Une terrible malédiction semble frapper le pays de
George Sand. Une nuit de printemps, un homme
s’écrase au pied d’une église. Le prélude à une
série de meurtres, révélés un siècle plus tôt dans
le livre oublié d’un écrivain obscur.
La peur saisit la région. Et si ces évènements ne
trouvaient d’explication rationnelle ? L’inspecteur
Tharel n’y croit pas, même s’il assiste,
impuissant, à la réalisation des « prédictions » et
à l’accumulation des cadavres.
À sa demande, Paul Kestevan, le détective
berrichon, va mettre tout son talent au service de
cette enquête, malgré l’angoisse qui le ronge : on
vient d’enlever Rachel, la belle inconnue qu’il
brûlait de rencontrer après des mois d’échanges
téléphoniques !
Voilà une idée toute faite qui consiste à dire que les femmes n'ont pas suffisamment de force pour porter des coups sur un homme. Détrompez-vous, certains sentiments violents, certaines émotions, peuvent décupler la force de quelqu'un de manière exponentielle. N'excluez aucune hypothèse de ce côté-là, messieurs.
Tous ceux qui rentrent ici sont convaincus que la raison de leur venue va se révéler la plus passionnante que j'ai eue à traiter. C'est loin d'être toujours le cas.