La première [voie possible pour le devenir posthume des êtres], que l’on pourrait appeler « entropique », se définirait par le complexe destruction-chaotisation-errance-rejet dans le cycle des renaissances. La seconde est la voie néguentropique, celle de l’accession de l’âme à sa destination principielle, à sa dimension incréée, divine voire supra-divine. En termes jungiens, la première consiste en une résorption dans l’inconscient, […] la seconde est la voie de la conscience.