Ce tome 2 est une pépite 😆 le restaurant avant la fin du monde, la colonisation d’une nouvelle planète et le besoin d’établir une politique fiscale avant de faire du feu… mais au secours 😂 ils sont complètement frappés mais j’adore ! Fous rire garantis !

Encore une très bonne recommendation de mon frère (vous ai-je déjà parlé de lui ?) ! 😄

Ne cherchez pas à réfléchir, ne cherchez pas non plus du sens là où il n’y en a pas, car ce chef d’œuvre est un vrai condensé de pur délire (au sens propre, pas figuré !), d’humour anglais loufoque à la MontyPython, dans un univers space opera / SF !



Vous apprendrez notamment que l’objet indispensable de tout astrostoppeur est une serviette de bain ; que, d’après le Guide du Routard Galactique, la Terre est “globalement inoffensive” ; que la Terre est gouvernée par des souris ; et que la réponse à la question ultime sur le sens de la Vie est 42, mais que la question elle-même est encore à définir.



Ah et il y a Marvin. Marvin est un robot dépressif en pleine crise existentielle. Il n’est pas assez reconnu dans ses compétences et il demande en vain à ce que ses fusibles soient changés. Et il est vraiment hilarant ! (Robot que j’ai dessiné en 1ère slide 🤖)

Ce bouquin m’a fait vivre des fous rires dans des transports en commun… alors, foncez (et déconnectez votre cerveau 🧠) !

Ford Prefect, un extra-terrestre provenant du système de l’étoile Bételgeuse et travaillant à l’écriture du guide du voyageur galactique est pris depuis une quinzaine d’année sur Terre. Avec son ami terrien Arthur Dent, ils embarqueront à bord d’un croiseur Vogon alors que la terre va être détruite. Aux alentours du système de l’étoile de Barnard, ils feront la rencontre de Zaphod Beeblebrox, Président du Gouvernement Impérial Galactiquevet cousin de Ford, et de Trillian, la copine de Zaphod. Tous ensemble (et accompagnés de deux souris et d’un robot dépressif et paranoïaque nommé Marvin), ils iront sur la planète Magrathea.



Ce livre est complètement loufoque. Il contient des noms ou des mots très compliqués à lire et à prononcer.

L'humour omniprésent est de très bon goût !

Je regrette le scénario un peu trop simpliste, l'auteur a probablement imaginé son histoire au fur et à mesure de la rédaction du bouquin.

Le vocabulaire scientifique inventé est beaucoup trop abondant (et complexe) ce qui vous perdra au fil de la lecture.

Mais j'ai bizarrement bien aimé. Je dis bizarrement car en général je n'aime pas trop les livres de SF. Donc bravo à l'auteur.

Après la fantasy parodique, et les Annales du Disque-Monde qui font mon bonheur, ponctuellement, depuis plusieurs années, il était temps que je me mette à de la SF parodique. Quoi de mieux que de me lancer avec un classique ?



Et je comprends mieux, en fermant ce premier tome, ce qui fait de la série de Douglas Adams un classique du genre : non seulement c'est totalement barré, avec des personnages et des situations tous plus truculents les uns que les autres, avec la petite pointe de non-sense, par ci par là, qui lie avec brio le tout, mais en plus l'intrigue, malgré une impression de gros bazar intergalactique, se tient, et donne largement envie de lire la suite, alors que le dénouement de ce premier tome se termine vraiment sur une note de reviens-y assez immédiat.



Verdict : découverte réussie, et les 4 autres tomes déjà dans mon pense-bête. Dommage qu'il n'y en ait pas plus !

Une lecture vraiment hilarante pour ceux qui apprécient le loufoque!



Ce ne sont pas seulement les dialogues, mais aussi la narration qui rend cet univers si improbable, si drôle! (la baleine...)



Un excellent moment passé autour d’étranges personnages.

Alors que je déteste la SF, et étant très éloignée de la culture geek, j'ai tenté ce livre trouvé dans une boîte à livre. Je voulais comprendre pourquoi il était une référence pour des personnes de mon entourage, plus versées que moi dans ce genre de littérature.



Et cela a été un éblouissement : j'ai été prise dans un feu d'artifice hilarant de notions loufoques pseudo-technologico-scientifiques, de tournures de phrase surréalistes, de situations incongrues et déjantées.

Je dois dire un grand bravo au traducteur.



Mon personnage préféré est le robot maniaco-dépressif Marvin, qui aura un rôle décisif sans qu'il s'en doute.



Et j'ai la réponse à une question qui me taraudait : pourquoi ce nombre 42 apparaît-il si souvent dans les conversations ou les médias ? Mais parce que il est la réponse à la Vie, à l'Univers et au Reste !!! Ouf, enfin, JE SAIS.

Pas ultra convaincu par ce livre de science-fiction mondialement connu.



Il est auréolé d'une réputation de livre extrêmement original, drôle, plein d'absurde britannique.



J'ai mis un peu de temps à rentrer dans le style d'humour, que je trouvais tomber à plat au début. Puis le rythme est plus dynamique et on se prête à rire à l'absurde de certaines situations. Mais je n'ai jamais éclaté de rire.



L'histoire est plutôt courte et on sent une critique acerbe entre les lignes des autres livres de science-fiction, se prenant trop au sérieux.



En bref, un peu déçu, je m'attendais à mieux.

Ce n’est pas sans appréhensions que j’ai entrepris la lecture de ce roman iconique de Douglas Adams qu’est Le Guide du voyageur galactique; plus tout jeune – il a été publié en 1979 – et semblant récolter des avis partagés, je me demandais ce que j’allais en penser. Premier volet d’une trilogie en cinq tomes, dès les premières pages j’ai su que j’allais apprécier ce bijou d’humour absurde qui saisit Arthur Dent à un moment fort critique de son existence, alors que sa maison est sur le point d’être démolie pour faire place à une déviation, douze minutes avant que la Terre ne soit elle-même détruite par des extraterrestres ! Arrive sur l’entrefaite son ami Ford Prefect, rédacteur pour le Guide du voyageur galactique - c’est là que l’on voit qu’il est bien pratique de connaître un extraterrestre ou deux -, qui le sauve de l’anéantissement et l’entraîne à sa suite dans des aventures intergalactiques qui vont l’amener à rencontrer des personnages que j’ai trouvé tous aussi intéressants les uns que les autres, qu’il s’agisse du Président de la galaxie Zaphod Beeblebrox, de sa petite amie Trillian ou de Marvin, le robot déprimé, qui m’a bien fait rire. Conquise par ce roman qui interroge le sens de la vie, je compte bien poursuivre la série, en espérant que le charme va continuer d’opérer.