Citations de Fred Duval (535)
- C’est dingue le nombre d’ex-FFI ces derniers temps, on se demande comment les Allemands ont fait pour tenir aussi longtemps.
- Je suppose que c’est de l’humour…
- Allez savoir…
Quitte à coucher avec les boches, autant avoir la cuisse patriotique ! Elles entrent dans des bordels pour officier, les saoulent, les baisent, et leur tirent les vers du nez… A la Libération, elles sont décorées et quittent le métier… Je leur propose des postes dans les services spéciaux. Elles acceptent… Elles aiment s’infiltrer… Et elles ne doivent plus coucher… enfin, pas systématiquement…
- J'évalue Darboy pragmatique mais sincère.
- Votre approche de l'oxymore est aussi audacieuse et charmante que vos courbes, chère beauté des Amériques. Quelle sorte de muse êtes vous ? J'aimerais le découvrir.
- Attendez, l'avenir du monde se jour peut-être aujourd'hui dans cette rade, et vous, vous me faîtes du charme ? ...
- ... Je vous proposais juste d'approfondir à l'occasion quelques tournures, purement linguistiques, en tout bien tout honneur.
Nous proclamons l'ouverture du tournoi de joute à vélo sans assistance énergétique !
Tu sais ici, on ne pose pas de questions aux clients !
La lang na pwin le zo* !
*Proverbe réunionnais : "La langue n'a pas d'os", il faut faire attention à ce que l'on dit.
- Alors pourquoi l'as tu sauvé aujourd'hui?
- On ne condamne pas un homme deux fois pour le même crime.
Ne craignez jamais de vous faire des ennemis : si vous n'en avez pas, c'est que vous n'avez rien fait.
[...] Les rapports se fabriquent, c'est comme les réputations, on ne peut jamais leur accorder toute notre confiance...
On croit qu'on est au centre du monde, qu'on vaut le déplacement, comme on dit. Mais c'est le paysage, le décor qui finit par vous dégouliner dessus...une sorte de vernis qui vous fixe, un vernis quotidien de résignation.
Je revois les articles de la presse qui titraient sur nos visites, les reportages sur la famille en promenade pendant le jour de repos... Les sous-entendus graveleux aussi, entre le repos du guerrier et le devoir conjugal... Tu parles !
Nos nuits, on les passait plus à surveiller les transfusions sanguines qu'à autre chose, tu vois...
On raconte que le sirènes charmaient les marins de leur chant, mais la reine Cléopâtre a d’autre arguments…
C’est Caius Julius Caesar, dit « Germanicus », que la République envoya en Palestine pour y rétablir la paix de Rome. C’est lui qui gracia un fils de charpentier qu’on disait fils de Dieu et que Ponce Pilate, préfet de Judée, voulait crucifier… Et dont on n’entendit plus jamais parler.
Les papiers de Guérini sont les meilleurs du marché, il les tient d’un de ses amis corses, un certain Pasqua.
- Le gouvernement de la République a pour mission de faire que les bons citoyens soient tranquilles, et que les mauvais ne le soient pas.
- Ben tiens, et c’est toujours les pauvres qui sont les mauvais, hein ?
L’alliance du crime de masse et du crime en série, ce n’est pas incompatible.
- Les Ciliciens sont d’immondes pirates, comment Rome peut-elle négocier avec ces chiens, propréteur Verrès ?
- Rome ne négocie pas, centurion, elle achète !
- Dans toutes les régions du monde conquises par les blancs, circulent des rumeurs de pratiques cannibales... comme pour appuyer le besoin d'humanisation, enfin, d'évangélisation des peuplades locales...
Blondin : - Je pense que les nouvelles vont vite, Trotski : 40 morts civils dans l'attaque de ce matin. Alors, tu as besoin de quel genre d'explication, camarade ?
Trotski : - La révolution n'est pas un diner de gala, Monsieur Blondin...
Staline : - Encore heureux !
Blondin : - Ce n'est pas non plus un abattoir, il y avait des femmes et des enfants, ce matin !
Trotski : - On ne fait d'omelette sans casser des oeufs, comme on dit chez vous.
Blondin : - Tout dépend si on se place du point de vue des oeufs, Lev Davidovitch...
- Si c'est Massu qui donne les ordres, ça va faire comme à Alger, il va raser le quartier !
- sous les pavés la plage, ils vont nous mâcher le travail !
- crois pas ça, petit. On creuse aussi bien des tombes sur les plages, ça va même plus vite !
Trois femmes vivaient dans un village...
La première était méchante...
La deuxième était menteuse...
La troisième était égoïste.
Leur village portait un joli nom de jardin, Giverny.