Dirigeant le seul gouvernement catholique en Amérique du Nord, il affirme que, pour lui comme pour le patronat catholique, la grève est maléfique. Il réitère que la grève de l'amiante (1949) violait la loi ainsi que la doctrine sociale de l'Église, estimant que désobéir aux lois du gouvernement, c'était aussi violer la loi de Dieu.