Citations de C. S. Quill (727)
Tu es intolérant à la tristesse du moment que tu l'estimes inutile. Mais les autres ont le droit de souffrir aussi. Même à cause d'un coeur brisé.
C’est le monde à l’envers avec elle, j’ai d’abord craqué pour sa personnalité, et c’est seulement maintenant que je prends pleinement conscience de sa beauté.
Notre amitié a pris un virage sec, et c'est Lane qui est au volant. Un foutu chauffeur qui ne parle pas, ne me donne aucune indication sur l'itinéraire et la destination finale.
-Lois Lane, mec. Tu pouvais pas lutter, m'assène Adam en haussant les épaules.
- T'es amoureux d'elle, mon pote, répète Carter en souriant T'es le dernier à l'avoir capté, mais je suis sûr que c'est arrivé à la seconde où tu l'as trouvé dans l'escalier. Comment t'expliques le fait d'avoir laissé une fille squatter ton canapé pendant des mois ? il argue sans se démonter.
- Le canapé, soupire Lewis. C'est une honte.
-...
Parce que les gens ont cette faculté insupportable à oublier. Dès que je prends une photo, j'arrête le temps. Je capture le moment pour que personne n'oublie. Jamais.
C'est souvent ce qui est caché qui se révèle être de toute beauté.
Il faut que tu épouses cette fille, Lane ! […] Vous appellerez vos enfants Lex et Luthor et vous aurez un labrador nommé Clark !
Un, deux, trois, je vais te casser le bras.
Quatre, cinq, six, je vais te fendre le coccyx.
Sept, huit, neuf, ja vais t’éclater comme un œuf.
Dix, onze, douze... c’est la lose...
Cette nana détient mon cœur, elle aura aussi ma peau. Apparemment, je suis maso, parce que je la colle à mon flanc, embrasse sa tempe et me concentre sur la rencontre.
- Je savais que tu étais un psychopathe, elle rétorque en me pinçant le flanc. Heureusement que j'aime vivre dangereusement.
- Heureusement que je t'aime, je marmonne sans réfléchir.
- T'as dit quoi ?
- Heureusement que je t'aime bien, je corrige.
Pendant une seconde j’ai cru que mon canapé t’avait bouffée. Je viens de lui passer un de ces savons !
Elle est parfaite. Amy est la fille qu'il me faut quand j'ai besoin de mettre en veilleuse le pression perpétuelle qui m'habite. Elle est imparfaite. Comme un écart de conduite qui assouplit la rigueur que je m'impose et me donne un peu d'air.
- Rataputainokcavadefuccck !
- Qu'est-ce qu'il a dit ? s'enquiert Lois sur un timbre léger.
- Je ne suis pas certaine d'avoir bien saisi, répond Amy en serrant un peu plus fort.
- Tu m'as ouvert les yeux sur l'amouuur !
Tout le monde me dévisage, j'entends même l'un d'eux en perdre sa fourchette.
- Ok, là, tu as serré trop fort, balance Carrie.
(page 533)
"— Je veux quelqu'un qui soit tellement fou de moi qu'il utilisera ses pouvoirs pour me sauver la vie alors que c'est interdit." (p.101)
Chaque fois que ma bouche revient sur la sienne, c'est comme si je reprenais mon souffle.
Je suis encore blottie contre lui quand le sommeil fait trembler mes paupières. Avant de sombrer dans mes rêves, j'imagine à quoi ressemblerait un quotidien comme celui-là. C'est très facile, parce que mon cœur est inspiré comme il ne l'a jamais été.
Les petites amies ça fait chier ! Et pourtant … je la veux autant que le reste. Amy Hitman. Il n’y a rien de plus improbable, mais elle représente tout ce qu’il me faut.
-Qu’est-ce que tu penses de cette fin alternative ?
-Globalement, je la trouve affreusement fleur bleue. Où est le cul auquel tu m’as habituée ?
-Pardon ? je m’étrangle avec ma salive. C’est toi qui te plains depuis le début que je manque de romantisme !
-Ouais, eh bien, il y a quand même un fossé non négligeable entre un gars romantique et un mormon ! Le cul, merde ! Tu m’as induite en erreur tout ce temps.
Elle fait une pause théâtrale avant de reprendre :
-C’est une honte.
Je secoue la tête de tous les côtés pour trouver un ordre et un sens a tout ce qu’elle raconte.
-Tu… Attends, première chose : tu vas arrêter de traîner avec Lewis.
-Ça me parait compliqué, elle ricane en haussant les épaules.
-Deuxième chose… Compliqué ?
-Hum, Hum, elle acquiesce en souriant. Vas-y, continue, j’adore t’écouter me donner des ordres que je ne respecterai jamais.
J’ai laissé ses problèmes s’agrafer à mon cœur, je me suis enfermée dans mes livres regorgeant de belles histoires rassurantes qui finissent toujours bien, j’ai combattu dans mon quotidien tout ce qui ressemblait de près ou de loin à une faiblesse amoureuse.
J'avais tort, l'amour se conjugue au passé, au présent et au futur. Au pluriel.