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Critiques de Jean Rolin (303)
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Peleliu

La Feuille Volante n°1054– Juillet 2016

PELELIU – Jean Rolin - POL



Le titre évoque une petite île de l'Océan Pacifique, dans l’archipel des Palaos, occupée et fortifiée par les Japonais pendant la deuxième guerre mondiale, qu'une carte bienvenue situe pour le lecteur sur le cadastre mondial. Des combats meurtriers s'y sont déroulés, les opposants aux Marines Américains pendant l'été 1944. A cette occasion l'auteur choisit d'évoquer la vie d'un officier américain, le lieutenant-colonel Pete Ellis, né en 1880, qui au début de sa carrière militaire s'était couvert de gloire, de galons et de décorations prestigieuses notamment pendant la Première guerre mondiale en France et qui est mort en 1923 sur une île également tenue par les Nippons. Auparavant, il avait fréquenté ces contrées maritimes en qualité d'officier puis ensuite d'espion américain ainsi qu'il se qualifiait lui-même et avait émis des théories militaires qui furent reprises pendant la guerre du Pacifique prônant notamment le principe du débarquement. L'ennui pour lui c'était que non seulement il était peu discret, ce qui est grandement dommageable pour un espion, mais surtout qu’il était alcoolique, deux choses qui ont peut-être précipité sa mort restée mystérieuse, dans une île tenue par les Japonais. Au cours du deuxième conflit mondial des combats meurtriers, inutiles et par ailleurs gommés de la mémoire collective, s'y sont déroulés.



Il nous dévoile au long des pages la géographie, la faune faite de poules sauvages, de chiens, de rats, de serpents, de crocodiles de mer et de crabes de terre ce qui ne la fait pas spécialement ressembler à une île paradisiaque comme on pourrait s'y attendre. C'est bien de cette partie de son histoire, celle des combats qui s'y sont déroulés pendant la guerre du Pacifique, qu'il a choisi de nous entretenir. Il évoque non seulement la mort des soldats dans des combats sanglants mais surtout la peur qui précède les interventions, dans l'inaction, l'envie que certains ont de se suicider pour en finir plus vite et éviter ses souffrances et l'angoisse d'être tués par l'ennemi lors de l'attaque. Il s'appuie pour cela sur des récits d'écrivains qui ont participé à ce conflit, s'approprie leur histoire, évoque les inévitables faits d'armes de héros restés anonymes, des personnalités marquantes par leur originalité ou leur petitesse comme ce genre d'événements est de nature à les révéler...



Il croise cette évocation avec un récit de voyage personnel, dans cette île en 2015 , avec ses petits détails et ses états d'âme dans et la revisite avec pour fil rouge les opérations militaires des Marines et les vestiges de la bataille qui s'y est déroulée alors qu'elle est plutôt réputée pour la plongée sous-marine. Il y ajoute des précisions historiques qui se perdent parfois dans une énumération inutile, des renseignement érudits et des épisodes, tels que celui du sauvetage des chiots, insignifiant sans finalement grand intérêt.



J’avoue que lorsque j'ai pris ce petit volume, au hasard, sur les rayonnages de la bibliothèque, je pensais avoir affaire à un roman et le nom de l’auteur ne me disait rien. C'est en fait un récit de voyage, un reportage personnel agréablement écrit, avec parfois un regard ironique sur l'espèce humaine, où il nous détaille par le menu la géographie, l'histoire mais aussi le quotidien de ce voyage en insistant cependant sur les morts de cette guerre. Le livre refermé je me suis dit que j’avais certes appris quelque chose sur ces affrontements (et pas seulement), que les combats, pourtant sanglants qui s'y étaient déroulés, n'avaient servi à rien (comme bien souvent lors des guerres) et qu'ils auraient même pu ne pas avoir lieu sans que le sort du conflit en soit changé en quoi que ce soit. Le seule chose que peut m'émouvoir c'est l'évocation du sacrifice de ces jeunes gens dans un enfer guerrier. J'en garde un sentiment mitigé, pas vraiment mauvais mais pas passionnant non plus.





© Hervé GAUTIER – Juillet 2016. [http://hervegautier.e-monsite.com ]
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Les événements

"Mais qui aurait pu soupçonner la départementale 48 de receler une menace quelconque?" (Département de l'Allier?)



Dans une France à la suite à des événements dont on ne sait pas grand chose (survenus après le 16 août 2013, en tout cas, ce jour là tout était encore comme d'ordinaire), le narrateur quitte Paris. Un Paris avec stigmates de guerre civile, blindés calcinés, barrages, bâtiments éventrés. La FINUF (Force d'interposition des Nations unies en France) tente d'imposer un retour au calme, le couvre-feu est instauré, mais la France est en proie à des guérillas, sont-ce les milices de Brennecke, ou plus au sud les djihadistes d'AQBRI? (Al Quaïda dans les Bouches-du-Rhône islamique), j'en passe.

