Ce deuxième tome regroupe les numéros #33 à #35 d’Amazing Spider-Man Vol II et nous livre la fin de cette première histoire du tandem Joe Michael Straczynski ("Rising Stars") et John Romita Jr. ("Iron Man").
Spider-Man n’ayant pas suivi les conseils d’Ezekiel le mystérieux businessman qui semble détenir les mêmes pouvoirs qui lui, il doit maintenant faire face à Morlun, l’énigmatique personnage bien plus fort que Spider-Man et cherchant à s’approprier ses énergies arachnéennes.
Joe Michael Straczynski, alias JMS, nous livre une suite plus dynamique et prenante grâce à un affrontement dont l’issue semble plus qu’incertaine pour l’homme araignée. L’auteur nous livre également un rebondissement alléchant en fin de tome, et qui risque de chambouler le quotidien de Peter Parker. C’est juste un peu dommage de ne pas en apprendre plus sur Ezekiel dans cette histoire.
Le graphisme de John Romita Jr., alias JR, est efficace, d’une grande lisibilité et pourvu d’un découpage dynamique.
Bref, une excellente suite et fin à un tome d’introduction divertissant, mais sans véritables surprises.
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Ce premier tome regroupe les trois premiers numéros (#30-32) d’Amazing Spider-Man Vol II du tandem Joe Michael Straczynski ("Rising Stars") et John Romita Jr. ("Iron Man").
Ce premier tome repose essentiellement sur l’introduction du mystérieux Ezekiel, personnage semblant détenir les mêmes pouvoirs que Spider-Man et venu prévenir ce dernier d’une grande menace qui pèse sur lui et qui se nomme Morlun.
Peter Parker, quant à lui, se remémore son adolescence difficile et se découvre une vocation d’enseignant en voulant venir en aide à ces ados qui se sentent mal dans leur peau et qui font office de souffre-douleurs au collège. En incluant une fusillade dans un lycée, Straczynski a certainement voulu surfer sur un des problèmes contemporains des Etats-Unis.
Bref, un premier tome qui démarre (trop) calmement et sans vrais rebondissements, tout en restant divertissant.
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Ce deuxième tome de la collection "Spider Man (100% Marvel)" regroupe les épisodes #80 à #83 de Spider-Man, parus entre mai 1997 et août 1997 et signées Howard Mackie et John Romita Jr.
La première histoire («Blood Simple») débute par un petit résumé du tome précédent de la part de Peter Parker. Suite au cliff-hanger du tome 1, on le retrouve avec les griffes de Morbius planté dans la gorge, prix au piège par l’Hydra et Crown. Ce récit a beau conclure la saga de Crown, il n’en reste pas moins décevant. L’introduction d’une bande de mafiosi et le revirement d’attitude soudain de Morbius ne sont pas convaincants. Les dialogues sont souvent ridicules et l’action ne mène pas à grand-chose.
La deuxième histoire («Shadow Of The Cat») n’est pas vraiment meilleure. Le scénario est faiblard, les super-vilains proches du ridicule, la construction à l’aide d’allers-retours n’apporte aucune plus-value et ce n’est pas la fin à l’eau de rose qui vient remonter le niveau de l’histoire.
La troisième histoire («You've Got To Have Friends») est déjà un peu meilleure, mais c’est plus un récit de mutants qu’un récit de Spider-Man. Malgré tout, cette approche permet d’aborder le thème du racisme.
La dernière histoire («Vertigo») donne le vertige, mais seulement à Spider-Man. Un récit qui démarre de manière intéressante (excepté le revirement de Choc qui ne tient pas la route), et qui est à suivre dans le tome suivant.
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Après la collection "Spider-Man - Les incontournables" qui revenait sur les meilleures aventures de Spidey, Panini a édité une deuxième série d’incontournables. Après des tomes dédiés au tisseur, à Iron Man, à Wolverine, aux Fantastic Four, aux X-Men, aux (nouveaux) Vengeurs et à Daredevil, le huitième tome de cette collection, dont chaque tome met en scène l’un de plus grands héros Marvel, est dédié à Hulk. Les tomes suivants seront respectivement dédiés au Punisher et au Ghost Rider. Notons que la date de publication de cet «Incontournable» est telle, qu’elle correspond à la sortie du nouveau film dédié à l’homme vert. Le thème central de cet incontournable est la mort et plus particulièrement celle de Betty.
