Arina Tanemura

Mon coup de coeur se confirme. J'ai énormément aimé le traitement des émotions des personnages, surtout de Tokita. A. Tanemura met en avant des réactions très adultes chez ses personnages qu'elle oppose avec ceux moins réfléchis des adolescents. La dichotomie entre les deux est bien jouée, on a du mal à choisir entre la fougue de la jeunesse et la maturité des adultes. Bonus : l'interview à la fin.
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Une jolie surprise encore de la part de cette auteur qui arrive à nous livrer un josei empli d'une grande douceur et naïveté comme elle sait si bien le faire. L'idée de prendre une jeune femme vierge de 31 ans qui voudrait recommencer sa vie est touchante. Certes l'histoire est classique et reprend les sujets chers à l'auteur mais cela fonctionne très bien, et j'aime toujours autant son dessin.
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Aaah Chikage... Rien à faire, je n'arrive pas à m'attacher à ton personnage. Parce que tu es l'adulte, la trentenaire que je ne souhaite pas devenir. Et pourtant j'adore ton côté enfantin, parce que là, j'arrive à m'identifier à toi.

C'est drôle à quel point une même personne peut nous apparaître sous deux personnalités différentes. On voit que Chikage a beaucoup plus confiance en elle lorsqu'elle retrouve son corps d'ado, et je trouve dommage que cette expérience ne lui apporte par d'évolution (pour le moment) lorsqu'elle retrouve son âge réel. Elle continue de se renfermer et montre rarement ses émotions. Sauf lorsqu'elle voit Haru.



I Dream Of Love continue avec ce tome 2. J'ai des sentiments assez contradictoires à son propos. J'aime bien l'histoire, j'aime le fait qu'il y ait un élément fantastique dans un récit plus adulte, même si Chikage n'arrive pas à me convaincre. Le « Magical Girl » pour adulte, c'est assez original en soi. Mais bon, comme je disais, j'ai du mal avec Chikage, je ne sais pas encore trop où Arina Tanemura va nous emmener. Par exemple, j'aime bien Hibiki et Akari (Chikage ado), mais quand j'imagine Chikage (adulte) et Hibiki, ça me mets un peu mal à l'aise parce que je les trouve mal assortis (comme cette fois où ils se croisent dans le tome 1, lorsqu'Hibiki cherche Akari-qui-s-est-retransformée).

Par contre, aucun problème avec Tokita, qui a ma préférence. Et là, c'est le côté que j'aime beaucoup dans le manga : on inverse les rôles, comme le dit la mangaka. Dans ce tome 2, on voit la relation qu'entretenaient Chikage, Tokita et Haru (mais moins en ce qui le concerne, on verra sans doute cela plus en profondeur dans les autres tomes...). Tokita se sentait très seul, laissé de côté par ses camarades de classe, avant de devenir ami avec Chikage et Haru. Chikage l'a sorti de sa solitude, et on a ici le schéma inverse. C'est maintenant Chikage qui se sent seule, et Tokita qui s'efforce de la sortir de sa solitude. J'aime beaucoup cette réciprocité, et j'ai envie de voir ce développement.



On va aussi en apprendre plus sur Hibiki et sa famille. C'est marrant, j'ai parfois l'impression de lire deux histoires en parallèle, l'ambiance diffère d'un chapitre à l'autre, en fonction de sur qui est concentré le chapitre. Ou plutôt, en fonction de qui est en compagnie de Chikage à ce moment là. J'adore Tokita, mais je reconnais aussi que j'aime bien Hibiki. Même s'il est parfois un peu tordu.

De plus, c'est dans ces chapitres qu'Arina Tanemura développe le monde du spectacle, un univers avec lequel elle est plus ou moins familière quand on pense à l'excellent Full Moon Wo Sagashite (oui oui je sais, je l'ai aussi cité dans ma chronique du tome 1 ^^). J'ai lu pas mal de mangas, de shôjos, qui prennnent place dans cet univers. Ici, rien de nouveau.



