Un texte court qui est un plaidoyer contre l'apatridie.
Hannah Arendt décrit cet état comme la mise au ban de la société les personnes qui en sont touchées.
Les apatrides, en plus d'être déracinés, se voient interdire leurs droits fondamentaux et la possibilité de se reconstruire en tant que citoyens dans un pays d'accueil.
L'unique droit de l'homme est donc celui à la citoyenneté, autrement dit le droit d'avoir des droits.
On devine que cet essai vient de l'expérience personnelle de l'auteure et cela se ressent à la lecture.
Commenter  J’apprécie         20