Ramirez par ci, Ramirez par là.
On en ferait pas un peu trop avec l'ami Ramirez alors que l'ami Ricorée semble, lui, avoir totalement disparu des écrans radar?
Non !
Que dire.
Le tout se veut une monstrueuse claque visuelle agréementé d'un scénario aux p'tits oignons.
Comme l'impression d'être face à un écran géant et de laisser dérouler un film porté par un rythme de malade, hyper visuel, projet idéal d'une future production en cinémascope, son THX, histoire que les oreilles saignent autant que les rétines et afin de couper court à toute jalousie éventuelle.
Ramirez, personnage parfaitement inconsistant dans la vie de tous les jours, saura vous caresser (en tout bien tout honneur) l'usine à endorphine de par son profil particulièrement atypique, véritable aimant à emmerdes léthales et à bombes sur talons aiguilles.
Ramirez, plus fort que les bonbons PEZ !
Désolé, j'étais faiblard sur les rimes en ez.
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