La fin du tome est intrigante, un personnage refait son apparition (J'avais troooop l'impression de lire le tome 3 de Full Moon, avec Wakaöji qui se pointe en tant que producteur xD), et j'ai hâte d'en savoir plus sur ce dernier ! J'ai surtout hâte de savoir où l'auteure va nous emmener. Au moins, on ne peut pas dire que ce manga est prévisible ! (du moins, pas comme les shôjos classiques. On est dans du jôsei et ça se voit, malgré de grands airs de shôjos).







Héhé j'ai aussi adoré le clin d’œil à Shinshi Dômei Cross (The Gentlemen Alliance Cross en français). Je ne m'y attendais pas, je me suis exclamée « Hééééé mais ce sont les proooofs !! ». J'apprécie de voir des clins d’œil d'autres mangas, ça me fait toujours sourire.





Gros plus de ce tome : la traduction d'une interview de Arina Tanemura ♥ On comprends un peu mieux ses choix au niveau du scénario (mais c'est pas ça qui me fera aimer Chikage x)).

Un premier volume touchant et facile à lire. Des personnages cools et des problèmes qui promettent d'être drôles et complexes à la fois, dans un futur proche.

Un bon shojo, où on suit une héroïne dynamique, ancienne délinquante, intégrant un nouveau lycée. Un manga rempli de gags, de beaux garçons et un triangle amoureux.

Un manga décevant par rapport à l'autre manga de l'auteur, Full Moon. Bien que l'héroïne soit attachante, nous avons cependant nettement plus de mal à éprouver de la sympathie pour celui qu'elle aime, Shizumasa, et sa meilleure amie. L'histoire est loin d'être passionnante au point d'attendre la suite à chaque volume. Il reste cependant facile à suivre donc si vous souhaitez lire quelque chose de simple mais sans plus il est fait pour vous!

Je n'ai pas du tout réussi à accrocher à cet univers. Trop vieille, sans doute.

The gentlemen's alliance cross,est le meilleur manga que j'ai lus

Arina-sama est extraordinaire



Je LOVE CE MANGa



le meilleur du monde pour moi



IL est super recommander





les personnages sont attachants,trop mignon :)





j'aime ce manga :) le meilleur



ARINAAAAAAA

Ce manga découvert lors de mes jeunes années est forcément un indispensable de ma bibliothèque. Le tout premier que j’ai lu. Ses dessins sont doux et pétillants à la fois, je les aimais tant que j’ai passé des heures et des heures à les reproduire en plus grand format (vous savez, cette époque où l’on faisait des quadrillages pour respecter les proportions ?)



L’histoire est aussi belle que triste, mêlant le deuil avec l’innocence enfantine, les caractères bien trempés des Shinigami et leur tendresse pour notre jeune protagoniste.



Un point me dérange néanmoins, point qui ne m’avait pas percutée lorsque j’avais à peine quelques années de plus que Mitsuki : l’âge. Mitsuki n’a qu’une dizaine d’année et pourtant la romance est omniprésente, entre Eichi et Takuto, plus âgés, peut être même trop âgés… je ne parviens pas à me résoudre à entacher complètement l’image que j’avais de ce récit, d’autant que ce tome, en dehors de quelques allusions, se place plutôt sous le signe de l’amitié que de l’amour … mais bon :( curieux choix

Je ne sais pas si la version manga du premier film existe au Japon, en tous cas en France on nous propose d'attaquer directement avec un titre sur le second opus de La Reine des Neiges !!!

Si vous avez aimé les 2 films et que vous voulez vous replonger dans l'ambiance en occultant toute la partie chansonnette, vous avez sous les yeux le manga qu'il vous faut !!!

On retrouve ici une version moins détaillée mais très claire des événements qui se déroulent.

Le pitch est exactement le même que dans le film, Elsa entend une voix qui l'appelle et elle va décider de la suivre afin de sauver le royaume d'Arendelle ! Elle va être suivie dans son aventure par sa sœur Anna, Kristoff, Sven et Olafffff !!!

On va alors découvrir l'histoire de leur pays, la jeunesse de leurs parents et l'origine des pouvoirs d'Elsa !

Je suis une grande fan de Disney et avoir l'opportunité de retrouver les classiques Disney en Manga je trouve ça génial.

Je crois que jusqu'à présent je les ai tous et je n'ai jamais été déçue. En plus pour celui-ci l'édition est très jolie avec une couverture scintillante et un grand format, parfait pour un cadeau de Noël de dernière minute !!!


