Isabelle Villain

Tout d’abord, merci aux éditions Taurnada et à Joël pour ce service-presse.

Nous faisons la connaissance de Rosalie qui a tout quitté avec son mari et son fils Martin pour aller vivre à la « Barberie »,

un écohameau en Alpes-de-Haute-Provence. Elle s’y plaît énormément.

C’est très calme et tous les habitants mettent la main à la pâte pour une bonne vie en communauté. Elle s’est même fait une très bonne amie en la personne de Fabienne.

Mais, un matin, tout bascule : son fils a disparu. Qui a enlevé le petit Martin ? Son père ? Un inconnu ? Dans ce roman, l’auteure alterne passé/présent.

Comme un livre de l’auteure que j’ai beaucoup aimé, même si le côté thriller est plus vers la fin. J’ai été littéralement happée par ma lecture et par cette écriture fluide.

J’ai trouvé tous les personnages intéressants.

J’ai aimé connaître leurs histoires.

En bref, un final vraiment top et très bien construit.

Un livre qui restera longtemps dans ma mémoire.

Je ne peux que vous le conseiller, j’ai hâte de relire l’auteure.

C’est pour moi le meilleur livre de l’auteure et mon premier coup de cœur 2021.
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C'est avec impatience et plaisir que j'ai suivi Isabelle Villain dans son nouveau roman. Elle m'a emmenée dans un hameau écolo des Alpes de Haute-Provence, loin de Paris et des trépidantes enquêtes du groupe de Lost, au cœur d'un thriller inhabituel.

Ce changement radical de style et d'ambiance prouve, s'il en était besoin, le talent de l'auteure. Une écriture abrupte comme un chemin de montagne, un style rude comme un éboulis, des personnages délibérément moins attachants, une atmosphère pesante comme une après-midi de canicule avant l'orage.

La 1ere partie, assez lente pour simuler le "slow life" du hameau pose le cadre mais surtout campe les personnages. Il y a quelque chose de pourri dans ce cadre utopique...

Parmi ces citadins reconvertis en survivalistes autosuffisants, venus chercher un sens à leur vie ou fuir le sens de leur vie, les failles ne manquent pas. Ces"nouveaux départs" ressemblent finalement bien plus à des fuites qu'à des renaissances. Et la question qui se pose, dès le début, n'est pas si mais quand va se produire la tragédie.

Isabelle Villain aborde ici des thèmes on ne peut plus brûlants : l'écologie, la société de consommation, les médecines alternatives, la radicalisation, les dérives sectaires...

Hormis la radieuse figure tutélaire de Michel, fondateur du hameau, authentique, généreux, convaincu, positif tous les personnages sont malsains, tous cachent une tare, un excès ou un vide, tous ont des faiblesses, tous sont influencables car en perdition, (ce qui rend crédibles leurs installations aussi soudaines qu'ahurissantes au hameau)

Tout est donc réuni pour dériver vers la fatalité à la mort du patriarche sous l'égide possessive et autoritaire de Rosalie conjuguée à la violence latente d'Arthur. L'idéalisme béat, le mysticisme et la lâcheté des habitants devient le terreau fertile de l'endoctrinement. La lucidité de quelques autres, le déclencheur du drame.

Isabelle Villain signe ici un thriller atypique et en dehors des codes du genre que j'ai beaucoup aimé, dévoré en une journée, la tension grimpant de page en page jusqu'au dénouement logique et amer.

Je recommande ++ pour le fond et la forme !

On a tous rêvé un jour de tout quitter pour une vie meilleure, plus saine, pour vivre avec la nature et au rythme des saisons. Rosalie et Philippe l'ont fait. Et ce n'est que le début avant que tout bascule ! Ce premier Thriller d'Isabelle Villain nous tient en haleine dès les premières pages et nous emmène sans jamais nous ennuyer. La plume est fluide et agréable et on ne le lâche pas tant on a envie de savoir...

