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Critique de LoupAlunettes
Un album aux séduisantes illustrations signées Hua Ling Xu et sur un sujet qui parlera à beaucoup de lecteurs.
Les liens de famille.
L'auteure Marie le Cuziat offrira à ceux et celles qui ne sont pas très complices avec leurs frères ou leurs soeurs une petite parenthèse pour relativiser.
Quand certains s'entendentront bien et seront tenus d'un lien inaltérable (complices un jour dès tous petits, complices toujours), on pourra comprendre que pour d'autres cela soit un peu un crève-coeur de ne pas avoir approcher le mythe, de ne pas avoir cette garantie de pouvoir compter sur ses proches.
Plutôt que d'aborder le sujet d'un enfant à un autre, l'auteure fera démarrer son amère sentiment par le regard des autres.
Un grand, un plus jeune, un cérébral, un plus exoansif, un blond, un brun?
Tandis qu'un quotidien en dilletante se déroulera tranquillement comme une bobine sous nos yeux, dans la chambre qu'ils partagent, sur le même chemin de promenade, les lecteurs seront attentifs aux commérages d'autres spectateurs en filigrane et voix off, qui ne se contenteront pas que de se réjouir de voir des enfants oeuvrer avec beaucoup d'intérêts et en bonne santé.
Quand il n'y a plus rien à dire, la pensée dérive pas vrai?
Les deux garçons vivront leur petite vie d'enfant, aux caractère si différents et l'album ne s'attardera pas sur les allusions déplacées concernant les origines des deux.
Non, nous reviendrons rapidement aux questionnements réciproques des enfants qui finiront aussi par s'étonner d'être si différents et si peu complices.
Est-ce possible lorsque l'on est élevé pareillement?
La suite viendra répondre à leur interrogation, l'un et l'autre différents, certes, mais naturellement se rapprochant devant les gènes et les soucis.
Le contrat frères, soeurs, c'est à défaut cela, même si l'on éprouve pas la nécéssité de discuter et jouer ensemble, on éprouvera ce besoin rassurant de se protéger.
Avec les illustrations à la peinture pour nous inspirer l'insouciance, l'album se montrera rassurant et réconfortant, touchant.
Rien n'est jamais perdu si l'on sait donner le meilleur de soi-même avec les autres (même si ces frères et soeurs parfois nous agacent), nous ne serons jamais de la sorte n'importe qui.
Les liens de famille.
L'auteure Marie le Cuziat offrira à ceux et celles qui ne sont pas très complices avec leurs frères ou leurs soeurs une petite parenthèse pour relativiser.
Quand certains s'entendentront bien et seront tenus d'un lien inaltérable (complices un jour dès tous petits, complices toujours), on pourra comprendre que pour d'autres cela soit un peu un crève-coeur de ne pas avoir approcher le mythe, de ne pas avoir cette garantie de pouvoir compter sur ses proches.
Plutôt que d'aborder le sujet d'un enfant à un autre, l'auteure fera démarrer son amère sentiment par le regard des autres.
Un grand, un plus jeune, un cérébral, un plus exoansif, un blond, un brun?
Tandis qu'un quotidien en dilletante se déroulera tranquillement comme une bobine sous nos yeux, dans la chambre qu'ils partagent, sur le même chemin de promenade, les lecteurs seront attentifs aux commérages d'autres spectateurs en filigrane et voix off, qui ne se contenteront pas que de se réjouir de voir des enfants oeuvrer avec beaucoup d'intérêts et en bonne santé.
Quand il n'y a plus rien à dire, la pensée dérive pas vrai?
Les deux garçons vivront leur petite vie d'enfant, aux caractère si différents et l'album ne s'attardera pas sur les allusions déplacées concernant les origines des deux.
Non, nous reviendrons rapidement aux questionnements réciproques des enfants qui finiront aussi par s'étonner d'être si différents et si peu complices.
Est-ce possible lorsque l'on est élevé pareillement?
La suite viendra répondre à leur interrogation, l'un et l'autre différents, certes, mais naturellement se rapprochant devant les gènes et les soucis.
Le contrat frères, soeurs, c'est à défaut cela, même si l'on éprouve pas la nécéssité de discuter et jouer ensemble, on éprouvera ce besoin rassurant de se protéger.
Avec les illustrations à la peinture pour nous inspirer l'insouciance, l'album se montrera rassurant et réconfortant, touchant.
Rien n'est jamais perdu si l'on sait donner le meilleur de soi-même avec les autres (même si ces frères et soeurs parfois nous agacent), nous ne serons jamais de la sorte n'importe qui.
