Suite de mon exploration des cités obscures. C'est à Brüsel que ma lecture m'entraîne. Toutes le villes sont des rêves. En refermant les portes de cette cité je me suis souvenue des villes invisibles d'
Italo Calvino. Et j'ai relu à cette occasion mon commentaire de lecture. Comment n'ai je pas fait ce montage plus tôt? Oui j'ai l'univers de Schuiten et Peeters parce que cet espace ne m'est pas inconnu. J'aime Perec et Cavilno, j'aime les miroitiers du temps. Jeu de mots, d'espaces, de passages. Brüsel c'est autre elle même, cette drôle d'échappée belle.
Une architecture d'un devenir. Un possible. Un ailleurs. Un conditionnel opérant.
Folle envie de poursuivre mon exploration.
Astrid Shriqui Garain Commenter  J’apprécie         102