« La France... tire sa dénomination d'une tribu d'étrangers traîtres à leur propre religion et qui ont colonisé une colonie romaine en voie de décomposition. La France est un concept contre nature car ce n'est ni un pays, ni un peuple, ni un territoire, ni une nation, la France n'a jamais été, et ne sera jamais, hélas, qu'un Etat doublé d'une énarchie. La France n'est pas un pays, mais une zone plus ou moins hexagonale, où se trouvent plusieurs peuples, et de nombreux individus cohabitant sur des territoires divers. »(
"En renonçant spontanément à parler sa propre langue dans son propre pays, on signe l'abdication de la dernière souveraineté qui pourrait être encore incontestable, la souveraineté culturelle de tous les peuples".
«La différence entre un peuple et une masse, c'est qu'un peuple est composé, non pas d'individus, ni «d'êtres vivants», mais d'hommes, de femmes et d'enfants reliés les uns aux autres par une culture commune qui les rend tous solidaires, qu'ils le veuillent ou non ... Les mouvements révolutionnaires sont encombrés de pseudo-révolutionnaires, qui ne sont que des crypto-nostalgiques qui répètent des formules livresques sans tenir compte des situations concrètes» (dans Henry Gobard: La Guerre culturelle logique du désastre, Editions Copernic, Paris, 1979, p. 56).
«La guerre culturelle n'est pas une guerre déclarée, ce n'est pas la guerre d'un Etat militaire, c'est la guerre d'une société empoisonneuse contre la culture d'un peuple...