Thorgal est une série que j’ai beaucoup appréciée. J’aime beaucoup l’univers avec le coté historique et mystique, les Vikings, les magiciens, les légendes et les dieux. Les personnages sont forts et attachants, la définition même des héros. Le graphisme des illustrations convient parfaitement au thème.
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Ce qui étonne en premier, c'est le blanc. Fini le climat tropicale du cycle Kha. On en revient à une histoire plus confinée, moins de personnages et toujours autant de tension. Van hamme maîtrise son sujet à la perfection. Ce tome est simple et efficace.
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Saga typiquement thorgalesque. Ce genre a un peu vieilli, mais reste agréable à lire, on reconnait la patte de Rosisnsky.
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Je ne découvre que maintenant cette oeuvre de Rosinsky et Van Hamme, je m'étonne d'être passé à coté. C'est un très beau récit en noir et blanc, une fresque, une légende pleine de sagesse. On y décèle la créativité et le style des artistes qui façonneront les Thorgal.
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Alors là, non.
Après avoir apprécié le tome 1 (Sioban), bien que le considérant en deçà du second cycle (Les chevaliers du pardon), je n'ai pas pu adhérer à celui-là.
Trop de surenchère de magie à la papa, entre l'armée de morts-vivants, la communication avec le cadavre du père via une petite bestiole rouge, et surtout, surtout, cet oiseau maléfique grandiloquent, ridicule et hyper mal fait, mais Rosinski, qu'est-ce que t'avais bouffé ce jour-là ?
Comme une autre commentatrice, l'histoire de l'amour au cœur du mal et du mal au cœur de l'amour me laisse perplexe, et je dirai que ça ressemble de plus en plus à de la poésie à deux balles (et où est la complainte, la complainte des landes perdues, et la prophétie nianiania), et là je retrouve les mauvais côtés de Dufaux que j'ai déjà évoqués dans des séries comme Double Masque ou Voleurs d'Empires.
Là où, dans le cycle des Chevaliers du Pardon, il prend le temps de développer son histoire sur 4 volumes, ici il semble pressé et même précipité par le format diptyque, et toute l'histoire résumée en 4 pages à la fin méritait sans doute un peu plus de place. En plus des désagréments nommés ci-dessus, on finit donc sur une méchante impression de bâclage.
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40 ans et 29 tomes. La famille de Thorgal est au plus mal, rejetée, sans un sous et affaiblie. Une prière sincère et les dieux ou demi dieux vont intervenir car l'enfant des étoiles ne peut finir ainsi. Jean Van Hamme fait ici intervenir des personnages de sa mythologie. Le dessin prend de la couleur mais les traits de Thorgal et des siens me paraissent plus grossiers.
Je l'ai lu parce que je suis attaché à ce héros mais je n'ai pas trouvé d'intérêt particulier à cet opus.
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Je connais peu la série thorgal , j'ai commencé par ce tome. Je le trouve interessant , un peuple qui voie en son fils un messie pouvant produire le feu écarlate. Une assez bonne lecture
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Thorgal rencontre le peuple des Atlantes, son peuple, qui a quitté la Terre il y a fort longtemps pour s'installer sur une planète lointaine. Les survivants, avides de pouvoir, sont de retour pour conquérir à nouveau la Terre. Même si les thèmes sont récurrents, je trouve toujours les aventures de Thorgal distrayantes.
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Etonnant la colorisation de cet album. Tout en créant de magnifiques décors (des oeuvres d'art qui valent les couvertures), les personnages en deviennent, quant à eux, méconnaissables.
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Très bon cet album qui met en scène des voyages temporels. Le scénariste déborde toujours un peu plus au fur et à mesure des aventures, de son champ initial.
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Retrouver un véritable épisode de Thorgal après tous les spin-off sortis ces derniers temps est un vrai plaisir, même si ces derniers se montrent sympathiques. Et c'est là que l'on se rend compte de ce que Rosinski apporte à cet univers, car le dessin s'approche plus de la peinture que du dessin traditionnel de bd. Il a aussi su faire évoluer physiquement les personnages, ainsi les traits de Thorgal semblent-ils plus lâche, marqués pour ce héros encore en pleine forme mais vieillissant doucement au gré de ses aventures. Ensuite, le scénario nous emporte lui dans les tréfonds de Bag Dadh, au sein d'une confrérie de fanatiques religieux endoctrinant les enfants et les esprits faibles, sujet hautement politique ces derniers temps, pour nous plonger dans un chaos indescriptible lié à la guerre. Il y a un double lecture à faire ici, détente bien entendu, mais aussi psychologique.
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Ou comment concilier le Nouveau Testament et 2001 L'Odyssée de l'Espace dans un univers à la Tolkien!
Bravo! Tout y est réussi, des dessins aux textes, magnifique!
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Je dirai qu'en terme de scénario trop de retournements ont tendance à tuer les retournements de situation.
Les choses semblent ici bien trop transparentes, même si foutraques, à force de rythme effréné.
Les procédés répétitifs de manipulation mentale et de traîtrise semblent assez faciles et répétitifs.
Peu convanicant.
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Thorgal par en quenouille :changement de scénariste "again"
Après avoir lu la BD la question est plutôt : y a t il un scénariste derrière tout ça ?
Je me demande ce qu'en pense Van Hamme car il a toujours un droit de regard ; tant que les royalties sont là :-)
Même le dessin de Rosinski semble brouillon ; à mon avis il a eu une promotion sur le rouge : tout est rouge (le feu, les yeux les manteau les barbes)
REPRENEZ VOUS LES ENFANTS !!!
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Critique deux-en-un des deux derniers tomes du cycle.
J’étais, j’avoue, curieuse de savoir comment seraient amenés ces deux prochains volumes, sachant que l’histoire se terminait très bien au deuxième album.
Comme d’hab’ je me suis laissée portée au début par le dessin de Rosinski puis il y a eu comme un couac. Une belle-mère façon Blanche-Neige, des complots très (trop facilement) menés, une ritournelle inversée, des cases moins travaillées, et j’ai serré les dents très forts entre l'après-début-Dame Gerfaut et la mi-début-Kyle. Puis tout a repris un certain sens, et les fausses notes se sont tues.
Deux tomes à regarder mais dont on aurait pu se dispenser.
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Un petit bijou, tant sur le plan graphique que scénaristique, et poétique. Eviter la version colorisée, qui "gâche" la pureté de l'encre de chine, a mon humble avis. C'est l'une de mes BD "préférées de tous les temps" (et j'en lis!)
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un thriller se passant à Paris fin XIXe siècle (avec un petit détour en Pologne et en Haïti...) très bien construit, machiavélique et digne d'Alexandre Dumas (lol!). Le tout très bien mis en image dans une ambiance sombre quoique assez riche dans les salons du "tout Paris" de l'époque.
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L’album est un vrai plaisir pour les yeux. Le scénario quant à lui, même s’il est plein de trouvailles intéressantes, reste dans la grande tradition du genre. Un jeune héros anonyme auquel on confie une mission qui transformera le monde, avouez que c’est un grand classique. Pourtant, le jeune Schninkel, n’est pas du tout convaincu de son destin unique. Il ne sait pas comment s’y prendre et il subit les évènements plutôt que d’en être l’acteur. Seule sa compagne, la belle Gwel, semble retenir son attention. C’est inventif, souvent drôle mais l’aventure a l’air d’avancer sans le concours du petit Jon complètement perdu dans cette quête un peu trop grande pour lui et cela m’a un peu gêné. Malgré tout, cet album vaut le détour ne serait-ce que pour ses superbes dessins.
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