Captivée par le début de la série, j’ai désiré la poursuivre avec le tome 2 Si loin des siens.



Le contexte est identique au précédent roman : le village de Cliffehaven, les restrictions alimentaires, les bombardements, les abris sous la tôle, Peggie Reilly, la chaleureuse hôtesse de la pension de la mer. Dans cette suite, on perd de vue les enfants qui sont délocalisés, on oublie Sally mais on garde Peggie, Ron, Jim, Cissy et Anne Reilly.



Nous retrouverons Anne dans le 12ème volet, Nous attendrons ton retour et nous gardons Cissy, comme lien ténu de la série, la jeune femme qui se rêve étoile montante ou star. Elle est danseuse dans un établissement médiocre.



En parallèle de ces personnages centraux, ma lecture s’est attachée à un nouveau personnage : Polly. Elle est mère de la petite Alice mais aussi infirmière. Par amour et sens du devoir, elle se positionne prioritairement auprès de son époux, blessé gravement. Polly sacrifie ainsi son rôle de mère avec déchirement pour espérer sauver son mari.

Le résumé du livre en dit beaucoup sur le contenu de l’histoire, trop, certainement en ce qui concerne cette famille éclatée par la guerre.



Pour ce nouvel opus, je suis toujours agréablement le fil de l’histoire mais avec un attrait moindre car le récit des aventures de Polly est assez prévisible.

C’est Cissy qui a emporté mon coeur et mon attention, ainsi que Danuta, la jeune polonaise et résistante qui a fui l’occupation allemande.

Les collines et leurs secrets se rappellent aussi à moi : Que fabriquent Jim et Ron toujours par mont et par vaux ?

Certains mystères demeurent à la fin de ce livre, questions et interrogations qui me conduisent inévitablement vers la suite des aventures de la Pension du bord de mer.



L’espoir ne meurt jamais sera donc le troisième tome de la série que je lirai… très vite.
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Ce neuvième tome est la suite de l'histoire de Mary découverte dans le tome précédent

C'est toujours un plaisir de retrouver les personnages récurrents de la Pension du Bord de mer et de suivre leur évolution.

On a l'impression de retrouver de vieux amis, perdus de vue depuis quelques temps.

Et on a toujours en fond d'histoire le contexte de la seconde guerre mondiale.

Ce sont des histoires simples dans une période difficile.

A chaque nouvelle parution de romans de Tamara McKINLEY, le résumé du nouveau livre m’interpelle et suscite ma curiosité. Je suis à chaque fois tentée de lire l’histoire selon ma motivation du moment sans prendre en compte la série et le lien entre les différents récits… Mais… mais… avouez que ce serait dommage de plonger ainsi au hasard dans le fil de l’intrigue générale !

Alors je débute là où je dois commencer avec le tome 1, Et le ciel sera bleu.



La pension du bord de mer est le lieu central de la série. J’imagine qu’on retrouvera cette maison d’hôtes tout au long des livres.

Elle est tenue par une femme courageuse et dévouée, Peggy Reilly. Au rythme des attaques aériennes allemandes, on apprend davantage sur les personnages, leurs liens et leurs évolutions. L’Histoire se déroule en trame de fond mettant en avant l’expérience de personnages divers.



Le premier tome débute avec Sally, une jeune fille de 16 ans, qui prend en charge son petit frère atteint de polio. La maman a capitulé et ne remplit pas ses responsabilités de mère, elle délègue totalement à son aînée, ne se soucie d’aucun de ses enfants jusqu’à ignorer leur départ de Londres. L’adolescente et Ernie débarquent à Cliffehaven, étrangers et isolés.



Sally est un personnage aimant, téméraire avec un don particulier pour la couture. Elle est jeune mais a la maturité nécessaire dans des conditions de guerre. Elle est l’élément central de ce premier récit. Le roman décrit aussi les tâches de Peggy, de Ron son beau-père (un personnage secondaire qui ne manque pas d’attraits), des enfants et des grandes filles de Peggy. Tout se met en place gentiment.



