Quel besoin a-t-on de gentillesse ? C’est une manie. Les gens s’abrutissent avec un simulacre de bonheur. Au fond d’eux-mêmes, ils trichent, car ils savent très bien que ça n’existe pas.
Malgré les soins dont elle entoure sa beauté, il lui est impossible de freiner le temps, cet irréductible ennemi des jolies femmes.
On trouve toujours des mercenaires, quand on y met le prix.
Les clichés n’excluent pas la beauté.
Mieux vaut faire envie que pitié.
L’amitié entre homme et femme, surtout quand celle-ci est ravissante, je n’y crois pas.
L’être humain est un mélange, mais je persiste à croire que le mal domine.
L’argent est indispensable, mais il n’est pas nécessaire de faire des bassesses pour l’obtenir, ni de commettre une mauvaise action.
Les lois de la chasse sont celles de la guerre. Les règles de l’honneur sont périmées. L’odeur de la poudre est grisante. Qui veut la fin… Allez donc dire à l’ennemi prêt à vous abattre : tirez le premier… Foutaises que les mots historiques ! Le règne de la terreur et de l’absurdité, oui ! Chacun pour soi et Dieu pour personne !
Au fond des yeux gris, qu’elle avait cru si bien connaître, où elle avait vu s’allumer le reflet de sa propre tendresse, elle lut, l’implacable verdict. Le mot « fin ». Comme dans un film terminé, au bas du dernier chapitre d’un roman.