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Cette série en 11 tomes m’a marquée quand j’étais plus jeune et j’ai pris beaucoup de plaisir à la lire et la relire. Je trouve l’histoire de ce shojo originale. Entre les secrets, les intrigues familiales, les relations tumultueuses, cette histoire de doublure et les personnages en eux-mêmes. Chacun d’eux présente des particularités, avec des caractères un peu spéciaux, ce qui offre du relief à l’histoire. Une série vraiment sympa à découvrir !

La fête de l’école démarre en fanfare dans ce quatrième tome de The Gentlemen’s Alliance Cross. Maguri, désillusionné par son amour pour Shizu, se met en quête d’un nouveau petit ami, tandis qu’Haine, aidée de ses amis, se prépare pour le bal qu’elle doit ouvrir au bras de l’Empereur.



Là où les tomes précédents avaient un potentiel indéniable gâché par un traitement superficiel, je n’en dirais pas autant de celui-ci. Je l’ai trouvé très creux, malgré la première apparition « officielle » du second Shizumasa, le vrai, à l’Académie.



Le bon côté, c’est que, s’il se posait jusqu’à présent en antagoniste, il dévoile d’autres traits de caractère, et notamment un attachement et une affection sincères pour Haine. Le problème, c’est qu’on se retrouve lancé pour de bon dans une gué-guerre entre les deux doubles, avec la jeune fille au milieu qui s’en prend plein la tête sans savoir pourquoi.



Malgré tout, elle aussi m’a agacée. Je pense qu’il y avait d’autres moyens de mettre en avant ses états d’âme, dans le volume précédent en particulier, qu’en lui faisant prendre la tangente en plein milieu du bal. C’est comme ça qu’elle veut se montrer digne de Shizu ? En le plaçant dans une position délicate, presque en le ridiculisant devant tout le monde ?



À cela s’ajoute la relation particulièrement malsaine (et pourtant, je suis très large d’esprit à ce niveau !) entre Ushio et le professeur, que je n’arrive pas à comprendre. Enfin, j’ai bien compris que la jeune fille avait des sentiments amoureux pour Haine, ça crève les yeux, mais j’arrive d’autant moins à cerner son attitude.



Heureusement qu’il y a les personnages secondaires pour remonter un peu le niveau ! Le Facteur, Maora, Maguri, Tôya… Eux sont toujours aussi sympathiques, même si Maguri mériterait également quelques claques pour (enfin) remarquer ce qu’il a sous les yeux.



Il me reste deux tomes dans ma PAL, et je ne suis toujours pas certaine de poursuivre ce manga. Je pensais m’être habituée à sa qualité en dents de scie, mais cette fois, j’ai eu du mal à déceler assez de bons points pour contrebalancer ses défauts.
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La Reine des Neiges II est une adaptation en manga du film d’animation Disney éponyme. Elsa, réconciliée avec sa sœur Anna et désormais maîtresse de ses pouvoirs, règne sur Arendelle, mais une menace plane. Alors que la souveraine répond à la mystérieuse voix qui l’appelle, elle provoque le réveil des esprits élémentaires…



Je n’ai pas vu l’œuvre originale avant de me plonger dans la découverte de ce manga (même si j’en connaissais le scénario dans les grandes lignes), et je le regrette. L’histoire est très condensée, les scènes sont résumées en trois ou quatre cases, et même si certains passages ont l’air d’être très beaux, l’émotion ne prend pas comme, j’ose le croire, ce doit être le cas à l’écran.



J’avais d’ailleurs eu le même ressenti à la lecture de Pokémon : Mewtwo contre-attaque Évolution, et ce bien que, en l’occurrence, je connaisse le film par cœur. Les dessins sont néanmoins somptueux, quoiqu’il m’ait fallu un peu de temps pour m’habituer au design d’Anna et d’Elsa.



