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Critique de Leschroniquesdekali
Retour à Verdens Ende pour y retrouver cette fois-ci … Bror.
Vous vous souvenez de Bror ? le fiancé éconduit du prince Hallstein au profit d'Axel White, star déjantée de Kalys.
Il est désormais président du Parlement de Bergheim à la place de son père un tantinet psychorigide. Les affaires tournent bien, un sans-faute professionnel.
Par contre, côté personnel, on est tout proche du zéro. Allez, soyons honnête, c'est le désert absolu et ça ne semble pas être du meilleur effet pour son image et les prochaines apparitions publiques aux dires des mauvaises langues.
Autant la politique, les négociations, il gère, mais les relations intimes, les premiers pas, il ne maîtrise carrément pas. Mais quand faut y aller. Une bonne fée un brin fantasque lui suggère de s'essayer au jeu de la séduction avec son canon de chauffeur, Ulrik.
Une énigme que cet homme discret aux quelques tatouages qui dépassent de son col et comme une envie de fureter en dessous pour en voir plus mais le chauffeur tient à rester professionnel.
Quel plaisir de se retrouver à Verdens Ende avec tous les personnages rencontrés dans les tomes précédents !
Une complicité s'installe entre les deux hommes et on voit lentement leur relation se mettre en place. Moi qui avais un a priori sur Bror, rapport à l'épisode du prince et son chanteur et bien, nous voilà réconciliés. Il est touchant dans son inexpérience et sa rencontre avec Ulrik aux allures de vilain garçon comme on aime va le faire s'épanouir.
Encore une fois touchée par la plume de l'auteure qui ne manque pas de fraicheur et d'humour en tissant une romance qui colle le sourire de bout en bout.
Vous vous souvenez de Bror ? le fiancé éconduit du prince Hallstein au profit d'Axel White, star déjantée de Kalys.
Il est désormais président du Parlement de Bergheim à la place de son père un tantinet psychorigide. Les affaires tournent bien, un sans-faute professionnel.
Par contre, côté personnel, on est tout proche du zéro. Allez, soyons honnête, c'est le désert absolu et ça ne semble pas être du meilleur effet pour son image et les prochaines apparitions publiques aux dires des mauvaises langues.
Autant la politique, les négociations, il gère, mais les relations intimes, les premiers pas, il ne maîtrise carrément pas. Mais quand faut y aller. Une bonne fée un brin fantasque lui suggère de s'essayer au jeu de la séduction avec son canon de chauffeur, Ulrik.
Une énigme que cet homme discret aux quelques tatouages qui dépassent de son col et comme une envie de fureter en dessous pour en voir plus mais le chauffeur tient à rester professionnel.
Quel plaisir de se retrouver à Verdens Ende avec tous les personnages rencontrés dans les tomes précédents !
Une complicité s'installe entre les deux hommes et on voit lentement leur relation se mettre en place. Moi qui avais un a priori sur Bror, rapport à l'épisode du prince et son chanteur et bien, nous voilà réconciliés. Il est touchant dans son inexpérience et sa rencontre avec Ulrik aux allures de vilain garçon comme on aime va le faire s'épanouir.
Encore une fois touchée par la plume de l'auteure qui ne manque pas de fraicheur et d'humour en tissant une romance qui colle le sourire de bout en bout.