La première partie plante le décor mais tout s'accélère pour virer au cauchemar, encore et encore... on est surpris jusqu'au bout !

C'est toujours bien documenté, on apprend toujours quelque chose. J'ai passé un très bon moment ! Merci Isabelle

Voilà quelques mois que je n'arrivais plus à lire de thrillers, je n'étais plus dans le mood. C'est donc avec cette lecture que je décide de rouvrir le bal. Grosse pression donc pour ce petit thriller de moins de 250 pages...



J'aime tout dans ce livre qui me happe dès les premières pages ; l'atmosphère, l'intrigue, la construction et la chute.



J'aime beaucoup tout ce qui se cache réellement derrière la vie dans le petit hameau. L'auteure glisse dans son roman, de manière plus ou moins insidieuse, toute une panoplie de thèmes, de problématiques toutes plus actuelles les unes que les autres. Je trouve que le tout est orchestré d'une main de maître.



Ce thriller a répondu à toutes mes attentes, je vous le conseille !

C'est à Pas de loup qu'Isabelle Villain nous introduit dans ce récit, le bien-être ressenti au départ évolue, et c'est un sentiment horrifique qui nous emplie rapidement.

L'histoire est inspirée par des dizaines de faits réels qui donnent la chair de poule.



Si un petit village loin des réseaux sociaux avec son petit potager collectif me tentait d'un coup l'idée me parait bien dangereuse ! J'ai été emportée et j'avais hâte d'en connaitre le dénouement. Trop cartésienne pour ne pas avoir compris l'intrigue de départ, je n'en ai pas pour autant moins frissonné d'effroi.



La Barberie, minuscule village au cœur des Alpes de Hautes Provence, serait un lieu paisible si des loups n'attaquaient pas les brebis, divisant sa communauté et si le petit Martin n'avait pas été kidnappé quelques jours plus tôt par son père, Philippe.

Ces habitants ont décidé de quitter le confort de leur vie, pour vivre en autarcie, se nourrissant des fruits et légumes cultivés et appliquant tous les préceptes écologiques.

Rosalie, un caractère d'emblée à mes yeux antipathique, est celle qu'on écoute aveuglément surtout depuis le décès de Michel son fondateur. Avec les années, elle a su développer une espèce d'aura que peu osent contredire. Clémentine, 17 ans est totalement fascinée par elle. Philippe l'avait bien compris et c'est pour cela qu'il avait choisi de partir, 2 ans auparavant. Décidé à sortir son fils de ce système sectaire, il sait que la partie n'est pas gagné, car Rosalie a bien changé depuis elle ne se laissera pas berner facilement. Martin est son pilier, sa raison de vivre, la raison de cette communauté. En parallèle, nous apprenons des agressions violentes dont une conduira à la mort. Il y a t-il un lien et si oui lequel ? Dans quoi se sont embarquées ces familles et jusqu'où cela les mènera t-il ?
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Un de mes premiers coups de coeur de 2021.

Pardon de vous le livrez seulement maintenant

Quand Rosalie, Philippe et leur fils Martin s'installent à La Barberie, un éco-hameau au coeur des Alpes-de-Haute-Provence, le rêve tourne rapidement au cauchemar.

Avec ce roman Isabelle Villain m'a totalement surprise en changeant de registre, passant du roman policier procédural au thriller psychologique. Mais ce qui ne change pas chez Isabelle c'est sa plume toujours aussi fluide. C'est aussi cette façon qu'elle a de personnalisé ces héros. D'entrer dans leur tête. Car ce qui fait la particularité de ce polar c'est sa forme mais aussi la merveilleuse façon due l'auteur a de camper ses personnages.

Et l'on comprend comment ces idéalistes, ses simples quidams qui aspirent simplement à vivre plus librement, plus sainement peu à peu dérivent vers un futur qui au lieu d'être enchanteur et enchanté devient sectaire, étriqué et en total replis sur lui-même.

