Citations de Antoine Guilloppé (67)
L'heure du bisou est partout.
Le soir, avant le noir,
à l'heure des premières peurs,
pour réchauffer le cœur.
Dans cette obscurité, le jeune garçon se retrouve perdu au milieu de la banquise. Il appelle au secours mais son cri résonne dans le silence glacial de la nuit. Soudain une voix profonde brise ce silence : " Es-tu perdu ? "
Anoki sent un souffle chaud dans on dos mais n'ose pas se retourner.
Il fait froid dehors.
Anoki sort de chez lui.
Tout autour, la banquise craque.
Au loins, le blanc s'éveille.
"La jungle m'appartient.
Chaque habitant de cette forêt me connait."
Cassius a fait un rêve. Il a rêvé qu'il avait le droit de traverser le pont. Il a rêvé qu'il courait si vite que personne ne pouvait l'arrêter... " Comme suspendu à son rêve, Cassius s'accroche aux grillages de New-York. Il songe qu'il traverse le pont de Brooklyn, et poursuit son chemin en une course vibrante à travers New-York. Il songe à quel point il aime cette ville qui le réconforte, il songe aussi qu'avant, il habitait loin d'ici. Avant, quand c'était la guerre, avant qu'il ne traverse l'Océan.
Au clair de la LUNE,
la chauve-souris jaillit.
Partout
dans la nuit
résonnent ses
petits cris.
Sous l'arbre de Noël,
le bisou d'amour est doux comme du velours.
Mais le plus beau,
c'est le tout premier...
... celui du jour
où je suis né.
- Bonjour Linette, lui dit le petit crapaud.
- Bonjour Arno, lui répond la rainette.
- Je suis venu te dire que...
Mais la belle verte l'interrompt aussitôt :
- C'est toi qui sens mauvais comme ça, Arno ?
- Eh bien non, en voilà des façons ! Dis carrément que je sens le poisson !
- Mais non, mon bougon... Mais tu ne trouves pas que ça ne sent pas bon ? insiste Linette.
Ce matin, à l'heure où les zèbres vont boire, quand le soleil commence à vous aveugler...
C’est trop rigolo, au bord de l’eau, le gros prout de l’hippopotame fait s’évanouir les dames.
En hiver, elle adore se promener seule.
Elle n'a jamais peur.
Au contraire, elle préfère.
Pour tous les cœurs perdus.
Chercher, chercher encore et encore.
Et enfin, trouver.
La guerre l'avait forcé à traverser l'Océan.
Maintenant, il n'a plus peur.
La statue veille sur lui.Cassius aime cette nouvelle ville.
Elle est en lui comme un gros moteur qui ronronne.
Son souffle est chaud et réconfortant.
Malgré son air sévère,
ma mère elle est super.
Du plus profond de l'océan
son sourire est toujours bienveillant.
Dans la lumière dorée du SOLEIL,
leur amour est doux et sucré
comme le miel.
Du chocolat !
Sans hésiter, elle pose délicatement les carreaux froids sur sa langue et les sent fondre doucement.
Un bonheur.
Tel un ange blessé, King Kong prend son envol.
C'est arrivé en jouant dans l'eau,
Au bord du lac.
Sur la banquise,
où souffle la bise.
La mer est comme un miroir.
Akiko est au printemps de sa vie et l'automne arrive.