Citations de Clarke (118)
- Où as-tu appris à lire abruto ?
- euh.. Sur les paquets de Pasta,..
Va falloir s’occuper du jardin… On commence par quoi ? Par exemple, c’est quoi le nom de ce truc ? Ça donne des fruits ? Et si oui, il y a des noyaux ou des pépins ? À peine seul, et déjà la proie de questions existentielles. Haha. Va falloir que je m’organise. Ouais. C’est ça. Je m’y mets demain. Non. Plutôt tout de suite.
Je ne sais plus trop quand ça a commencé. Au début… au début tout était normal. Au début nous étions amoureux. Puis les choses se sont mises à changer. Elle a ralenti… ou peut-être est-ce moi qui ai accéléré. Peu importe. Nos rythmes n'étaient plus les mêmes. L'écart s'est creusé, inexorablement. Pour moi, elle devenait statique ; pour elle j'étais sans cesse en mouvement. C'était il y a longtemps. Nous avons continué de nous éloigner. Moi vivant de plus en plus vite, elle ralentie, figée.
-Je suis un être détestable, sans scrupules, pervers et fainéant!
-Allons, allons avec des défauts pareils, la vie vaut toujours la peine d'être vécue.
-Ah, vous trouvez vous?! (Regarde Mélusine) Oho, Mais avec vous je veux bien la vivre...Vous habitez chez vos parents? Vous faites quoi, ce soir? Dites un peu camion?
(Mélusine le jette du pont)
Je refuse de savoir pourquoi ces bestioles ont décidé de nous envahir. Je veux juste une solution pour nous en débarrasser une fois pour toutes.
Une jeune aveugle est accusée du meurtre de sa mère...
C'est ça, avoir un enfant. Se sentir vide et inutile et, l'instant d'après, être plein. Une plénitude à craquer.
La bouche sobre rend l'esprit sain.
Cadre : Salarié à responsabilité limitée, enfermé dans un dilemme : la carrière ou les RTT.
La nuit retire son long manteau de velours nocturne et l'étend sur la corde à linge de l'horizon...
Après les guerres un mystère veut qu'il naisse plus de garçons que de filles, excepté chez les Amazones...
Même si je ne sais pas comment, je l'ai toujours su : je mourrai un seize novembre à onze heures. Ça a toujours été une certitude, une évidence et un fardeau.
Je crois que j'ai été jusqu'au bout. Au bout de ma colère. Il y en avait tant en moi, prisonnière. Il fallait qu'elle sorte, qu'elle dégorge, en cascades gigantesques. Ça fait du bien de se sentir libéré, débarrassé de tout ça.
Bien sûr que tout ça se passe dans ta tête Harry. Mais pourquoi donc faudrait-il en conclure que ce n'est pas réel ? - J.K. Rowling
Bientôt les ombres qui nous accompagnent disparaîtront à leur tour. Il ne restera que le noir. Partout.
Se concentrer pour rester réelle.
p.5.
Comment peut-on trouver la solution de problèmes dont on ne comprends pas l'énoncé, hein ?
p.43-4.
- C'est quoi pour des salades ? Tu sais même pas lire ou quoi ? c'est l'arnaque ces histoires !
- Je t'endors en lisant ou en t'assommant avec le bouquin ?
- lis ! lis ! Je t'écoute !
p.7.
- Cette bestiole fait de la magie à ta place ! Tu la prends avec toi, tu demandes, et tu peux tout faire : voler en balai, boules de feu, boules puantes… tout, quoi !
- Tout ?
- Tout.
- Mais alors… si je veux trouver un garçon, l’amour de a vie, elle peut le faire aussi ? Malazira ! Aide-moi à trouver l’homme idéal !
- UN MEC ?! ÇA VA PAS, NON ? LA GENT MASCULINE, C’EST UNE SOURCE DE PROBLÈMES EN CONTINU !! UNE PLAIE OUVERTE ! LE JOUR OÙ ON SE DÉBARRASSERA DE CES SALSIFIS EN PANTALON, ON POURRA RESPIRER !
L'apparence générale du mafioso n'a pu etre reconstituée que sur analyse des dernières images rétiniennes des quelques cadavres qui avaient toujours leur tête...