Oui vraiment si la tendance du retour au source semble être une porte de salut pour notre survie c'est sans compter sur les travers de notre humanité. Ne dit-on pas l'homme est un loup pour l'homme. Le loup le personnage emblématique de cette intrigue.

Alors merci Isabelle pour ce roman emprunt d'espoir mais aussi de réalisme.


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Quelle claque A Pas de Loup d' Isabelle Villain !



J'ai été happée par cette histoire des plus noire.... Un thriller haletant !



Tout commence doucement et la tension monte crescendo jusqu'au point final !



Je n'ose donner trop de détails de peur de gâcher les retournements de situations qui m'ont bluffés !



Quelle maestria !



J'ai mis moins de 24 heures pour lire ce roman tellement la plume de l'auteure est addictive et vous entraine dans son univers.



Je vous le recommande vivement !

Le domaine de l’écologie n’est vraiment pas mon domaine de prédilection, c’est même quelque chose que j’ai tendance à fuir. Je sais, ce n’est pas bien, mais je n’aime pas qu’on me donne des leçons et qu’on juge ma façon de vivre. Bref.



Dans ce roman l’écologie est la toile de fond d’un fait plutôt anodin : Philippe, le mari de Rosalie, a quitté leur éco-communauté depuis 2 ans, « viré » parce qu’il ne partageait plus les idées de la communauté. Et donc cela fait 2 ans qu’il ne voit plus son fils, Martin, lorsqu’il décide de le « kidnapper », de l’extraire de ce hameau un peu hippie. Rosalie, ère louve excessive, va tout faire pour retrouver son fils. Tout. Même le pire.



Je n’en dévoilerai pas plus, mais ce roman bien construit et vraiment très prenant pose une question : comment une manière de vivre, une manière de penser, peut-elle devenir une idéologie, et même un extrémisme ? Car si la communauté éco-responsable de la Barberie est partie d’une idée louable – quitter la société de consommation pour une façon de vivre plus tournée vers la terre – cela va se transformer en un endoctrinement, voire une secte, dont il est difficile de réchapper.



C’est tout ce que j’en dirai, de risque d’en dévoiler beaucoup trop. Retenez surtout qu’Isabelle Villain nous propose un roman vraiment intéressant, que j’ai eu plaisir à lire. L’intrigue n’est pas banale, et encore une fois elle nous plonge dans un univers peu traité, tout comme dans Blessures invisibles et le SSPT. Je ne peux que vous conseiller de le lire dès sa publication le 14 janvier.
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Juillet 2019, à la Barberie, un éco-hameau. Le fils de Rosalie, âgé de dix ans, a disparu. Elle ne souhaite pas prévenir la police, car elle est persuadée que c’est Philippe, le père de l’enfant qui l’a enlevé. En effet, depuis leur séparation, il y a deux ans, elle ne l’a autorisé qu’une seule fois à voir Martin. Ses doutes sont confirmés par un sms que son ancien compagnon lui envoie : il ramènera leur petit, dans une semaine. Les autres habitants s’inquiètent. Et si Philippe ne tenait pas parole ? Tous ont encore en tête le motif de son départ de leur paradis. Rosalie a-t-elle raison de penser qu’il ne fera aucun mal à son fils ?





En 2009, le couple avait rencontré Michel, sur un marché. Ce dernier avait expliqué son besoin de « Changer de vie tout en changeant le monde » (p. 36) et leur avait fait visiter son éco-hameau. Séduits par cette vie en communauté, loin de la société de consommation, Rosalie et Philippe avaient emménagé, alors que Martin avait six mois. Ensuite, d’autres familles les avaient rejoints, apportant leurs compétences dans ce microcosme bienveillant. Dans la première partie, l’auteure présente les habitants et les raisons de leur choix de tout quitter pour vivre au plus près de la nature. A pas de loup, cet animal qui divise les protecteurs de la faune et les éleveurs, elle montre les failles de cette vie idyllique.