Ce premier tome est agréable.

La romance de Sally est assez rapide et peu profonde mais l’essentiel est là pour passer un moment de détente. Sally est un personnage attachant que l’on a forcément envie de suivre.

J’ai apprécié tous les moyens de compensation que les Reilly ont trouvé pour le handicap de son petit frère, cette volonté de l’aider à dépasser les obstacles en favorisant son autonomie.

Ce qui m’a le plus plu est le contexte historique même s’il n’est pas détaillé outre mesure. L’auteure met un point d’honneur à nous relater le quotidien des Anglais sous les bombardements.

J’ai aussi aimé lire le déroulé et les aléas vécus par le couple Martin/la fille aînée des Reilly et surtout le courage d’Aleksy, l’aviateur polonais.



BILAN : Ce fut un plaisir de lecture qui est tombé à pic, pile au bon moment dans mon parcours, léger avec des valeurs intéressantes. J’ai beaucoup apprécié cette entrée dans La pension du bord de mer.

Je pense lire chaque tome selon l’intérêt que je porterai aux personnages et à l’aventure qui les attend… certainement, un par un, fidèle à la chronologie dictée par les tomes et par Tamara McKINLEY.

Ce qui est sûr, c’est qu’il me faudra l’humeur légère, l’esprit à ce genre et l’envie de passer des instants tranquilles et doux. J’accepterai certains clichés pour un happy-end bienvenu.
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J'ai retrouvé la Pension du Bord de Mer à Cliffehaven au sud-est du Royaume Uni en 1943.

La sympathique Peggy Reilly veille toujours sur son petit monde avec beaucoup de difficultés car l'approvisionnement en nourriture est difficile.

Les bombardements sont de plus en plus nombreux. Ils continuent à se réfugier dans l'abri Anderson construit par le beau-père de Peggy.

Dans ce tome, c'est Doreen, la jeune sœur de Peggy qui occupera une bonne partie du récit.

Ses deux filles sont en sécurité au Pays de Galles. Doreen est séparée de son vaurien de mari Eddie mais les histoires avec lui ne sont pas terminées.

Employée à la défense, elle a fait la connaissance d'un marin, Archie qui fait les liaisons en approvisionnement entre l'Angleterre et les Etats-Unis d'Amérique.

Doreen et lui sont très amoureux.

Après une tragédie, elle est obligée de rejoindre la pension du bord de mer et sa sœur pour trouver du réconfort.

Un très beau tome des aventures à Cliffehaven.

Le suspense pour arriver à garder tous les personnages en vie est vraiment prenant.

L'humanité qui règne dans toute cette petite communauté reste joyeuse malgré les temps qui sont bien durs.

J'ai lu celui-ci en Archipoche mais un nouveau de la série est paru aux éditions Archipel.

Angleterre, 1940.

Polly doit laisser sa petite Alice, âgée de 4 ans, embarquer sur un bateau à destination du Canada alors qu'elle-même se rend à Cliffehaven pour être aux côtés de son mari gravement blessé.

Dans la Pension du bord de mer où elle loge, elle connaîtra la force de l'amitié auprès de la famille de Peggy, la logeuse.



Alors là, quelle mièvrerie...

J'avais déjà lu d'autres romans de l'autrice et je me réjouissais de ma lecture. Quelle déception!

Même si c'est un deuxième tome (ce qu'on découvre en l'enregistrant sur Babelio puisque la maison d'édition ne l'annonce bien évidemment pas, comme souvent malheureusement), une partie des personnages n'est présent que pour cet opus. Tout est affreusement lisse et traité avec une grande superficialité. Pourtant, le contexte se prêtait bien pour un beau roman. Nous sommes sur les côtes anglaises, sur le trajet des avions qui viennent du continent pour bombarder Londres, le mari de l'héroïne est entre la vie et la mort dans un hôpital, la pension abrite une jeune polonaise qui a travaillé avec la Résistance française avant de se réfugier de l'autre côté de la Manche, la cadette de la famille de la logeuse est aux prises avec un patron de music-hall malhonnête, la petite fille de l'héroïne a embarqué sur un bateau pour rejoindre le Canada à travers un océan où les sous-marins abondent... Bref, il y avait tant et tant de point d'accroche pour dérouler quelque chose de grand.... et rien.

