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3.6/5 (sur 55 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 26/08/1932
Biographie :

Bernard Michal a été notamment journaliste politique, grand reporter.

Il commence sa carrière de journaliste à Paris-Presse, puis il est nommé chef du service politique à L'Aurore, Le Parisien libéré, Historama, Investir.

Il est auteur producteur d'émissions historiques à TF1.

Il dirige par ailleurs la rédaction de nombreux livres d'histoire.
Il a dirigé et présenté Les grandes énigmes du temps jadis, et Histoire du drame algérien publiés chez Omnibus.





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Bibliographie de Bernard Michal   (154)Voir plus

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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
Dans son premier discours , Franco annonce la suppression des élections qui, dit il, " seront remplacées par une meilleure façon d'expliquer la volonté du peuple".
Il supprime du même coup le droit de grève et déclare les syndicats hors la loi.

Tout le pouvoir est autoritaire, sans contrepoids institutionnel.L 'Eglise en bénéficie. Franco restaure son ancienne puissance : les évêques se rangent derrière lui.
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Camarades des Brigades internationales, s'écrit la Pasionaria, vous pouvez partir la tête haute. Vous êtes l'Histoire , vous êtes la légende, vous êtes l'exemple héroïque de la Démocratie, solidaire et universelle !
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La révolution sera toujours un crime et une folie tant qu'existent la loi et la justice.
Mais elle est toujours juste quand domine la tyrannie.
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tome 1 la capitulation :
Cependant, Napoléon III confie une soir à un député : " Je ne suis pas de votre avis, monsieur, je ne me félicite pas de la guerre. J'ai fait tout ce que je pouvais pour l'éviter. C'est une chose terrible que la guerre, même quand on est sûr de la victoire. Et on n'en est jamais sûr..."
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Après les accords de Munich, Staline joue, sans hésiter, la carte hitlérienne.
Il quitte le masque du révolutionnaire international et se lance furieusement dans le chauvinisme.
Pour négocier plus facilement avec Berlin, il jette sur le marché la peau de la République espagnole.
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Ce n'est pas l'église qu'on incendie, le curé qu'on éventre, proclame un pretre à la radio communiste, mais les symboles de l'aliénation de notre Eglise à l'oligarchie, aux responsables de l'exploitation des hommes.
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En vérité, je n'aperçois dans son action ni doctrine ni grand dessein qu'il poursuivrait avec continuité. Tout au plus s'attache-t-il à défendre des conceptions dépassées.
Il est, par contre, dans la politique quotidienne un tacticien d'une exceptionnelle et incontestable maîtrise. Il est, au sens courant du mot, un grand diplomate, mais plus par la variété des moyens qu'il emploie que par la grandeur de l'objectif qu'il se donne. Il dissimule ses intentions, les dévoile soudain, généralement avec éclat. Il jette le trouble dans l'esprit de ceux avec qui il négocie, usant tout à tour d'une certitude hautaine, d'une bien-veillance désabusée ou d'une grand brutalité. Il est un maître de l'équivoque et se meut avec aisance au milieu des malentendus qu'il provoque (...)
Il est enfin sans pareil pour donner de l'importance à ce qu'il fait et pour cacher derrière son assurance les fluctuations de sa pensée.

Paul-Henri Spaak; Combats inachevés.

1498 - [p. 182] tel qu'ils l'on vu ou connu
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Un homme, chargé pour le monde entier de l'honneur que donne le souvenir de la plus grande fermeté dans le plus grand malheur, et uniquement soucieux du destin de la nation, a reçu des Français, depuis sept ans, la charge de ce destin. Il peut l'assumer encore, avec sa gloire et ses faiblesses. Tout ne va pas bien pour tous, loin de là. Et il ne s'agit pas de savoir si les choses continueront ainsi, il s'agit de savoir comment elles changeront. Il s'agit de l'avenir. Si je ne me souviens pas que le général de Gaulle, en 1958, ait quémandé les voix des députés, je me souviens qu'il m'a dit, assez tristement, à l'hôtel Lapérouse : « Et peut-être aurai-je la chance de revoir une jeunesse française... »

André Malraux (Discours du Palais des sports, 15 décembre 1965)

1433 - [p. 182] tels qu'ils l'on vu ou connu
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Chez les soldats de Versailles, comme chez leurs adversaires, une véritable hystérie va crescendo. Ils sont entrés dans Paris perplexes et circonspects, pas toujours très fiers de la mission qui leur était confiée. (...) Mais, au troisième jour de la semaine sanglante, les Parisiens de la Commune, ce sont ces hommes farouches qu'il faut affronter impitoyablement sous le feu des barricades. (...). Ce sont enfin les incendiaires du patrimoine national. Pour ces Français si attachés aux pierres de leur pays, si conscients de la valeur des choses, jeunes recrues ou officiers de carrière, ce crime-là est impardonnable. Les Parisiens eux-mêmes ne le pardonneront pas aux communards.
L'incendie de Paris demeure à tout jamais la tache qui souille leur cause.
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Je vis entrer, avec une aisance calme et même placide, un homme dont la taille, la largeur, la carrure avaient quelque chose de gigantesque... Il était tout d'une pièce. Il l'était dans sa personne physique, que chacun de ses mouvements semblait déplacer tout entière sans frottements ; il l'était dans son comportement moral. L'homme qui se présentait ainsi, qui me dévisageait si tranquillement, qui me parlait de sa voix lente et mesurée, ne pouvait, de toute évidence, être occupé à la fois que d'une idée, un dessein, une croyance; mais alors il devait s'y donner absolument, sans que rien d'autre entrât en balance.

Léon Blum, Souvenirs.

1440 - [p. 185] tels qu'ils l'on vu ou connu
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