Le récit est une alternance du présent et du passé. Certains évènements ne semblent pas liés aux autres, mais le puzzle se reconstitue à la fin. Pour les faits actuels, les jours sont décomptés à partir de l’enlèvement du petit Martin. Au fil des pages, la peur se déplace. Les interrogations se multiplient au sujet des intentions de Philippe et sur la cause de son bannissement, mais aussi à propos de la Barberie. Et de retournements en surprises, nous comprenons qu’une phrase rapportée hors contexte, sans le début et la fin du propos ou encore, un acte sans ce qui précède ou suit, induisent des certitudes erronées et même entièrement contraires à la réalité. Nous prenons conscience que le pouvoir peut écorner les intentions louables, les volontés peuvent basculer sans que cela soit perçu. Les éléments, qui conduisent au drame, se sont amoncelés sans que personne ne les devine, les grains de sable sont devenus une dune. Mais il est déjà trop tard…





La suite sur mon blog...




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Quand le psychologique prend le dessus...



Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, Isabelle Villain change de registre et nous bluffe carrément ! Elle sort de sa zone de confort et c'est vraiment très bien fait ! Merci à Joël des éditions Taurnada et à Isabelle pour leur confiance 😘



Les Loulous, nous voici dans les Alpes-de-Haute-Provence ! Dans un hameau où les gens vivent en communauté participative et où la vie se déroule sans encombre. Enfin presque. Nous apprenons le fonctionnement, la douce sympathie de faire ce que l'on veut, en toute liberté. Rosalie et son fils vivent ensemble. Philippe est parti voilà deux ans de ça. Et bien sûr arrive un moment où il veut revoir son fils... Une action va en entraîner une autre et tout va partir en quenouille !



Isabelle nous fait monter doucement en pression ! Elle nous harponne avec une belle histoire bucolique, pleine de belles choses, un tableau idyllique et plein de couleurs. Elle nous fait voyager et aimer ce département. Pas franchement montagneux, pas très loin de la mer, avec des plateaux de lavandes magnifiques. Et puis, petit-à-petit, le tableau s’assombrit. Les histoires s'entremêlent, les paroles se heurtent, se choquent, s'envolent vers un dessein différent.

Elle joue avec notre cerveau limbique et reptilien. Elle actionne l'un ou l'autre, elle active telle ou telle commande voire les deux en même temps. En véritable chef d'orchestre, elle nous amène avec une facilité déconcertante jusqu'au dénouement de son histoire où l'on reste scotché, la mâchoire sur les genoux et le souffle court !



Le Bibou tient absolument à ce que j'aborde quelques sujets du livre. Alors en effet, on repart quelques années en arrière avec des faits divers et des histoires très connues dans cette région ! On voit également apparaître les mésententes sur le sujet du loup ! Pas si simple de trancher cette affaire. Mais le sujet phare restera pour moi (Le Bibou est plus ou moins d'accord avec moi 😏 ) les relations entre les êtres humains ! En fonction du lieu, de la configuration et de l'environnement...



Je ne vous en dirais pas plus...



Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous invite à découvrir cette nouvelle lecture « A pas de loup » d'Isabelle Villain. C'est un thriller psychologique qui vous embobine sans que vous ne vous en rendiez compte ! Grâce à sa plume touchante et pleine de couleurs, elle joue sur le panel du sombre grâce aux jeux de lumière ! Et c'est très bien fait ! Alors on fonce ?
Lien : https://linstantdeslecteurs...

Ce livre semblait attrayant et je me réjouissais de le lire. Ce fut une déception !



Tout d'bord le thème, qui apparaît dans beaucoup d'œuvres, et qui commence à m'insupporter, je parle de l'écologie, le retour à la nature, etc. alors que je suis très proche de la nature, c'est assez paradoxal, j'avoue, mais lire cela me saoule !



