AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

2.43/5 (sur 7 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Marseilles , 1956
Biographie :

Auteure française de romans érotiques BDSM.

Après des études de philosophie à l'université d'Aix-Marseille, Christine Arven intègre le monde de la banque où elle effectuera l'essentiel de son parcours professionnel.

Il y a une quinzaine d'années changement complet de cap. Elle quitte le domaine financier pour s'occuper d'une petite boutique de décoration provençale. Aujourd'hui à la retraite, elle a tout le temps nécessaire pour s'adonner à son activité de prédilection qui est l'écriture.

Elle occupe son temps entre l'écriture et une activité de webmasteur notamment au travers un site qu'elle a créé Rêves de femme

Ajouter des informations
Bibliographie de Christine Arven   (16)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
De toute façon, si réellement elle détestait être traitée de la sorte, serait-elle là assise à côté de lui sans même chercher véritablement à savoir ce qu’elle allait devoir subir ? Quelle femme accepterait une telle situation si cela lui déplaisait vraiment ? Mais Élodie n’était plus depuis longtemps, à ses yeux, une femme ! Elle était son animal, sa propriété et il avait tous les droits sur elle ! Un sourire satisfait étira ses lèvres fines alors qu’il songeait qu’il n’avait, en fait, que mis à jour la nature profonde d’Élodie.
Commenter  J’apprécie          10
Marc avait l’art et la manière de présenter les choses afin qu’elle ne puisse qu’abonder dans son sens !
Tout arrêter… elle savait bien qu’il ne pouvait en être question. Jamais Marc quoiqu’il puisse lui affirmer ne lui en laisserait la moindre possibilité ! Elle n’aurait, de toute façon, pas la force de s’opposer à ses ordres ! Au fil des mois, elle était devenue sa chose, son animal soumis, ainsi qu’il le lui rappelait sans cesse, et elle n’avait d’autre possibilité que de lui obéir et surtout ne pas le décevoir.
Commenter  J’apprécie          10
Chaque jour, Élodie se réjouissait d’avoir rencontré un homme tel que Marc qui lui apparaissait être à la fois sûr de lui, ce qui la rassurait, et attentionné, ce qui la faisait fondre. Pourtant derrière la façade de tendresse et d’amabilité, Élodie discernait parfois quelqu’un de plus dur et plus froid, autoritaire même et empli de certitudes sans faille. Néanmoins, ces traits de caractère, loin de l’effaroucher, au contraire la remplissaient d’aise. Elle qui se sentait si souvent tiraillée entre ses fantasmes qu’elle s’était toujours évertuée à refouler et des valeurs morales de plus en plus difficiles à assumer, il lui semblait avoir enfin rencontré le compagnon qu’il lui fallait. L’homme à qui elle pouvait tout dire ! Avec qui elle pouvait, sans crainte d’être mal jugée, casser les codes de la moralité et de la bienséance ! Elle avait trouvé en Marc quelqu’un de solide sur qui elle pouvait se reposer, qui était à même de la protéger et surtout partager avec elle une part de sa belle assurance qui lui faisait si cruellement défaut.
Commenter  J’apprécie          00
Âgée de 36 ans, Élodie était une belle femme même si elle ne correspondait pas exactement aux canons de la mode en vigueur qui privilégiait les formes longilignes. Grande, avec de longues jambes finement galbées, son corps supportait bien les courbes voluptueuses de ses seins et de ses hanches. Son visage fin encadré de courts cheveux châtains était illuminé par de beaux yeux noisette irisés de reflets verts. Élodie avait un charme certain dont elle n’avait pas vraiment conscience qui attirait irrésistiblement les regards masculins.
Depuis six mois, Élodie s’était séparée de son amant avec qui elle avait entretenu une relation amoureuse pendant près de cinq ans. Ou, plutôt, c’était lui qui l’avait assez brutalement quittée préférant retrouver auprès de son épouse la quiétude de son foyer. Il faut dire que cette dernière avait eu finalement connaissance de la liaison que son mari entretenait avec Élodie. Le choix pour Alain avait été vite fait ! Il était parti laissant Élodie éplorée et déboussolée, le cœur en miette.
Commenter  J’apprécie          00
Il aimait tellement ça, la traiter en chienne, sa chienne soumise, et voir son regard se voiler de honte tout en lui obéissant docilement. Plus encore, il préférait la contraindre à se conduire comme une truie et l’obliger à se déplacer à quatre pattes tout en grouinant. Incroyable, l’effet que cela lui faisait ! Il ne s’expliquait pas vraiment pourquoi animaliser et humilier Élodie l’enchantait. Mais c’était ainsi ! Rien ne le faisait davantage bander que de voir les yeux de chien battu d’Élodie s’embuer de larmes d’humiliation, les joues rouges de honte alors qu’elle exécutait ses ordres toujours plus dégradants.
Commenter  J’apprécie          00
Tu es vraiment une vraie chienne en chaleur ! Alors, cesse de faire ta mijaurée ! Et estime-toi heureuse que je ne te demande pas de venir me sucer et de te masturber ! Mais je veux garder bien chaude ma salope !
Élodie, les joues rouges d’humiliation, se recroquevilla silencieuse au fond de son siège. Marc avait raison. Les images qu’ils avaient fait naître par ses paroles l’avaient excitée alors même que la seule idée d’inconnus usant d’elle la révulsait ! Elle ne comprenait pas ce paradoxe qui la troublait.
Commenter  J’apprécie          00
Marc lui avait intimé l’ordre d’appeler les hommes « monsieur » — sauf le soumis, que l’on nommait par « larve » ou « larbin », mais lui ne comptait pas ! — et de se contenter de consentir à tout ce que lui et eux jugeraient bon de lui ordonner. Pour la femme, quand il parlait d’elle, il la désignait simplement par « la pute » ou « la salope ». À elle aussi, elle devrait obéir si on le lui ordonnait. Élodie se demandait de quel vocable elle serait, elle, qualifiée.
 
