Citations de Ann Rule (179)
Ted ne correspond à aucun schéma préétabli. Nul ne peut s'intéresser à son histoire et décréter que ce qui s'est produit était inéluctable. En fait, c'était incompréhensible.
je n'ai pas encore lu ce livre, mais ce livre a l'air d'être intéressant qui parle d'une fille trop gâtée, j'ai très envie de le lire.
SONIA GUEZGUEZ
Le suicide ne constitue jamais une réponse à un problème. La vie s'améliore toujours si on s'accroche.
Dans ses récits pour adultes, l’héroïne était toujours une femme aimante mais désespérée s’efforçant d’échapper à l’emprise d’un époux cruel. Parfois la femme était atteinte d’une maladie mortelle. Ailleurs, elle était sûre que son mari projetait de la tuer.
Liysa était en quête de l’amour parfait, de l’amour sans condition, de l’amour qui n’exigerait rien d’elle et lui offrirait le monde sur un plateau d’argent.
Ce grand échalas blond n’avait peur de rien, et quelques fractures récoltées à la suite d’accidents de ski ou d’équitation ne l’avaient pas refroidi. Les yeux bleus pétillant de malice, il n’était jamais à court de blagues.
u étais mon seul ami, le seul à qui je me confiais. Pour tous les autres, je suis un cactus. Sous la pluie de tes larmes, je m’épanouis comme une fleur sur une tige épineuse.
Deux mondes se heurtaient dans l'esprit de Liysa : le premier, dans lequel elle vivait malgré elle ; le second, idéal, bienveillant, n’existait que dans son imagination.
Tout le monde pouvait commettre une erreur de jeunesse.
Sans doute Liysa a-t-elle toujours eu des secrets, sans doute a-t-elle refoulé des souvenirs. Peut-être nourrissait-elle des ambitions folles, des rêves impossibles, des frustrations nées de déceptions cruelles. Toujours est-il qu’au lycée sa personnalité réelle était encore en germe, ou alors si étouffée que personne ne réussit à la percer à jour.
Quand on apprenait par la radio locale qu’un type s’était enfui, on faisait attention le premier jour à verrouiller nos portières et nos maisons, mais le lendemain, on reprenait vite nos anciennes habitudes
Les humains ont de multiples raisons de s’entre-tuer.
L’amour peut tourner à la haine. Infidélité et jalousie empoisonnent souvent un mariage ; les émotions éclatent, brûlent comme un feu de forêt incontrôlé.
Les femmes se tirent rarement une balle dans la tête.
La vie est une question de choix.
Les professionnels font commerce de leur temps, de leur savoir, de leurs efforts, de leur expérience pour en tirer des compensations… de préférence pour de l’argent.
Chaque avocat a des rêves et des objectifs différents... Les miens tournent autour de la main tendue aux faibles, des affaires que beaucoup refuseraient pour leur difficulté, des questions légales impossibles, de la reconnaissance de l’accomplissement d’un travail difficile. Dans un sens, je rêvais d’être un héros, de participer à l’élaboration de nouvelles lois en voyant un de mes dossiers faire jurisprudence.
Quand on grandit en voyant sa mère se laisser brutaliser par son père, sans jamais cesser de l’aimer, on finit par croire que la violence fait partie de l’amour.
Le suicide ne constitue jamais une réponse à un problème. La vie s’améliore toujours si on s’accroche.
Toute investigation sur un décès est une procédure des plus délicates. Les meilleurs enquêteurs doivent toujours commencer par envisager l’homicide, ensuite le suicide, puis l’accident et, enfin, la mort naturelle. Ils arrivent sur la scène d’un désastre et se doivent de recueillir aussitôt tout ce qui pourrait devenir d’éventuelles pièces à conviction, témoignages et indices à soumettre au laboratoire – taches de sang, traces d’ADN, cheveux et fibres, marques de dents, etc. Après quoi, ils intégreront à leur enquête les résultats de l’autopsie, les analyses balistiques et toutes sortes de preuves susceptibles d’incriminer ou d’innocenter un suspect.