Pour reprendre les propos d’une amie, cette œuvre est surtout idéale pour inciter les gens, et notamment les enfants, à découvrir l’univers du manga. Si vous souhaitez vous y plonger, je vous recommande seulement de ne pas faire comme moi et de regarder le Disney au préalable.
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Dans ce tome 2, l'histoire de Sakura est un peu plus mouvementée comparativement au premier tome. C'est d'ailleurs un bon point car pour le 1er j'ai trouvé que la naïveté de Sakura ne donnait pas forcément envie de lire la suite.



Dans la suite de l'histoire, malgré son jeune âge on voit qu'elle prends son rôle très à coeur et qu'elle veut surtout prouver qu'elle n'est pas un démon comme tous peuvent le penser. Le prince Aoba quand-t-a lui a un penchant pour Sakura mais est trop tiraillé (même si quelques crises de jalousie ne lui font pas de mal pour peut être ouvrir les yeux ?!)



A la fin, le suspense est assez important qui est ce jeune homme qui est prêt à tout pour rencontrer Sakura (il a l'air de savoir beaucoup de choses) ?? Elle est toujours perdue et ne comprends pas pourquoi tous les démons même ceux qui ne l'étaient pas doivent obligatoirement être tués.



Une intrigue qui me donne bien envie cette fois ci de lire le tome 3 en espérant que l'histoire soit toujours aussi captivante que dans ce tome

Olala, déjà le dernier tome. Je suis en tout cas super contente d’avoir craqué et d’avoir acheter les tomes. Je trouve que c’est vraiment un super shojo. La fin aurait pu être mieux, plus longue et plus développée, mais je ne suis pas déçue. Tous ces personnages resteront à jamais dans mon cœur. De manière générale, c’était une super série, plutôt bien construite avec des personnages magnifiques et attachants. Il y a énormément de moment drôle et choupi. De plus, le style de dessins (de très grands yeux) est parfait. Je recommande définitivement cette série.

Avant-dernier tome très bon. On sent que c’est bientôt la fin et on en apprend enfin plus sur Shizumasa et son enfance avec Takanari. Au debut, je n’aimais pas trop Shizumasa, je preferai Takanari mais bon, maintenant j’aime bien les deux. Mon coeur battait tellement vite pour eux à un moment, j'ai bien cru à l'arret cardiaque.

Ca m’a fait plaisir de lire ce tome mais il n’a pas été mon préféré. Ça manquait d’émotions, d’humour. Je pense que c’est du au fait que les problèmes familiaux de Hainé, une fois exposés, se sont résolus très rapidement et même assez naïvement. Evidemment, ça m’a fait Plaisir mais je pense que l’autrice aurait pu plus développer ce point-là de l’histoire.

J’adore ce tome, pour l’instant je pense que c’est même mon préféré. J’ai énormément rigolé en lisant ce volume, surtout au moment du rendez-vous avez Shizumasa. On voit enfin la maman de Haine dans ce volume, c’était très intéressant. C’est fou quand même comment les adultes ont a peu près les mêmes têtes que les adolescents xD

Ce volume se consacre plus à Ushio, même si on a quand même le plaisir de voir Haine se prendre la tête avec ses sentiments (elle est vraiment trop drôle). C’est un personnage que j’aime tout particulièrement et j’ai donc hâte de savoir comme ça va se passer entre elle et Haine. La fin n’est pas des plus intense car j’ai déjà lu la série il y a des années et je sais donc ce qu’il va se passer mais quand même. Je pense que pour quelqu’un qui découvre ce tome pour la première fois, ca peut bouleverser le cœur.

Quand j’ai vu l’intégral de cette série à vendre sur vinted, j’ai foncé. Je me rappelle j’avais lu cette série à la bibliothèque municipale quand j’étais plus jeune et j’avais beaucoup aimé. L’histoire est restée dans mon esprit toutes ces années donc je suis super heureuse de pouvoir les relires. Le premier tome est donc une bonne introduction. On y apprend comment le système marche dans ce lycée et on découvre un petit peu les personnages. Il y a des moments que j’ai trouvé confus, ça manquait un peu de sens mais globalement, c’est un bon tome de shojo. Hainé, la personnage principle, me fait un peu penser à un mix de Torhu et de Arisa dans fruits basket. Il y a des passages un peu niais et peu réaliste évidemment, mais rien qui ne soit choquant. Je recommande cette série à tous les fans de shojo.

4/5