Jean-Pierre Tennevin était professeur agrégé de lettres classiques né vers 1922, militant de toujours de la cause provençale, dans la lignée félibréenne, Jean-Pierre Tennevin a fourni depuis les années soixante aux années 80 une œuvre littéraire peu abondante mais persévérante (au moins deux pièces de théâtre, quatre romans, un recueil de nouvelles). Et toute, ou presque, placée sous le signe du fantastique et de la science-fiction, ce qui peut surprendre dans le milieu littéraire de langue d’oc, plutôt dominé par le roman historique, le récit autobiographique ou le roman de mœurs paysannes.
Une exclamation aussi typique que "Tè!" (que l'on trouve pourtant identique chez Homère) nous fait honte devant un certain public, alors qu'elle n'est en essence ni plus ni moins admissible que le gloussement d'une lady britannique qui dira "Aoh!"
Michel Tournier écrit en 1971 Vendredi ou la vie sauvage, souvent étudié au collège. Il s’agit d’une adaptation pour la jeunesse d’un autre de ses romans. Lequel ?