux.



Les relations n’évoluent pas sauf pour Marie-Emilie mais sa tentative d’en parler avec Lou est avortée et donc son homosexualité apparaît sans s’y intéresser alors qu’à leur âge c’est un grand chamboulement et questionnement. Encore une fois dans ce tome Julien Neel reste en surface.



Lors de la dernière soirée, Lou organise une « veillée » pour parler d’amour, on a plusieurs planches avec des théories, des réflexions philosophiques mais qui sont jetés pêle-mêle dans la bande-dessinée… je n’ai pas réussi à être emballée.



Bref, malgré cette nouvelle déception je ne m’arrête pas là ; je vais de ce pas découvrir le dernier tome de cette saison qui j’espère sera comme les premiers volumes !

Lu et relu et rerelu...

J'ai chaque tome de la saga que je suit depuis maintenant plusieurs années.

J'ai grandi avec Lou et je suis toujours aussi fan de ses aventures et des personnes qui l'entour!

Lou occupe une place toute particulière dans mon cœur puisque c'est LA bande-dessinée de mon enfance, de mon adolescence, avec laquelle j'ai grandi et que j'ai relu maintes et maintes fois. C'est pour cette raison que j'ai décidé de me procurer l'intégrale de la première saison. Je n'ai jamais eu d'exemplaire à moi, je lisais les BD du CDI, de la bibliothèque ou celles qui appartenaient à ma sœur. Et maintenant j'ai mon exemplaire à moi et je suis trop contente !! Lou c'est une BD qui, j'ignore comment, mais me procure à la fois un sentiment de réconfort, de joie mais aussi de nostalgie. Quand je lis cette bande-dessinée je suis dans ma bulle, en sécurité, je me sens bien.. Je suis absolument amoureuse des illustrations colorées de Julien Neel et des personnages qu'il a créés qui on tous leur caractère, leur personnalité et leur histoire et qui sont tous attachants à leur manière. On s'attache tellement à eux, qu'il nous est difficile à la fin de les quitter. C'est avec un petit tiraillement au cœur que j'ai refermé le livre et quitté tous ces merveilleux personnages, mais c'est pour mieux les retrouver ! J'ai adoré retrouver Lou après toutes ces années. Suivre son évolution avec un tout autre regard, ses moments de doute, de remise en question, ses moments de joie, ses peurs. Bref, je pense que vous l'aurez compris mais Lou est une bande-dessinée qui compte beaucoup pour moi et que je vous invite très fortement à découvrir. Enfin non ce n'est pas une invitation mais une obligation !!! Et puis, pas d'excuses, maintenant que l'intégrale de la saison 1 est sortie. Pour ma part, j'ai hâte de découvrir la suite des aventures de Lou. En attendant je vais lire et relire la première saison.