Rien à voir avec la qualité de la série de Franquin que ce soit dans l’humour ou les histoires. Entre Gaston qui se fait renommé Gastoon et les histoires qui essayent d’imiter les aventures de Gaston adulte, on est rapidement déçu. En plus, la présence des différents personnages n’a ni queue ni tête.
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Un de mes tomes préférés de Lucky Luke, que j'ai trouvé drôle et divertissant.
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Le roi se meurt, empoisonné. Percevan, Kervin et Gunter partent en expédition au pays d'Aslor pour rencontrer Sharlaan et lui demander de porter secours à leur roi. Ils vont devoir affronter de terribles péripéties et faire preuve de courage. J'ai bien aimé le personnage de Kervin, l'anti-héros, il est trop mignon, et plein d'humour.
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Autant j'apprécie Lucky Luke, autant je n'ai jamais vraiment accroché avec Rantanplan. Il faut dire aussi que j'ai du mal avec les animaux et les personnages idiots qui font toutes l'histoire sans jamais faire "exprès". Bref, Rantanplan n'a pas grand chose à la base pour me plaire.
Cela dit, j'ai trouvé l'histoire de "Le parrain" plutôt divertissante et amusante : ce n'est clairement pas une histoire qui va me marquer mais elle se lit rapidement et nous permet de passer un bon moment.
Par contre, je trouve qu'elle part assez dans tous les sens : on passe d'une rencontre à une autre, sans jamais s'attarder ce qui m'a donné l'impression de sauter sans cesse du coq à l'âne et de rester dans une certaine superficialité. J'aurais aimé que l'auteur et le dessinateur prennent davantage de temps pour nous expliquer ce qu'il se passe réellement.
Encore une fois, je n'ai pas spécialement accroché avec les dessins que je trouve trop pointus et détaillés. Je préfère quand ils sont plus ronds et doux.
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Aucun souvenir, si ce n'est que je viens de retrouver l'album dans ma pile. J’aimais bien les traits nets des dessins.
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Les Dalton frappés d'amnésie? C'est une idée intéressante. Cet album est à la hauteur de la série.
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Un chef-d’œuvre sous-estimé de la BD d'humour.
Dans une saine et joyeuse émulation, Yann, Jean et Simon Léthurgie nous ont concocté un scénario bourré de gags et d'énergie. On y suit les aventures d'un duo policier désopilant et particulièrement incompétent : Spoon, avorton fan de Disney et de Clint Eastwood, qui prend tout au premier degré, et White, la grande asperge facétieuse, tout de blanc et de noir vêtu, qui prend un malin plaisir à se moquer de son acolyte. Ils n'ont qu'un seul but dans la vie : conquérir le cœur de la sensuelle mais sévère Courtney Balconi. Alors, quand la journaliste se fait prendre en otage par un terroriste aigri, dans un hôtel empli de membres de la secte Azum... L'ambiance devient explosive.
Jamais je n'ai autant ri avec une seule BD. Adolescent, je me rappelle avoir lu cet album 4 fois le même week-end et avoir ri à gorge déployée, à ne plus savoir m'arrêter. Que ça fait du bien... Encore aujourd'hui, les multiples gags qui s'enchaînent de page en page me font sourire. Souvent grotesque, les auteurs jouent aussi sur le comique de répétition, la parodie (ici piège de crystal notamment), l'absurde, le mauvais caractère des personnages ou les situations dans lesquelles ils s'embarquent... Le trait de Simon, caricatural, va dans ce sens. Cela serait beaucoup moins drôle si les armes ou les scènes de combat étaient dessinées avec réalisme... Mais Spoon et White est aussi un récit complexe, polyphonique, où la tension est tangible. Les autres albums garderont le même format.
A lire absolument (et jeune de préférence).
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C'est dans la même veine que Nathalie la petite hôtesse, avec un Walther désormais coincé à l'hôpital par suite d'une position bien trop acrobatique. Les patients de l'hôpital, les infirmiers, les médecins et tout le monde en fait, va gentiment s'en donner à cœur joie dans une ambiance paillarde à souhait, tandis que l'intrigue d'une molécule du désir (encore !) traine dans quelques coins de cases.
Soyons honnête, c'est de la pure parodie des BD sages et bien pensantes qu'on pouvait retrouver en masse dans les publications jeunesse. Tout les codes sont détournés et en même temps on a quelques gags sur l'hôpital et les fameuses fresques de la salle de pause. C'est donc un joyeux bordel assez foutraque, clairement défouloir mais qui lorgne bien plus vers l'humour graveleux que l'érotisme. C'est con, même, avec des gags qui s'enchainent à base de baisodrome en tout sens. Le final boucle l'intrigue de cette fameuse molécule, et puis voila, on a vite fait le tour.
Je suis assez large dans ma note pour une BD qui est clairement de la parodie pure qui ne restera sans doute pas dans l'histoire, mais je trouve qu'on a quand même quelques bons mots dans l'ensemble, c'est crétin rigolo et je trouve que ça passe. Pour amateur du genre.
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Allez, je note une petite BD qui à franchement de bons atouts par rapport à son genre.
Une pastiche vraiment bien fichue de Natacha, qui est tourné vers le dessin érotique sans tomber dans du Manara pur et dure (si je puis m'exprimer ainsi ...), et qui à le mérite de se moquer de façon très sympathique de la série originelle.
Ici, l'humour prime, dans toutes les situations, avec du bien débile, mais c'est "bon enfant" (si je puis m'exprimer ainsi ....) et on rigole bien en le lisant.
C'est sur, ca ne reste pas dans les mémoires, ca se passe très facilement de l'achat, mais pour rigoler un petit coup sur des trucs salaces, je pense que cette BD est bien faite. En tout cas, je me suis bien amusé à la lire.
Le dessin n'est pas en reste, reprenant bien l'original et ne tombant pas dans le porno, bref, c'est un joli plus.
Une BD sympathique, qui se lit bien, bourré d'humour, bref, une BD vraiment "pas mal".
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A mais quelle morceau de misogynie...
Pour départager deux femmes qui s'affrontent, rien de mieux que trois épreuves dont deux n'ont rien à voir avec le sujet de l'affrontement : le tricot et la cuisine.
Par contre, c'est un lucky luke un peu ramolli qu'on découvre ici, à part dormir d'un œil il n'est pas très engagé pour rechercher le méchant.
Bon, ça reste un bon moyen de passer le temps dans la voiture en attendant que la machine de la laverie ait fini de faire son travail.
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L'histoire de Rantanplan, le célèbre chien gangster...
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Les Dalton ont une nouvelle solution pour sortir de prison : devenir amnésiques. Lucky Luke est chargé de les surveiller le temps que le juge statut sur leur cas.
Bien sûr, à diverses occasions, les Dalton risquent de se confondre et faire tout rater...
Un album assez drôle et réussi où Averell tient une place importante.
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