Commenter  J’apprécie          00
Que tout cela était trop nouveau ! Qu’il lui en demandait trop ! Qu’il allait trop vite ! Il était encore temps… Ils pouvaient encore faire demi-tour et retrouver le confort douillet de leur appartement. Elle ferait tout ce qu’il voudrait, mais pas ça… Non, elle ne pouvait pas… S’il l’aimait, il comprendrait… Il lui suffisait de respirer lentement, de se calmer et de se lancer… De lui dire… D’oser… Après le prochain virage… au loin, elle voyait se dessiner la courbe d’un rond-point… C’était maintenant ou jamais…
Commenter  J’apprécie          00
Ce monde qui éveillait en elle des pulsions aussi inavouables que tentantes l’avait à la fois fascinée et choquée. Elle avait été notamment offusquée par le sort réservé aux femmes soumises qui, à ses yeux de néophyte, semblaient avoir perdu toute dignité et tout amour-propre pour être traitée comme du bétail dont leurs « Maîtres » pouvaient user à leur guise. Ce qui lui paraissait inimaginable était que ces soumises soient consentantes et retirent un plaisir certain de cette situation. Totalement inconcevable !
Commenter  J’apprécie          00
À chaque va-et-vient de la verge, elle avait senti la pomme bouger dans son cul et se ficher plus profondément en elle. En dépit de la douleur occasionnée par cette double pénétration, un orgasme d’une ampleur phénoménale l’avait ravagée alors que Marc lâchait son foutre sur ses reins. La difficulté avait été ensuite d’expulser la pomme. « Accroupis-toi et force comme si tu avais envie de chier ! » lui avait intimé Marc hilare. Élodie gardait de cette expérience un souvenir horrifié.
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Christine Arven (24)Voir plus

Quiz Voir plus

Chair de poule (Goosebumps)

La nuit des ...

pantins
lutins

10 questions
84 lecteurs ont répondu
Thèmes : peur , horreur , monstreCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}