AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de montagworm


La vengeance est un plat qui se mange froid. Dans le cas du héros de ce roman, Edward Glyver, il se savoure au fil des années. Tout commence lorsqu'il fait la connaissance à l'université prestigieuse d'Eton, de sieur Phoebus Rainsford Daunt. D'abord son acolyte, ce dernier deviendra vite le nemesis de notre ami Eddie. En effet, Edward verra en Phoebus, celui qui lui a tout, mais absolument tout prit. A partir de là, la mécanique vengeresse se mettra en place et ne donnera aucun repos à Edward tant que Phoebus respirera le même air que lui...
Dieu sait que j'adore les romans se passant au 19è siècle, à l'ère victorienne plus précisément. Quand je suis tombé par hasard sur le résumé de ce livre ici même, j'ai su tout de suite que c'était ma came. Epoque victorienne. Secrets de famille. Question d'héritage. Vengeance. Brume londonienne et château dans la campagne anglaise. La nuit de l'infâmie n'est pas sans me rappeler l'un de mes livres préférés: La marque de Windfield de Ken Follett. Il y a plus de longueurs, quelques passages un peu lourds et en trop, mais suivre Edward dans sa quête de justice jusqu'à son apogée était très divertissant, malgré quelques frustrations quant à son manque de lucidité parfois. Contrairement à lui, je n'ai aucune vengeance à assouvir et n'ai mangé aucune soupe aux huitres après avoir commis un méfait, mais j'ai pu savourer chacun de mes repas, confinée en sa compagnie à lui, et ses noirs desseins 🙂
Commenter  J’apprécie          30



Ont apprécié cette critique (3)voir plus




{* *}