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Critique de chrysalde
Voilà un livre - essai - autobiobibliographie que j'ai lu lors de sa sortie, il y a une vingtaine d'années et que j'ai relu avec plaisir ce week-end, dans le cadre du challenge plumes féminines.
Annie François y détaille en une cinquantaine de chapitres courts sa passion pour la lecture, son désintérêt, sa fatigue de lire aussi parfois.
A l'instar de Daniel Pennac et ses "dix droits du lecteur", elle nous fait prendre conscience que l'on peut abandonner un livre, que l'on peut dévorer un livre, que l'on peut sauter des pages, que l'on peut même jeter un livre, si si ...
On y retrouve quelques questions posées parfois sur le réseaux sociaux dédiés aux livres: Comment lisez-vous ? Où et quand ? Etes-vous marque-page ou préférez-vous corner l'ouvrage (horreur, malheur) ;-) ... Des pistes de réflexion sur notre façon de "consommer" la littérature.
Il y a beaucoup d'humour dans ces pages, pas mal d'autodérision également. Et surtout beaucoup d'érudition, sans que ce soit compliqué à lire.
Pour certains chapitres, elle propose d'ailleurs au lecteur de sauter quelques lignes si il est moins intéressé par le sujet traité (une longue énumération des dictionnaires se trouvant dans sa bibliothèque par exemple).
Annie François est éditrice, la lecture, le peaufinage des textes, c'est son métier, son quotidien. Que lire encore, en soirée ou le week-end pour se détendre, quand on lit toute la journée?
Que faire lors de phases de désamour livresque que l'on connait toustes?
Essayer de lire des nouvelles par exemple.
Le livre regorge de propositions de lectures, j'en ai noté quelques unes, bien évidemment, sur mon Himalaya de livres à lire.
L'autrice est décédée, elle n'aura pas l'occasion de revoir son texte et de le mettre à jour. En effet, elle ne parle pas ici de liseuse, d'audio livre ou de boîte à livre, ni de la possibilité d'écouter des podcasts par exemple. C'est donc un texte "daté" mais qui se laisse malgré tout parcourir avec attention et intérêt tant on s'y retrouve dans ses petites manies de lectrice.
C'est un essai léger, que l'on peut ouvrir et lire de façon aléatoire, c'est un essai à garder et à relire de temps en temps pour juger de l'évolution de nos pratiques, les années passants.
Annie François y détaille en une cinquantaine de chapitres courts sa passion pour la lecture, son désintérêt, sa fatigue de lire aussi parfois.
A l'instar de Daniel Pennac et ses "dix droits du lecteur", elle nous fait prendre conscience que l'on peut abandonner un livre, que l'on peut dévorer un livre, que l'on peut sauter des pages, que l'on peut même jeter un livre, si si ...
On y retrouve quelques questions posées parfois sur le réseaux sociaux dédiés aux livres: Comment lisez-vous ? Où et quand ? Etes-vous marque-page ou préférez-vous corner l'ouvrage (horreur, malheur) ;-) ... Des pistes de réflexion sur notre façon de "consommer" la littérature.
Il y a beaucoup d'humour dans ces pages, pas mal d'autodérision également. Et surtout beaucoup d'érudition, sans que ce soit compliqué à lire.
Pour certains chapitres, elle propose d'ailleurs au lecteur de sauter quelques lignes si il est moins intéressé par le sujet traité (une longue énumération des dictionnaires se trouvant dans sa bibliothèque par exemple).
Annie François est éditrice, la lecture, le peaufinage des textes, c'est son métier, son quotidien. Que lire encore, en soirée ou le week-end pour se détendre, quand on lit toute la journée?
Que faire lors de phases de désamour livresque que l'on connait toustes?
Essayer de lire des nouvelles par exemple.
Le livre regorge de propositions de lectures, j'en ai noté quelques unes, bien évidemment, sur mon Himalaya de livres à lire.
L'autrice est décédée, elle n'aura pas l'occasion de revoir son texte et de le mettre à jour. En effet, elle ne parle pas ici de liseuse, d'audio livre ou de boîte à livre, ni de la possibilité d'écouter des podcasts par exemple. C'est donc un texte "daté" mais qui se laisse malgré tout parcourir avec attention et intérêt tant on s'y retrouve dans ses petites manies de lectrice.
C'est un essai léger, que l'on peut ouvrir et lire de façon aléatoire, c'est un essai à garder et à relire de temps en temps pour juger de l'évolution de nos pratiques, les années passants.