Par la nationale 20 et petits trajets bucoliques (il aura toujours un oeil pour la flore et les paysages) le narrateur rejoint Brennecke à Salbris, effectue une mission à Saint-Amand Montrond, puis file vers le sud, avec Victoria, collaboratrice de Brennecke, jusque dans les bouches-du-Rhône.

De temps un temps un observateur extérieur reprend les rênes du récit, apportant peu d'éléments explicatifs d'ailleurs.



Je conçois très bien qu'il s'agisse d'un roman 'ça passe ou ça casse'. L'écriture est extrêmement distanciée (j'ai décelé quelques traces d'humour au n-ième degré), on ne sait rien des tenants ou aboutissants, les narrateur décrit longuement les lieux (je confirme que pour Salbris tout y est - sauf le BA), les phrases s'étirent s'étirent, longues incises, et hop on retombe bien sur ses pattes.



Pour moi ça a passé. J'aime l'écriture, d'abord, et l'ambiance décalée du roman. Oui, imaginez Sarajevo dans les années 90, vous avez le Paris du roman. Ces conflits et guerres civiles 'exotiques' ou en tout cas 'pas chez nous', eh bien c'est en France, et extrêmement bien reconstitué et crédible -Jean Rolin est aussi journaliste, d'ailleurs). Peu importe de ne pas tout savoir, au contraire les impressions n'en sont que plus fortes. Une façon efficace de donner à comprendre ce que vivent certaines populations...



Quatrième de couverture (et début du roman)

"C'était un des petits plaisirs ménagés par la guerre, à sa périphérie, que de pouvoir emprunter le boulevard de Sébastopol pied au plancher, à contresens et sur toute sa longueur. En dépit de la vitesse élevée que je parvins à maintenir sans interruption, entre les parages de la gare de l'Est et la place du Châtelet, j'entendais éclater ou crisser sous mes pneus tous les menus débris que les combats avaient éparpillés : verre brisé, matériaux de construction hachés en petits morceaux, branchettes de platane, boîtes de bière ou étuis de munitions. Ici et là se voyaient également quelques voitures détruites, parmi d'autres dégâts plus massifs. Sur le terre-plein central de la place du Châtelet, à côté de la fontaine, des militaires en treillis, mais désarmés, en application des clauses du cessez-le-feu, montaient la garde, ou plutôt allaient et venaient, autour de l'épave calcinée d'un véhicule blindé de transport de troupes."
Lien : http://enlisantenvoyageant.b..
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Les événements

Dans les décombres d’une guerre civile française, une curieuse et mélancolique poésie du désastre.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2015/05/04/note-de-lecture-les-evenements-jean-rolin/


Lien : http://charybde2.wordpress.c..
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Les événements

Une France plongée en pleine guerre civile dans un futur très proche. Le narrateur traverse le pays pour on ne sait quelle raison. Il rencontre des milices para militaires, décrit les villes et paysages dévastées. Où est l'histoire ? Raconte-nous une histoire, bon sang ! Récit creux, personnages désincarnés, je n'ai rien retenu de la pseudo-intrigue. Circulez, y'a rien à lire. Je préfère encore lire une bonne série B post-apo ou un documentaire prospectif.
Lien : http://puchkinalit.tumblr.com/
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Les événements

Cette ultra-contemporaine chanson de Rolin sonne beaucoup plus comme une mise en garde que comme un catalogue de prévisions. Aucun topo didactique pour nous éclairer sur le hors-champ, aucun scénario de politique-fiction élaboré comme chez Houellebecq. Au contraire, un principe d’incertitude généralisé, qui guide l’écriture à chacun de ses niveaux.
Lien : http://rss.nouvelobs.com/c/3..
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Le ravissement de Britney Spears

J'avais gardé un assez beau souvenir des livres de Jean ROLIN (Zones,l'Organisation , Clôtures) et des ses pérégrinations et vagabondages dans les marges parfois interlopes d'ou surgissait souvent poésie et rêverie.

Changement radical de décor ici et la promesse d'un jubilatoire contrechamp.

Pour autant force est de constater que l’énumération laconique,sans aucune mise en perspective des frasques et inconduites de cette humanité en coma dépassé ne produit rien d'autre qu'un insondable ennui doublé d'une non moins abyssale perplexité.