Je n'ai pas du tout adhéré à l'histoire. Le style d'écriture est simple, en cela rien à redire. Pour autant, désolée, mais rien de m'a permis d'accrocher.

Ceci dit, je n'ai pas vu venir la fin. Pour cela, bravo !

Pour avoir déjà lu 2 romans de cette auteure "Blessures invisibles" et "Mauvais genre" que j'ai adorés et j'ai découvert "A pas de loup".



Rosalie, Philippe et leur petit Martin de 6 mois vont tout quitter pour s'installer à la Barberie qui esr un éco hameau.



Je me suis sentie happée dès les premières pages par cette histoire dont certains personnages sont très attachants comme le petit garçon Martin et son papa. Par contre, la maman, Rosalie au fil du temps nous montre un visage endurci au fur et à mesure dans ce récit.



Tout se passe bien pour eux dans cette nouvelle vie, jusqu'au jour où des grains de sables vont s'infiltrer jusqu'à une fin de non retour et le cauchemar va commencer..



Comme pour ces autres romans, j'ai aimé la plume de l'auteure, ses recherches sur la vie en éco hameau. Les personnes qui y habitent ont chacun un rôle déterminant et chacun y participe (jardin, cuisine, travaux, école pour les enfants...). 



Personnellement, je suis trop citadine pour apprécier cette vie mais qui sait d'autres parmi vous, vont se découvrir l'envie de tout quitter en lisant ce roman ...



En tous les cas, 👏 Isabelle, pour moi c'est encore un sans faute car j'ai beaucoup apprécié ce thriller psychologique.



J'aime beaucoup l'univers sombre dans lequel l'auteure nous guide dans chacun de ses romans, cela démarre doucement jusqu'à évoluer crescendo. C'est de cet univers de lecture dont je raffole ...


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J'ai passé mon dimanche après-midi avec Isabelle Villain.



Elle m'a embarqué avec elle au coeur des Alpes-de-Haute-Provence, à « La Barberie », un éco-hameau tout ce qu'il y a de plus paisible. Un village d'un genre nouveau peuplé de néoruraux bien décidés à fuir la folie des hommes et à trouver un autre mode de vie où la surconsommation n'est plus la règle. Une communauté en phase avec la nature pour des habitants plus apaisés et donc plus heureux. Las, les meilleures intentions n'aboutissent pas toujours aux meilleurs résultats…



Ayant lu les précédents polars d'Isabelle Villain, Mauvais genre et Blessures Invisibles, je me doutais bien que l'aventure n'allait pas être si paisible que ça. Et je dois reconnaitre que quelques scènes ont bien failli me faire avaler la chantilly de mon chocolat liégeois de travers ! de « Barberie » à barbarie, il n'y a qu'un pas et qu'une lettre…



En effet, ce qui commence comme une histoire de bobos en mal de grand air glisse imperceptiblement vers un redoutable thriller peuplé de faux-semblants. Ne jamais se fier aux apparences, le mal s'insinue parfois… À pas de loup !



Vous l'aurez compris, je n'ai pas vraiment passé mon dimanche après-midi avec Isabelle Villain mais avec son dernier roman que j'ai dévoré en quelques heures et que je vous recommande vivement.




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Isabelle Villain fait partie des auteurs que j'ai plaisir à lire. Et cette fois-ci ne déroge pas à la règle.

Même s'il y a eu quelques passages un peu longs à mon goût et un faible attachements aux personnages, j'ai aimé l'histoire.

D'ailleurs, cette histoire, je dois vous avouer que je ne m'y attendais pas du tout. Je me suis laissée avoir par le titre. Mais à quoi m'attendais-je ? Certainement à une histoire de personnes vivants en autarcie, aux prises avec des loups... Que sais-je ? En tout cas, je ne m'attendais absolument pas à la tournure qu'a donnée Isabelle à son roman.

