Alice, de retour d'Irlande, soigne son trouble post-traumatique et reprend ses études dans le Vermont. Le Week-end, elle va retrouver son ami Duncan et son frère Adam à New-York ; Sa mère refait sa vie.
Entre son intrépide frère Adam et son père, tous deux rentrés du Chili, le torchon brûle.
Dernier volet des péripéties de la famille Burns, cette histoire ne manque pas de surprises ni d'une nouvelle tragédie. Un épisode ou règnent incompréhension, arrangement troubles, ambiance familiale conflictuelle, trahison et espoirs déçus ...
Douglas Kennedy nous livre une belle étude de personnages et une critique acerbe de la société américaine des années 70.
Commenter  J’apprécie         30
On ne choisit pas sa famille, c'est "La Symphonie du Hasard" qui dicte les réalités. Tel est le thème des trois volets nous faisant découvrir La famille Burns. Dans ce premier volet, Alice ses deux frères Adam, Peter et les parents ont quitté NYC pour aller vivre à Old Greenwich.
Alice, évoque ses années difficiles de lycée et devient une étudiante brillante savourant sa liberté. Aux années soixante légères vont succéder les années soixante-dix tapageuses pour faire exploser toutes ces familles qui croyaient encore au rêve américain…
Alice a 44 ans quand elle raconte cette histoire, malgré ce coté flash-back assez dérangeant, j'ai apprécié les talents de conteur de Douglas Kennedy. Il a l'art de nous connecter à ces personnages pour le moins très typés.
Commenter  J’apprécie         53