Quel etait donc l'enjeu de ce livre ?
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Campagnes

"Ils avaient l’air heureux, sinon vraiment de bonne humeur : c’était le début de la guerre, il faisait beau, les pertes étaient encore limitées de part et d’autre, et tout neuf le plaisir de porter des armes et de s’en servir pour imposer sa loi, terroriser les civils, abuser des filles, enfin jouir gratuitement de toutes ces choses si longues et si coûteuses à se procurer en temps de paix, quand il faut travailler, et encore, pour les obtenir."



Je n’ai jamais rien compris à ces guerres en ex-Yougoslavie. Eh bien, ce n’est pas ce livre qui va m’aider. Ce n’est pas le genre de Rolin de perdre son temps en explications et autres choses rationnelles. Ce sont, comme toujours, des choses vues.

Des déambulations et des considérations. Les déambulations sont un peu plus musclées : jeep, obus, miliciens. Les rencontres ont toujours aussi éphémères, chaleureuses, dérisoires ou terrorisantes, souvent alcoolisées, sous l’œil acerbe et tendre à la fois de Jean Rolin. On ne sait jamais très bien ce qu’il fait là (et l’épilogue semble vouloir dire que lui non plus).



Ca fait un peu fatras, il y a quand même de belles pages, et des traits d’humour désabusés
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Le ravissement de Britney Spears

Il est rare que je n'accroche pas à un livre au point de ne pas le finir.



L'histoire est originale, mais le style, des phrases interminables et qui partent dans toutes les directions, ont malheureusement eu raison de moi.
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Ormuz

Les critiques positives et même élogieuses de la presse m'ont incité à lire ce livre. Je n'ai guère été pris par le récit du narrateur qui aide son ami Wax à préparer la traversée du détroit d ' Ormuz à la nage. Passage stratégique entre Oman et Iran où croisent pétroliers et bateaux de guerre ...J.Rolin y décrit les côtes, les routes....il énumère et nomme les navires , les sous marins. ...le souffle de l' histoire ne passe pas. L'ennui guette ....Les descriptions parfois intéressantes alternent avec les clichés . L'humour apparaît de temps à autre...mais un constat s ' impose : quel décalage entre l'avis des lecteurs et celui de la presse !
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Le ravissement de Britney Spears

"Le ravissement de Britney Spears" de Jean Rolin n'est pas en premier lieu un ravissement au sens où Marguerite Duras l'entend (une fascination) mais au sens d'une menace d'enlèvement de la célèbre chanteuse. Face a cette menage, un agent français va se rendre à Los Angeles où il va devoir se mettre à la page s'il veut être efficace pour l'éviter.

Le roman commence plutôt bien avec un style un peu désabusé et ironique qui est assez plaisant. Pour autant, il est loin de m'avoir séduite car le plaisir ne dure pas longtemps et laisse vite la place à l'ennui. Le milieu du show-business ne me passionne pas et personnellement je ne suis pas fascinée par la star.

Une lecture qui ne m'a donc pas ravie.

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Ormuz

Si vous n’avez pas accès à Wikipédia et que vous souhaitez obtenir dans un style littéraire des renseignements généraux sur le Golfe Persique, pensez à emprunter ce livre : géographie physique, état des routes et des plages (surtout les sales), géopolitique sommaire, armement disponible (avec une prédilection pour les bateaux de guerre), revue de presse régionale…pour le reste, rien ou presque : l’histoire d’un ombrageux personnage nommé Wax, qui souhaite traverser le détroit d’Ormuz à la nage et qui envoie le narrateur en éclaireur afin de décrire par le menu ce qu’il voit de la région afin de l’aider à choisir son point de départ…passionnant ! Résultat : un ennui sévère du début à la fin de l’ouvrage, une succession de descriptions sans intérêt, de détails techniques et d’événements sans relief, comme le sentiment que l’auteur, certainement invité dans la région à faire le tour de nos Ambassades persiques, en a profité pour mettre en veilleuse son énergie créatrice.
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Ormuz

Le regard est minutieux, ironique et panoramique, les paysages et les hommes deviennent des farces ou des visions. Il est vrai qu’on est dans une région où un paradis minéral et maritime semble rappeler à l’homme, par l’absurde, l’enfer qu’il a rejoint.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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L'Organisation

Humour masochiste et acéré qui suit des enfants du siècle plus matamores que matadors. Livre culte.
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Ormuz

Magnifié par le style souverain de l'écrivain, le décor sans grâce du célèbre détroit devient l'écrin de ses obsessions : la mer, l'Histoire, la guerre..
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Chemins d'eau

Chemins d’eau est un récit de voyage. L’auteur, Jean Rolin, a pris son sac à dos, ses chaussures de marches et son vélo et parfois le bateau et est allé parcourir les chemins de halage des canaux de France.