Grâce à un gros travail de recherches, elle pose le décor, magnifique à première vue. Puis diffuse peu à peu la noirceur. De celle qui s'ancre au début en arrière plan puis qui se distille au goutte à goutte jusqu'à ce qu'elle atteigne le devant de la scène.

J'ai été totalement surprise et happée par cette histoire. Et je ne peux que vous suggérer de la lire.

Rosalie, Philippe et leur fils Martin décident de tout quitter pour vivre à la Barberie, un petit hameau ou le maître mot est auto suffisance.

Une petite hameau ou tout ce passait bien... Mais un jour.... Tout bascule et la les choses changent....



J'ai apprécié ma lecture malgré quelques longueurs...

J'ai découvert des associations que je ne connaissais pas...



Ma lecture fut relativement fluide, avancé pas à pas en découvrant l'histoire de chacun mais surtout de Rosalie...

Découvrir que rien n'est jamais ce qu'il paraît...

Que la confiance aveugle n'est jamais bonne...

J'ai beaucoup aimé le dénouement...

Un grand merci aux éditions Taurnada et à Joël pour l’envoi de ce roman que j’ai pris plaisir à lire avant sa parution en janvier 2021. Je suis ravie d’avoir retrouvé la plume d’Isabelle Vilain que j’avais découvert avec Mauvais genre.



A pas de loup, nous raconte l’histoire Rosalie, de Philippe et de leur petit garçon Martin. Ils ont tout quitté pour partir dans un village totalement isolé. C’est un retour aux sources, ou il cultive leurs légumes, vendent le reste sur les marchés et fuit la société de consommation. Pourtant loin du cadre idyllique, on comprend très vite que Philippe est parti il y a deux ans et que les deux époux ne sont plus sur la même longueur d’onde. Que s’est-il passé ? L’auteure va susciter le suspense jusqu’au bout.



L’intrigue est superbe, on est happés dès les premières pages, les éléments s’enchaînent parfois sans qu’on arrive a bien comprendre mais à la fin toutes les pièces du puzzle s’assemblent pour former un très bon roman.



En bonne citadine que je suis, j’ai eu un peu de mal à rentrer dans le roman, du mal à comprendre l’envie de tous ces personnages de tout plaquer pour se retrouver à la campagne au milieu de nulle part. Moi qui rêve de vivre dans une grande capitale européenne, entourée de plusieurs millions d’habitants, j’étais absolument horrifiée au début de ma lecture. Et puis au fil des pages, on s’attache de plus en plus aux personnages et j’ai réussi à surmonter ma crainte du départ. Ce roman est finalement un coup de cœur.



Les personnages sont attachants, j’ai adoré Philippe ou encore Martin que j’ai trouvé extrêmement mature pour son âge. J'ai eu un peu plus de mal a apprécier Rosalie mais c'est sans aucun doute le personnage le plus fascinant.



Enfin je tire mon chapeau à l’auteure pour ce travail de documentation : tout est incroyablement bien décrit et j’ai voyagé dans des coins qui me sont totalement inconnus, j’ai appris énormément à propos des loups, de la Russie et j’en passe. J’avais déjà souligné ce point dans ma critique de Mauvais genre et je remarque une nouvelle fois ce style très détaillé qui m’a beaucoup plu.



Pour finir, il faut souligner la fin du roman. Je ne vous donne pas de détails pour ne pas dévoiler l’intrigue mais elle m’a tout simplement fait froid dans le dos. C’est encore une fois une très bonne découverte et je vous recommande vivement de ne pas passer à côté de ce superbe thriller.
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Rosalie vit avec son fils Martin dans un hameau reculé dans le sud de la France, la Bergerie.

Quelques familles y vivent ensemble dans une paisible autarcie. Jusqu'au jour où Philippe, le père de Martin, kidnappe son fils qu'il n'a pas vu depuis 2 ans.

C'est le début d'une longue descente aux enfers pour les habitants de la Bergerie, Rosalie en tête.

