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Critique de Laparenthesedeceline


Nous nous verrons en août. Un roman inédit et posthume de Garcia Marquez, prix Nobel de littérature en 1982.

Un roman publié “en l'état” et approuvé à l'époque par l'écrivain, qui n'est pas sans de très légères incohérences que seul un oeil de lecteur avisé peut remarquer. Il n'en reste pas moins que cette histoire est très agréable à lire. Un portrait d'une femme libre.

A l'approche de la cinquantaine, Ana Magdalena Bach découvrira l'infidélité, la sienne, ainsi que la passion des corps. Mariée depuis longtemps avec l'homme qu'elle aimé, le père de ses enfants, elle glisse dans l'adultère par une “inadvertance” jamais imaginée. A partir de cette première fois, elle sera en quête d'un nouvel amant chaque année, dans le même lieu, celui-là même où repose sa défunte mère.

Au-delà de ce besoin de nouvelles rencontres, de nouveaux corps, cette quinquagénaire se cherche elle-même. S'interroge sur ses actes. Que cachent ses comportements inédits ? C'est au fil de la lecture que se dévoile la réelle personnalité d'Ana, ses peurs profondes, son dépit amoureux et un besoin inéluctable d'être en harmonie avec sa propre mère.

Un roman empreint de sensualité.
Lien : https://laparenthesedeceline..
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