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Critique de Verolo
Lorsqu'Antoine emménage à St Ambroise, quartier résidentiel d'une petite ville du Jura, il ne passe pas inaperçu : son drôle de costume, son chien et surtout son vieux pickup des années 1950, font les choux gras des voisins, curieux de savoir pourquoi cet homme de 70 ans emménage ici, alors que tous, vieillissants, ne songent qu'à partir. D'autant plus qu'un promoteur très entreprenant fait le forcing pour vider le coin de ses habitants afin d'y bâtir de nouvelles constructions.
Mais dès son installation, « monsieur Antoine » s'avère très bienveillant et remet de la vie dans la quartier : il aide à la rénovation de la salle des fêtes, encourage la remise en état du terrain de basket… ce n'est pas parce qu'on a 70 ans qu'on doit se laisser aller !
Et puis il fait la connaissance de Faustine, qui est veuve et pressée par ses fils de déménager, et de Louise, une adolescente à la dérive qu'il encourage dans son désir de devenir photographe. Mais derrière son dévouement aux autres, que cache Antoine, si discret sur son passé ?
A priori, ce roman n'aurait pas dû être dans ma pile à lire. Je me suis laissé prendre par le résumé, et j'imaginais une intrigue un peu différente.
Il fait clairement partie des « romans qui font du bien », que je trouve trop « faciles », dans le sens prévisibles et interchangeables, et qui ne sont pas mes préférés. Je me suis pourtant laissé emporter par le récit, une écriture très fluide, agréable, et je l'ai lu d'une traite. Même si certaines ficelles sont trop évidentes, les personnages un peu trop typés pour jouer des rôles bien distribués, c'est un bon roman de détente, qui trouvera aisément son public.
Il a le mérite de mettre en avant des septuagénaires, rattrapés par leur âge, mais pas encore prêts à renoncer à leur jeunesse. C'est vivifiant et optimiste, ce que l'on demande à ce genre de roman, non ?
Merci à l'éditeur XO et à NetGalley pour cette lecture.
Mais dès son installation, « monsieur Antoine » s'avère très bienveillant et remet de la vie dans la quartier : il aide à la rénovation de la salle des fêtes, encourage la remise en état du terrain de basket… ce n'est pas parce qu'on a 70 ans qu'on doit se laisser aller !
Et puis il fait la connaissance de Faustine, qui est veuve et pressée par ses fils de déménager, et de Louise, une adolescente à la dérive qu'il encourage dans son désir de devenir photographe. Mais derrière son dévouement aux autres, que cache Antoine, si discret sur son passé ?
A priori, ce roman n'aurait pas dû être dans ma pile à lire. Je me suis laissé prendre par le résumé, et j'imaginais une intrigue un peu différente.
Il fait clairement partie des « romans qui font du bien », que je trouve trop « faciles », dans le sens prévisibles et interchangeables, et qui ne sont pas mes préférés. Je me suis pourtant laissé emporter par le récit, une écriture très fluide, agréable, et je l'ai lu d'une traite. Même si certaines ficelles sont trop évidentes, les personnages un peu trop typés pour jouer des rôles bien distribués, c'est un bon roman de détente, qui trouvera aisément son public.
Il a le mérite de mettre en avant des septuagénaires, rattrapés par leur âge, mais pas encore prêts à renoncer à leur jeunesse. C'est vivifiant et optimiste, ce que l'on demande à ce genre de roman, non ?
Merci à l'éditeur XO et à NetGalley pour cette lecture.