J’ai vraiment passé d’agréables moments avec ce livre. L’humour y est continuellement présent, c’est plein d’anecdotes et d’un ou deux moments tragiques.

Cependant deux ou trois passages sont assez rébarbatifs, l’auteur qui doit être un passionné de canaux site des extraits de livres techniques sur la construction des canaux ou le fonctionnement des écluses, mais on peut très bien « sauter » ces passages sans perdre le fil de la lecture ; Mais l’auteur n’a pas son pareil pour croquer les gens, les situations et même les animaux qu’il croise sur son chemin



Le style est agréable, au début j’ai un peu butté sur la tournure des phrases, qui sont assez longues, mais au bout de quelques pages on s’y fait et cela coule tout seul.

De plus dans le vocabulaire employé se trouve des mots désuets mais qui vont bien avec ce qu’ils décrivent et l’atmosphère que nous renvoie l’auteur. Grace à Jean Rolin et à mon Larousse j’ai appris quelques mots nouveaux pas toujours faciles a replacer dans une conversation et que je ne suis pas sure de retenir très longtemps mais quand même…



C’est tout à fait le genre de livre à lire en vacances, c’est pas compliqué, ça ne prend pas la tête et de plus comme c’est la description de lieux qui se trouvent dans toute la France, on peut sûrement trouver un de ces endroits à visiter pas loin de son lieu de villégiature et en plus il y a même quelques illustrations.

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Le ravissement de Britney Spears

Alors jeunes gens ne vous attendez pas à un thriller qui mettrait en scène une tentative d'enlèvement de Britney.



C'est plutôt le testament ant-mortem d'un agent secret un peu à la ramasse. J'ai l'impression que si on mettait le Grand Blond à Los Angeles, dans le milieu des stars ça donnerait ce genre de récit.



Plutôt qu'un thriller, c'est une sorte d'étude des frasques des stars comme Britney ou Lindsay Lohan, de la sensation qu'elles sont en concurrence entre elles pour avoir la possibilité d'une course poursuite avec les paparazzis, pour pouvoir faire la une des tabloïds.



Le roman ne donne pas l'impression d'un travail d'écrivain, le récapitulatif des frasques rapproche l'auteur du journalisme à scandales.



C'est une interview de Jean Rolin dans l'émission Métropolis qui m'avait incité à lire ce roman. Alors d'accord les stars peuvent être une source d'inspiration pour les écrivains. Mais là il y a trop de contemporéanité, il n' y a pas assez de recul. Cela me fait plus penser à du journalisme qu'à de la littérature.
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L'explosion de la durite

On croise beaucoup de personnages politiques dans cette afrique déchirée par les factions. N'étant pas familières des évènements, j'étais parfois un peu larguée, mais ce livre raconte une histoire africaine haute en couleurs et on est vite accroché par le récit et l'écriture. c'est bien
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Le ravissement de Britney Spears

Ce livre m'a beaucoup déçu. Je n'avais jamais lu Rolin et ses "carnets de route", mais il y a tromperie sur la marchandise avec ce roman. Alors que le sujet pouvait être davantage exploité, Rolin se concentre sur sa description des boulevard de la cité des anges et sur les dérives médiatiques de la presse populaire.

Rolin semble découvrir Los Angeles, la culture pop et la superficialité de ses icônes.

On s'ennuie fermement à la lecture de ce livre au titre racoleur.

Sans intérêt...
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Le ravissement de Britney Spears

Comme dans la plupart de ses ouvrages, des récits plus que des fictions, le narrateur officie à la première personne. Il conjugue comme Rolin une subtile nonchalance avec l'art de regarder dans les coins, là où l'œil ne va que s'il se méfie des images de façade.
Lien : http://www.lesoir.be/culture..
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L'Organisation

Jean Rolin écrit beaucoup moins bien que son frère (voir ci-dessus) et son livre est mal fichu (les 4/5ème, qui se terminent en 75, ne sont qu'une suite de situations autobiographiques, le reste se déroulant 20 ans après - je me demande encore ce que l'auteur a voulu dire dans cette dernière partie).

Mais...

Mais on se prend de sympathie pour ce paumé, surveillé par les flics, fliqué par ses chefs, jalousé par ses "camarades", qui va d'échec sentimental en attentat raté, pour finir dans l'alcool, la drogue et un étrange pèlerinage en Irlande du Nord...

Ecrit en 95, "L'organisation" a suffisamment de recul pour dépeindre avec justesse les maos de l'époque : de jeunes chiens fous, incultes et imbus d'eux-mêmes, prêts à tout sacrifier pour leur idéal totalitaire.

Je le sais : j'étais l'un d'entre eux.
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