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Critique de Ollie
1945. La guerre vient de finir et Betty, June, Madeline et Alice sont en partance pour les États-Unis. Épouses de soldats américains stationnés au Royaume-Uni pendant la guerre, elles se rencontrent dans ce bateau qui les emmènent les rejoindre. Comme des milliers d'autres femmes. Pleines de rêves et d'espoir, elles vont découvrir que la vie de l'autre côté de l'Atlantique n'est pas aussi simple.
Je dois avouer que c'est la première fois que je lis un livre en VO. En effet, j'ai déjà d'innombrables fictions en anglais mais jamais de romans à proprement parlé. Voilà, c'est fait. Et j'aime beaucoup ça surtout sur mon Kindle parce que l'Oxford Dictonnary intégré m'a été d'une grande aide pour certains mots.
Je ne suis pas vraiment une adepte des romans d'amour sur fond historique, non en fait, j'aime pas les romans d'amour tout court mais celui-là est différent. Tout n'est pas rose, tout n'est pas joli, tout ne va pas bien dans leur vie. Les quatre filles vivent de grandes joies mais aussi d'immense peines et de terribles désespoir. Elles ont des rêves mais tout ne se réalisera pas.
Il y a Betty – celle dont on parle le plus dans le roman – qui va vivre un grande perte mais continuer à avancer, il y a Alice dont le mari n'est plus celui qu'elle avait rencontré de l'autre côté de l'Atlantique, il y a Madeline dont la belle-famille n'est pas si accueillante que ça et il y a June, June dont tous les rêves se sont réalisés.
Les chapitres sont plutôt court et centré sur une des filles à chaque fois. J'aime cette alternance entre les histoires, qui permet de les mettre en parallèle. Voir ce qui va chez l'une mais qui ne va pas chez l'autre. de plus, le style de l'auteur est très fluide – bien que certaines fois un peu répétitif – sans pathos, ni voyeurisme. On suit le cheminement de ces femmes avec beaucoup de passion, on s'attachent à elles sans problème. On pleurent avec elle, on a peur avec elles, on est heureuses avec elles. L'auteure nous fait passer par tous les stades dans ce roman de quelques 300 pages.
Un joli roman pour de belles histoires d'amour qui ne démoderont jamais. Je conseille fortement à toutes les romantiques dans l'âme.
Je dois avouer que c'est la première fois que je lis un livre en VO. En effet, j'ai déjà d'innombrables fictions en anglais mais jamais de romans à proprement parlé. Voilà, c'est fait. Et j'aime beaucoup ça surtout sur mon Kindle parce que l'Oxford Dictonnary intégré m'a été d'une grande aide pour certains mots.
Je ne suis pas vraiment une adepte des romans d'amour sur fond historique, non en fait, j'aime pas les romans d'amour tout court mais celui-là est différent. Tout n'est pas rose, tout n'est pas joli, tout ne va pas bien dans leur vie. Les quatre filles vivent de grandes joies mais aussi d'immense peines et de terribles désespoir. Elles ont des rêves mais tout ne se réalisera pas.
Il y a Betty – celle dont on parle le plus dans le roman – qui va vivre un grande perte mais continuer à avancer, il y a Alice dont le mari n'est plus celui qu'elle avait rencontré de l'autre côté de l'Atlantique, il y a Madeline dont la belle-famille n'est pas si accueillante que ça et il y a June, June dont tous les rêves se sont réalisés.
Les chapitres sont plutôt court et centré sur une des filles à chaque fois. J'aime cette alternance entre les histoires, qui permet de les mettre en parallèle. Voir ce qui va chez l'une mais qui ne va pas chez l'autre. de plus, le style de l'auteur est très fluide – bien que certaines fois un peu répétitif – sans pathos, ni voyeurisme. On suit le cheminement de ces femmes avec beaucoup de passion, on s'attachent à elles sans problème. On pleurent avec elle, on a peur avec elles, on est heureuses avec elles. L'auteure nous fait passer par tous les stades dans ce roman de quelques 300 pages.
Un joli roman pour de belles histoires d'amour qui ne démoderont jamais. Je conseille fortement à toutes les romantiques dans l'âme.