L'autrice se contente d'enfermer régulièrement les pensionnaires quelques heures dans un abri Anderson lors des alertes, il y a bien quelques vitres qui explosent sous le choc des bombes mais comme tout ce petit monde prend régulièrement le temps de s'asseoir autour d'une tasse de thé, il n'y a pas vraiment d'ambiance dramatique. Je ne suis jamais parvenue à être touchée par le personnage de Polly à qui il arrive pourtant pas mal de trucs bien moches parce que ce n'est pas vraiment construit. Aucun des éléments forts de l'intrigue n'est exploité, les gens deviennent amis comme par enchantement, un personnage attend un bébé et à part le moment où l'on apprend l'info et le moment où l'enfant nait, on a carrément oublié ce "détail"...

Bref, c'est presque un roman de plage tant on peut le lire avec seulement deux neurones actifs. Je ne vais bien entendu pas poursuivre la série mais ne vais pas me détourner de l'autrice qui m'avait enchantée avec d'autres ouvrages qu'elle plaçait sur sa terre natale.

1941, Julie est sage-femme va débarquer à Cliffehaven dans la famille Reilly après avoir perdu presque tous les siens.



Vous le savez, une fois par mois, je prends le chemin de la pension du bord de mer vécu délectation. Cette fois encore, je ne reviens pas déçue. J'ai adoré les retrouver avec leur bienveillance et leur accueil. Il voient débarquer Julie, une jeune femme volontaire et courageuse.



On avance doucement dans la guerre et Cliffehaven est plus que jamais un couloir de passage des bombardiers allemands mais la ville garde la force de lutter pour rester en vue et maintenir un semblant de normalité.



Bref, vivement le mois prochain que je découvre la suite de leur vie pendant cette guerre.



Et toi tu as déjà découvert la saga?

{LECTURE 2024-50} La pension du bord de mer T3 : L'espoir ne meurt jamais de Tamara McKinley chez Archipel



Juin 1940, le père de Rita,17 ans, est parti au front. Celle-ci peut cependant compter sur le soutien des habitants de la petite bourgade côtière de Cliffehaven mais aussi sur sa force.



C'est un tome qui se passe quasi en même temps que le second. Différent puisqu'il axe sur une habitante de la bourgade. Peggy est absente en grande partie de ce tome mais nous retrouvons néanmoins les personnages attachants de la pension.



J'ai aimé découvrir un peu plus largement Cliffehaven. La guerre s'intensifie et l'entrée en guerre de l'Italie amorce aussi une période noire pour les ressortissants italiens vivants là-bas. J'ai trouvé Rita, très attachante malgré la possessivité de Louise. Une jeune fille qui malgré les épreuves de la vie garde la foi et la force.



Une plume toujours agréable et une lecture addictive, on aime avec notre groupe de LC se retrouver dans l'ambiance chaleureuse de ce village de la côte anglaise.



J'ai hâte de découvrir le prochain tome.



Bref, roman historique en période de guerre dans la chaleur de la pension du bord de mer.

Une saga que j'apprécie particulièrement, nous en sommes ici au 8ieme tome et celui-ci est consacré au personnage de Mary.

Ce que j'aime dans cette série, c'est que certains personnages sont récurrents et se fondent dans l'histoire de l'Angleterre pendant la seconde guerre mondiale.

Chaque tome peut être lu séparément surtout qu'un récapitulatif est égrène au fil des pages.

Ici, on découvre de la gentillesse, de la générosité, de l'accueil, bref tout ce qui fait que l'on se sent particulièrement bien à la Pension du Bord de mer.