Pour certains, le tatouage est comme une affirmation d’une sorte de rébellion personnelle. Pour d’autres, cela correspond à des étapes de leur vie. Pour d’autres encore, c’est strictement décoratif.
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Certains veulent que leurs tatouages se voient, d’autres qu’ils soient cachés. Tous les goûts sont dans la nature, et quand je dis tous les goûts, je veux dire qu’il n’y a pas de limites à ce que les gens demandent…
Je ne me cache pas. Je me tiens à l'écart. J'ai la conscience tranquille, mais parfois ça n'empêche pas de se faire des ennemis.
La prudence, c’est quand quelque chose arrive et qu’on est prêt. La paranoïa, c’est quand on se prépare mais que rien n’arrive. Qu’on s’est imaginé des choses.
Mais de quoi est-ce que vous parlez, à la fin ?
- La mise en coupe réglée de tout et de tous. Au bénéfice de quelques-uns qui sont au-dessus des lois et se permettent tout et n’importe quoi, qui s’enrichissent au-delà de ce qui est possible et qui ne partagent rien, qui ne laissent que des miettes aux autres.
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La prudence, c’est quelque chose qui arrive et qu’on est prêt. La paranoïa, c’est quand on se prépare mais que rien n’arrive, qu’on s’est imaginé des choses.
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De nos jours, il y a pour ainsi dire plus de gens tatoués que de gens non tatoués, de plus en plus de gens y viennent, et il paraît que c’est addictif et que ceux qui commencent en veulent toujours plus…
Autrement dit, tant qu’il y aura de la peau à tatouer, je ne suis pas prêt de manquer de clients…
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Pour certains, le tatouage est comme une affirmation d’une sorte de rébellion personnelle, pour d’autres, cela correspond à des étapes de leur vie. Pour d’autres encore, c’est strictement décoratif.
Pour certains, le tatouage est comme une affirmation d’une sorte de rébellion personnelle, pour d’autres, cela correspond à des étapes de leur vie. Pour d’autres encore, c’est strictement décoratif… Certains veulent que leurs tatouages se voient, d’autres qu’ils soient cachés. Tous les goûts sont dans la nature, et quand je dis tous les goûts, je veux dire qu’il n’y a pas de limites à ce que les gens demandent…
La prudence, c'est quand quelque chose arrive et qu'on est prêt. La paranoïa, c'est quand on se prépare mais que rien n'arrive. Qu'on s'est imaginé des choses.
Mais jusqu'à quel point peut-on se tromper ?
On ne peut jamais savoir à l'avance ce qui va arriver. Le paranoïaque s'est trompé, le prudent a eu la malchance de voir ses craintes justifiées...
Mais rien n'est jamais évident. Rien n'est jamais prévisible. Les hommes d'action savent qu'en agissant, en prenant des risques, on peut se tromper, on peut faire fausse route, mais qu'agir est préférable à l'inaction...
Rien d'impossible pour les braves, rien de sûr pour les pusillanimes. De quel côté se situe-t-on ? Et que peut-on répondre à cette question avant d'avoir été confronté à sa réalité ?
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