Dans cette histoire, il n'y a pas d'enquête, mais des morts. Il y a des personnages forts et d'autres plus faibles, mais est-ce vraiment comme ça.

L'auteur nous distille une histoire qui s'assombrit doucement mais sûrement, où une forme d'horreur (le mot est un peu fort) se met en place pour aboutir au final.

Alors un conseil : avant de rentrer dans la Bergerie, assurez-vous que le loup n'y est pas.

Quel roman incroyable au début je me suis laissé emporter dans cette histoire de famille poignante, j'avais beaucoup de peine pour ce couple séparé et je me suis posé beaucoup de questions.



- Comment un père peut-il être séparé de son enfant et quelles sont les raisons?



Mais en continuant ma lecture, j'ai sombré dans l'angoisse et la vérité arrive à petit pas.



Ce roman est différent de ses autres thrillers, Isabelle Villain y aborde un sujet que je trouve terrifiant et je pense que vous serez de mon avis.



Manipulation, folie, violence jusqu'où peut-on aller lorsqu’une personne perverse n'a plus rien à perdre.



Les extrêmes sont très dangereux, des gens prêts à tout pour vivre hors de ce monde de surconsommation et c'est toujours pour des bonnes causes au départ puis après plusieurs dérapages incontrôlés, ils sombrent vers un point de non-retour.



On sombre dans une folie où la mort se frotte les mains quand elle voit arrivés ces pauvres âmes piégées par le loup.



Vraiment terrifiant ce roman et je ne m'attendais pas à une telle conclusion. Quelle horreur!!!



Un très gros coup de cœur pour moi avec ce roman qui ne m'a pas laissé indifférente, ça fait peur, c'est terrifiant et surprenant jusqu'où une âme humaine peut contrôler et prendre le pouvoir sur certaines personnes plus faibles. C'est incompréhensible, cette folie qui peut se propager et prendre le pouvoir sur ces gens faibles et perdus.



Merci beaucoup à l'auteur pour ce nouveau roman très réussi et aux éditions Taurnada pour leur confiance.



Je vous conseille vivement de lire ce livre qui parle d'écologie, de la nature mais aussi d'un autre sujet très grave et rarement abordé.
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Un roman d’ambiance bien noir. Une lente montée en puissance. Des personnages attachants. On se sent bien dans ce hameau. On a tellement envie d y croire.... et puis évidemment un petit grain de sable enraye la machine. Tout s’emballe et l’auteure nous emmène où elle le souhaite. Tout est maitrisé. Le suspens est au rendez vous. La thématique est très fouillée et documentée. Une vrai « plus ». J’aurais peut être apprécié en connaître un peu plus sur l héroïne, sur son passé mais c’est un détail. Je connaissais Isabelle Villain pour des polars haletants. Ce premier thriller est une réussite ! Je ne l’ai pas lâché.

Ce thriller commence comme un récit bucolique et la toile se tisse au fil des chapitres.

J’ai aimé le squelette du roman, qui permet de connaître le parcours de tous ses protagonistes. Les personnages sont particulièrement bien construits. J’ai eu l’impression d’en être proche, de visualiser chacun d’eux et c’est une des grandes forces d’Isabelle.

La mécanique du thriller est vraiment maîtrisée puisque la tension naît au fil des pages et qu’il m’a été impossible d’arrêter ma lecture avant de connaître le fin mot de l’histoire. J’ai aimé retrouver des lieux qui me sont chers et dans lesquels il m’a été très facile de me projeter.

C’est un passage du polar au thriller mené de main de maître et j’espère qu’Isabelle Vilain continuera à alterner les genres.

C’est un livre qui sort des sentiers battus, qui pousse à la réflexion avec les différentes thématiques explorées ou suggérées : l’écologie, le militantisme, la foi et la confiance à avoir en l’homme et en l’autre.

Dois-je le dire ? J’ai adoré !