Le fascicule fac-similé reprend l’épisode #467 («The Lone And Level Sands») de Hulk paru en août 1998 et dessiné par Adam Kubert. Cet épisode clôt le run de Peter David, entamé 12 ans auparavant dans l’épisode #328 («Piece Of Mind», 02/1987). La couverture, montrant Hulk au milieu du Dr. Strange, Iron Man et autres personnages connus ne reflète pas vraiment le contenu de cet épisode déjà publié en français dans Marvel Méga n°10 (07/1999) et Hulk #45 (09/1999). Le récit revient en effet sur la mort de Betty, sous forme d’interview. On retrouve ainsi Rick Jones, narrant cette histoire tragique sous forme de voix-off en répondant aux questions d’un journaliste du Buggle nommé Pete (Peter Parker ?), 10 ans après les faits. Une histoire qui ne m’a pas accroché plus que ça, excepté peut-être la transformation silencieuse d’un Banner, soulagé de planter son humanité alors qu’il semble généralement lutter contre cette transformation.
Le tome cartonné reprend trois histoires indépendantes. Les deux premières, reprennent respectivement les épisodes d’Incredible Hulk #24 et #25 (parus dans Marvel Elite 15 à 17 et Hulk Maxi Livres 3) et d’Incredible Hulk #27 et #28 (parus dans Marvel Elite 19 à 20 et Hulk Maxi Livres 3). Des histoires pas mauvaises signées Paul Jenkins et John Romita Jr qui montrent un Banner incapable de surmonter la mort de Betty, obligé de combattre ses propres démons. Le combat contre son pire ennemi, l’Abomination, est sympa, tout comme le dessin de John Romita Jr. Le dernier récit reprend l’épisode d’Incredible Hulk #82 («Dear Tricia», 08/2005), dessiné par Jae Lee et scénarisé par Peter David. Le graphisme de cette histoire est séduisant et nous emmène dans un décor londonien brumeux assez inhabituel pour le géant vert. L’intrigue, qui tourne à nouveau autour de la mort, est plutôt moyenne, mais l’atmosphère est par contre assez réussie.
Bref, un Incontournable qui est moins bon que les deux précédents (New Avengers et Daredevil).
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Après la collection "Spider-Man - Les incontournables" qui revenait sur les meilleures aventures de Spidey, Panini a édité une deuxième série d’incontournables. Après des tomes dédiés au tisseur, à Iron Man, à Wolverine, aux Fantastic Four, aux X-Men et aux (nouveaux) Vengeurs, le septième tome de cette collection, dont chaque tome met en scène l’un de plus grands héros Marvel, est dédié à Daredevil. Les tomes suivants seront respectivement dédiés à Hulk, au Punisher et au Ghost Rider.
Le fascicule fac-similé reprend l’épisode #168 de Daredevil Vol.1 paru en janvier 1981, écrit et dessiné par l’incontournable Frank Miller. Le choix de cet épisode est assez compréhensible étant donné qu’il constitue la première apparition d’Elektra au sein de la série. A noter que cette histoire sympathique, mais très classique, est également reprise dans la première intégrale de Daredevil.
Le tome cartonné reprend les cinq épisodes de la minisérie hors continuité “Daredevil - L’Homme sans peur” (Daredevil, The Man Without Fear #1-5, 10/1993 – 02/1994) du duo Frank Miller / John Romita Jr. Une histoire déjà publiée dans "Daredevil L’homme sans peur" (Bethy/1997) et dans les Top BD #35 et #36 (Semic/1994). Le choix de ce récit est assez judicieux étant donné que Frank Miller y revisite les origines du gardien de Hell’s Kitchen : l’accident qui causa sa cécité, son apprentissage des arts martiaux, sa relation avec Elektra et l’apparition du Caïd.
Bref, une revisite qui bouscule un peu la continuité des aficionados de Daredevil, mais qui, tout comme "Daredevil - Father", s’avère une excellente introduction au personnage pour les néophytes.
Un véritable incontournable !
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Le premier vrai super-héros, hein !Un battage médiatique spectaculaire dû à la sortie du film associé !Tout ça pour l'histoire d'un jeune mal dans sa peau qui pense qu'enfiler une combinaison de plongée dans la rue suffira à le rendre phénoménalement balaise.C'est pas vraiment terrible, en fait, sauf bien sûr les scènes de baston (en particulier, évidement, le final) dans lesquelles le dessinateur a réellement pris son pied.Je me demande si le second tome est meilleur, en fait ...
