[U]n petit nombre de thématiques récurrentes sont à la base de la majorité des histoires de créatures artificielles :
1. l'apprenti sorcier, la malédiction du créateur ;
2. l'amante androïde, la femme idéale ;
3. le parcours initiatique vers l'humanité, la quête mystique ;
4. la machine intelligente dominatrice ;
5. Les robots et la révolte des machines.
Il s'agit d'une sorte de "masque" qui peut faire penser à une face humaine ou animale. Il est composé d'un silex plat retouché possédant un trou naturel dans lequel est placée une petite coquille d'os. Témoin exceptionnel du lent cheminement de l'humanité vers l'avènement de l'art figuré, cette "proto-figurine" laisse envisager que l'homme de Neandertal était peut-être capable d'une production artistique plus évoluée que ce que l'on soupçonnait jusqu'à présent.
Ce livre est avant tout destiné au grand public. Son objectif est de lui faire découvrir l'imaginaire et la réalité des créatures artificielles dans un contexte où elles sont habituellement présentées comme une fin annoncée de l'humanité.
Outre le divertissement, les robots de compagnie ont aussi une fonction de surveillance. Qu'il s'agisse de personnes âgées, de malades ou bien d'enfants, ils sont capables d'émettre une alerte lorsqu'une situation semble le nécessiter.
Parmi les plus anciennes, on a retrouvé la trace d'une prothèse constituée par trois segments de bois maintenus en place par du textile sur la momie d'une femme de Thèbes en Égypte (-3000 av. J.-C.).
Certains croquis sont encore plus troublants puisqu'ils suggérent que son étude de l'anatomie humaine avait, semble-t-il, abouti à la réalisation d'un androïde en armure.
En Tchèque, le mot robota désigne en effet le travail forcé.