« il se dégager de moi en riant et même si je savais qu’il n’allait que se débarrasser du préservatif, je voulus le rappeler, détestant le vide que je ressentais sans lui. C’était comme si on avait été connecté, comme si un lien s’était formé. Écartant cette idée folle, je rabattis les couvertures sur moi et je regardais le plafond mansardé de ma chambre.
On avait rien signé de tel. Il n’était pas à moi, ni moi à lui, pas à mon terme en tout cas. Je devais me débarrasser de ma vie d’ermite. Et Max était canon, sexy et il me désirer. Peut-être que je n’étais pas comme les filles qu’il fréquentait d’habitude. Je vais me retourner fit face au mur opposé. »
« On avait toutes entendu parler du passé de nos hommes avant nous. C’étaient de vrais coureurs. Alors quand ils tombent amoureux, c’est très fort. Personne d’autre ne compte à part nous. »
« — Wilbur est toujours avec toi ?
— Ouais... soupirai-je. Je ne comprends pas. Il me hait. Et pourtant, il reste…
— C’est parce qu’il t’aime.
— C’est parce que je le nourris, la contrai-je. Tout ce que je récolte, ce sont des griffures et des morsures en récompense de mes efforts. Je songe à faire une demande d’émancipation. Je peux faire ça avec un chat ?
Elle éclata de rire.
— C’est pour ça que Jack serait parfait.
— C’est pas un chat errant, marmonnai-je. »
« « Tu es le seul à pouvoir façonner ton destin. Ne laisse pas la colère que tu as envers les autres te changer. »
« Elle allait bientôt apprendre que j’avais la ténacité d’un bouledogue. J’étais décidé à connaître cette fille ombrageuse aux yeux ambre, et rien ne m’arrêterait. Mais avec son attitude dédaigneuse et les barrières qu’elle avait déjà érigées entre nous, le temps était mon seul allié pour le moment. »
« — Je vais te donner tout le temps dont tu as besoin. Tant que tu reviens vers moi…
Mes larmes menacèrent de couler. Il méritait mieux, pas quelqu’un comme moi, tellement remplie de peur.
—... parce que je suis fou amoureux de toi. »
« — Tu comprendras bientôt que j’ai raison, Logan.
— Sur quoi ?
— Nous.
— Tu es fou.
— Probablement. Trois jours et tu m’embrasseras. Trois semaines, tu m’aimeras. Dans trois ans (il s’esclaffa ouvertement)… ? Qui sait ? »
« — J’ai écrit ce morceau pour une personne très, très spéciale.
— Comment ça s’appelle ? demanda quelqu’un.
— À bout de souffle. Parce que c’est ce que je ressens à chaque fois que je la regarde. »
Pour elle, notre histoire de couple était fausse. Mais pour moi ? C'était une putain de réalité. Et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que ça devienne réel pour elle aussi.
« J’arrangerais cette situation.
Parce que, sinon, ce vide en moi m’aspirerait vers l’abîme, et je ne pouvais plus le supporter. Pas quand j’avais enfin trouvé mon étincelle. »