9782888901396"
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Oulaje me demande bien pourquoi ils n'ont pas carrément sorti Kick-Ass en un seul tome, parce qu'en fait, le premier tome, qui est un peu mou, n'est que la moitié de l'histoire.Dans ce second tome, où l'intrigue se dénoue à grands coups de gerbes de sang et de lattages de tronches, on s'ennuie beaucoup moins. En fait, je n'en ai pas perdu une miette.C'est sacrément bien dessiné, et ça défouraille à tout va.Qui plus est, la conclusion est d'un cynisme agréable (mis à part l'inévitable "I'll be back" de la dernière page, qui est clairement un exercice imposé, et que j'espère ne pas voir se transformer en troisième tome).
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Si vous êtes arrivés jusqu'à ce second tome de la Saga du Clone, vous connaissez la "triste" vérité : Peter Parker n'est pas Peter Parker. Enfin, si, mais pas le vrai. Peter est le clone, et Ben Reilly (alias Scarlet Spider) est l'original.
Enorme coup de pied dans la spider-fourmilière, la Saga du Clone a fait très fort, et très mal, surtout à Spidey pour commencer.
Pour accréditer sa révélation, Marvel va aller très loin. Peter/Spider-Man perd ses pouvoirs, laissant le champ libre à Ben Reilly - Scarlet Spider, qui voit les séries originales du Tisseur prendre son nom ! Web of Scarlet Spider, Spectacular Scarlet Spider, Amazing Scarlet Spider, Sensationnal Scarlet Spider sont toutes de "nouvelles" revues qui suivent les séries Spider, annulant purement et simplement celles de Parker.
N'arrivant pas à se faire un nom, Reilly va pousser jusqu'à reprendre le nom de Spider-Man (Heureusement pour Marvel, c'est plus vendeur) avec un nouveau costume, variation de l'ancien...
Mais dans le monde des comics et des super héros, il est un super vilain devant lequel tous sont obligés de courber l'échine : le Service Comptabilité.
La Saga, artistiquement osée, est un échec commercial. Les fans s'insurgent de la tournure des événements, de la multiplicité des crossovers, de la tromperie. Les ventes s'effondrent.
Il faudra attendre Janvier 1996 pour que Dan Jurgens débarque et vienne nettoyer ce bazar qui court quand même depuis plus d'un an et un paquet d'épisodes (4 séries mensuelles, 15 mois de crossover, faites le calcul)
Nettoyer donc, remettre les choses en place, et surtout relever le niveau parce qu'il faut quand même admettre que les (rares) épisodes de Scarlet Spider sont d'une pauvreté navrante. Certes, les dessinateurs sont les mêmes, et pas des moindres (John Romita JR, Sal Buscema, Mark Bagley...) mais les scénaristes (Howard Mackie, Todd Dezago, Tom DeFalco) peinent à installer le personnage, veulent des intrigues complexes qui s'avèrent aussi palpitantes que la lecture de Télé Z, se perdent dans des jérémiades qui se répètent déjà depuis un an...
Bref, la loose.
MAIS ! L'arrivée de Dan Jurgens va tout changer, remettre non seulement les choses en place, mais aussi réinjecter du suspense dans les aventures du Tisseur, avant de clôturer DEFINITIVEMENT cette saga sur un coup d'éclat pas forcément prévisible, pas forcément bien placé, mais dont le but profond était de passer un message aux fans : "C'est bon les mecs, on arrête les Scarlet âneries. On revient à du VRAI Spidey."
Ouf.
Bref, s'il fallait retenir une chose de cette saga, c'est que oui, elle est importante, que le fond était vraiment intéressant, mais que la forme a malheureusement flingué le propos.
26 mois (Octobre 1994 - Décembre 1996), c'est trop.
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J'avais été moyennement emballée par le premier tome qui avait une bonne histoire que j'avais trouvé développer beaucoup trop rapidement. Le rythme de ce premier tome du deuxième cycle me plait, mais cela va-t-il continuer ainsi?? On retrouve Kick-Ass et Hit-Girl dans leur vie de tous les jours. Mais alors que la dernière, qui n'a que onze ans, rappelons-le, raccroche le masque pour la santé de sa mère, l'ado lui intègre un groupe de super-héros sans super pouvoirs qui décident de sécuriser le quartier. Le tome est toujours aussi violent que les autres et la fin nous laisse sur notre faim justement! A suivre donc.
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