Citations de Candy Adley (15)
Peu importe ce que l'avenir nous réserve. Je plonge en chute libre avec lui, sans en craindre les conséquences, sans avoir peur de la violente douleur de l'impact.
... À toujours vouloir tout contrôler, on laisse passer le temps sans le vivre.
Son empreinte s'imprime plus profondément encore que l'encre sous ma peau. J'aimerais qu'il me soigne de l'intérieur, qu'il sauve ce qui peut l'être encore.
Aimer, détester. Ce sont deux mots opposés pour exprimer un même sentiment: tu comptes pour moi.
Je suis captivé, bouleversé. Plus je sombre dans les profondeurs inaccessibles de son regard, plus j'ai l'intime conviction qu'elle est en mesure de lire en moi. L'équilibre sur lequel j'ai construit mon existence est en train de vaciller sous les prunelles ardentes de cette jeune femme.
Les secrets enfouis trop profondément finissent toujours par pourrir.
Son empreinte s'imprime plus profondément encore que l'encre sous ma peau. J'aimerais qu'il me soigne de l'intérieur, qu'il sauve ce qui peut l'être encore.
Gwen...À toujours vouloir tout contrôler, on laisse passer le temps sans le vivre.
Les frissons, c'est juste de la chimie. Comme un Mentos dans une bouteille de coca. Rien de plus qu'une réaction intense et immédiate de deux composés incompatibles... mais qui pourrait tout faire sauter.
Je recherche quelgue chose que je n'ai pas ressenti depuis trop longtemps. Une connexion. Pas seulement des corps, mais aussi des esprits. Une force qui te secoue dans tous les sens avant même de te toucher. Un truc qui balaie tout sur son passage et te fait douter de tes propres certitudes.
J'aperçois brièvement le grondement d'une colère sourde, l'aigreur d'une douloureuse tristesse, les fêlures que laissent les regrets à l'âme de ceux qui les éprouvent. Toutes ces émotions qui s'emmêlent, se chevauchent, s'enchevêtrent les unes aux autres, semblables aux vagues d'un océan en pleine tempête.
Les choses finissent toujours par s'arranger, tu sais... Il faut y croire, sinon à quoi bon ?
Je peine à contrôler la vague d'excitation qui m'envahit.
Ce besoin constant que j'ai de m'unir à cette femme est de
plus en plus fort. Je suis devenu dépendant de sa présence.
C'est terrifiant. Merveilleux.
Elle est ma prison, ma liberté.
Mon poison et mon remede.
Mon enfer... et mon paradis.
Nous aurons le temps de parler, de nous expliquer, de
nous engueuler ou même de nous détester.
Mais là, maintenant. Il est simplement temps de
s'aimer.
Chapitre 3 :
Amanda
«… Je poursuis sur le même ton :
— Commencez par arrêter de reluquer mes fesses à longueur de journée, ensuite nous pourrons parler de respect.
Hein ? Mais d’où ça sort, ça ?
Il tousse, se relève, s’approche de moi.
Trop proche.
— Si vous ne les balanciez pas constamment sous mon nez, Amanda, je ne passerais pas mon temps à les reluquer.
— Ah ouais ? Et qu’est-ce que je suis censée faire, d’après vous ? Me mettre une énorme pancarte sur l’arrière-train qui dit «Lève les yeux, connard» ?
— Mettez plutôt une pancarte sur votre bouche qui dit : «Voilà pourquoi mon petit ami a préféré ma mère.»
Il a osé, l’enfoiré.
Je recule d’un pas.
Je ne sais pas ce qui est le plus douloureux entre ses mots blessants ou le fait que ma génétrice lui en ait parlé.
— Alors ça, c’est digne du plus gros salaud que la terre n’ait jamais porté. …»
![](/couv/cvt_Mon-boss-est-un-parfait-connard_4034.jpg)
Prologue :
Amanda
«… Les effluves de son parfum se sont envolés jusqu’à mes narines tandis qu’il s’est approché de moi. Cette senteur est beaucoup trop raffinée, trop délicate, pour un homme comme lui. Il devrait porter quelque chose de plus amer. Et piquant. Déstabilisée un court instant, je me refuse à me laisser marcher dessus et me retiens de lui balancer mon verre d’eau dans sa sale gueule d’enfoiré sexy.
C’est une blague ? Pour qui me prend-il ?
— Avec tout mon respect, j’ai déjà été engagée par M. Kerry ; je ne pense pas que vous ayez votre mot à dire.
— Vous savez, personne n’est irremplaçable. Ni vous ni moi. Alors, d’après vous, qui de nous deux Alexander décidera-t-il de remplacer s’il y a incompatibilité professionnelle ? Son ami et chef de projet qualifié… ou sa délicieuse assistante ?
Prête à lui renvoyer une réponse bien sentie, je me ravise en apercevant notre supérieur revenir prestement. Je ravale ma fierté et mes envies de meurtres, sans même une goutte de vin pour aider à faire passer le tout.
Ce mec est peut-être parfait, vu de l’extérieur, mais c’est surtout un piutain de connard ! …»