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Les enquêtes d'Erlendur Sveinsson

Série de 14 livres (Terminée). Écrite par Arnaldur Indriðason (14),
Erlendur policier à Reykjavik. Il est né en 1946.

Le duel par Indriðason
tome : 1
Le lagon noir par Indriðason
tome : 3
La femme en vert par Indriðason
tome : 7
La voix par Indriðason
tome : 8
L'homme du Lac par Indriðason
tome : 9
Hiver arctique par Indriðason
tome : 10
Hypothermie par Indriðason
tome : 11
La rivière noire par Indriðason
tome : 12
Etranges rivages par Indriðason
tome : 14

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Dernières critiques
Hypothermie

Un auteur que j'aime beaucoup, j'aime bien cette lenteur que l'on retrouve dans ses livres et j'aime bien ce policier écorché.



Ici, on est plus dans un roman psychologique que dans un polar. Certes, il y a une enquête, même deux en vérité, en parallèle mais ces enquêtes ne sont pas officielles : la première a été classée il y a des années sur la disparation d'un jeune homme, affaire jamais élucidée et la seconde, le suicide d'une femme (affaire classée). Mais suite à certains évènements, Erlendur poursuit l'enquête sur ce suicide.



Le roman aborde le deuil, la vie après la mort, la souffrance et les secrets. Comme souvent dans ses romans, on y va pas à pas, de déduction en déduction; Erlendu est obstiné, il veut la vérité. Et il l'aura.



Certaines penseront que c'est beaucoup trop lent pour un roman "policier", qu'on s'y perd dans les états d'âmes de l'enquêteur, qu'il n'y pas de rythme. C'est pas faux, mais cela explique son charme et par moment, j'aime vraiment bien cette lenteur.
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La femme en vert

Un bon livre policier qui se lit très vite,même si l’ambiance en Islande est pesante,

L’l’histoire se déroule de nos jours avec des flashbacks au moment de la seconde guerre mondiale.

Le suspense est bien mené ,géré par le commissaire Erlendur,personnage abîmé par la vie
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La voix

Quel tragique destin que celui de ce père noël retrouvé assassiné dans son petit logement au sous sol de l’hôtel dont il était le portier.

Erlendur s'installe à l'hôtel pour essayer de dénouer les fils de cette sombre histoire. Découvrant le passé atypique de cet homme, il plonge dans une histoire originale et complexe.

Consolidant en même temps les liens avec sa fille, Erlendur mène cette enquête avec opiniâtreté comme à son habitude.

Dans le silence de la neige de Noël qui tombe presque tout au long du roman, une histoire somme toute assez triste.
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Hypothermie



C'est le livre de la vie après la mort, c'est aussi le livre des disparitions mystérieuses. Leonora croit à la vie après la mort. Quand elle est sur le point de mourir d'un cancer, elle confie à sa fille unique Maria qu'après sa mort, elle lui fera un signe précis. Leonora décède. Maria détecte un jour ce signe tant attendu, venant de sa mère depuis l'au-delà. Puis, soudain, Maria est retrouvée pendue à une poutre du salon d'un chalet de vacances au bord du lac de Thingvellir. Y a-t-il une vie après la mort? Maria a-t-elle voulu y rejoindre sa mère qu'elle aimait tant?

.

Erlendur enquête de façon officieuse sur le décès de Maria, qui ne peut être qu'un suicide, même si son amie Karen n'y croit pas un seul instant. Désoeuvré, Erlendur se plonge alors dans de vieilles affaires de disparitions de personnes qui n'ont jamais été élucidées. Celle de son frère, Bergur, d'abord, quand enfants, ils marchaient sur la lande en pleine tempête. Celle de David, disparu depuis 1976 et dont le père vient toujours régulièrement questionner Erlendur. Celle d'un jeune homme qui avait quitté, en pleine tempête de neige, une fête à Keflavik. On avait juste retrouvé une de ses chaussures. Et enfin celle de cette jeune fille d'Akureyri, Gudrun, étudiante à Reykjavik, partie un jour dans sa Mini jaune et disparue sans laisser de traces. On n'avait même pas retrouvé sa voiture. Ces disparitions sont-elles des accidents ou des suicides? Pourquoi des gens en bonne santé n'auraient-ils plus le désir de vivre? Erlendur va enquêter également de façon officieuse et solitaire sur la disparition de David et de Gudrun.

.

C'est un texte très émouvant, plus roman psychologique que polar. Eva Lind, la fille d'Erlendur ne se drogue plus. Son frère, Sindri Snaer va bien. Eva essaye de réconcilier son père avec sa mère pour reformer une vraie famille. Sans succès. Le roman baigne dans une ambiance de nostalgie, Erlendur est de plus en plus obsédé par un passé qu'il ne peut pas changer. Les disparus restent disparus. Les personnes irréconciliables restent séparées. Certains crimes restent impunis. Si Hypothermie n'est pas le dernier opus publié de la série des Erlendur, c'est le dernier où Erlendur est celui qui mène l'enquête. Ce Erlendur désabusé, mais à l'esprit toujours aiguisé, n'en est que plus humain.
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Les fils de la poussière

Je n’ai pas l’habitude des polars islandais mais je me suis lancé. Et bien je n’ai pas trop aimé .. ni le style d’écriture ni l’intrigue. Beaucoup de redondance. Des personnages assez naïfs qui manquent de complexité. Une intrigue sans queue ni tête ni moral.
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Les nuits de Reykjavik

Me voilà arrivé à la moitié du chapitre 14 et je vais m'arrêter là. Cette histoire ne prends pas avec moi. C'est long, c'est mou, c'est ennuyeux.

Je n'ai pas trouvé la noirceur que je recherche quand je lis un polar noir. Je n'ai pas trouvé de profondeur à l'histoire. Je n'ai pas trouvé d'intérêt à l'intrigue. Je n'ai même pas trouvé de logique à tout ça.

C'est quand même l'histoire d'un policier qui sort le cadavre d'un sans-abris de l'eau et qui, 1 an plus tard, se réveille et décide d'aller vérifier si c'est bien un accident ou si c'est un meutre. Pourquoi ? Pourquoi maintenant ? Qu'a-t-il fait pendant tout ce temps ? Qui le lui a demandé ? N'a-t-il pas d'autres affaires à traiter dans l'immédiat ? le travail qu'il est censé avoir en tant que policier de Reykjavik, qui le fait pendant qu'il se promène tranquillement pour aller questionner des sans-abris et des anciens voisins pour satisfaire sa curiosité sur une affaire clôturée il y a 1 an ?

Toutes ces questions et tant d'autres auxquelles j'aurais aimé trouver une réponse sont toujours en suspend au 14ème chapitre. Alors peut-être que l'auteur y répond plus tard, mais je n'ai plus la patience d'attendre. Je n'attendrai pas la fin du roman pour me dire que j'aurais vraiment dû m'arrêter au 14ème chapitre. Je m'arrête maintenant.



J'avais déjà lu "Les fils de la poussière" et "Les fantômes de Reykjavik" du même auteur, qui m'avaient fait passer un bon moment sans non plus être transcendants. Avec tout le respect qui lui ai dû, je comprends de moins en moins tout le battage fait autour d'Arnaldur Indriðason et son statut de maître du polar. J'ai trouvé bien plus d'intérêt chez Bernard Minier, Nicolas Beuglet ou encore Camilla Grebe pour rester dans le nordique.
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La muraille de lave

Erlendur est toujours absent. Dans le tome précédent, nous avions suivi Elinborg et dans celui-ci, c'est le tour de Sigurdur Oli. Des 3 flics de cette série, c'est certainement celui pour lequel j'ai le moins d'attachement. Par moment, il est même carrément détestable (dans sa façon d'aduler les Etats-Unis et de rejeter tout ce qui est islandais par exemple).

Du coup, on fait un peu mieux connaissance avec lui car il va conduire l'enquête développée dans ce tome. D'ailleurs, c'est une enquête qui démarre sans en être vraiment une, puis qui va tourner au meurtre et qui va finir en apothéose financière internationale.

Comme d'habitude, c'est bien mené. Et s'il n'y a pas d'action, on ne s'ennuie quand même pas du tout. Cependant, je n'ai pas développer plus d'empathie envers Siguudur qui restera celui que j'apprécie le moins des 3 personnages de cette série.
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Le duel

Intrigue se déroulant sur fond d'espionnage. Une peu difficile à lire pour ma part, même si j'ai été jusqu'au bout. Les conflits americano- russes, les services d'espionnage et la présence d'un duel d'échec mondial impliquant les deux nations gênent pour moi la lecture et la compréhension du meurtre. Je n'ai pas reconnu la plume d'Indridason qui m'avait à l'époque fait découvrir et aimer la littérature scandinave et j'avoue que si j'avais commencé par celui-ci, je n'aurais pas lu cet auteur que j'affectionne pourtant.
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