Avez-vous vu comme la couverture est belle ? Une vieille demeure, une chouette, la lune, un chat, une jeune fille, le vent, dans une dense végétation…
C'est ce qui m'a motivée à lire ce roman jeunesse.
La couverture se déplie pour faire place à quatre magnifiques illustrations sur les maximes suivantes :
“même s'ils sont invisibles à nos yeux, nos chers disparus ne sont pas absents”,
“la mauvaise herbe est juste une plante mal aimée”,
“lorsqu'on parle aux anges, il arrive qu'on voit leurs ailes”,
“chaque fin est aussi un début, un nouveau départ”.
C'est ici la forme, mais il y a aussi le fond, que l'on découvre ensuite.
Joséphine a perdu sa mère, d'une grave maladie. Elle vit avec son père, écrivain, qui ne s'en remet pas. Ils emménagent dans une nouvelle demeure, Chanteperdrix, où Edouard, un fantôme adolescent hante le grenier. Il est aidé par Asphodèle, une chouette, pour entrer en communication avec Joséphine qui va tout faire pour lui permettre de rejoindre l'autre côté, en participant à sa lutte contre les antagonistes et en contribuant à la réalisation de sa quête.
Ce roman lie le monde des vivants et le monde des morts pour que tous puissent vivre en harmonie. On ne doit pas oublier nos défunts, mais en continuant de profiter de l'existence, en donnant tout notre amour et notre amitié, pour atteindre le bonheur.
Un beau premier roman de cette maison d'édition jeunesse, auparavant spécialisée dans les albums !
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Attirée par ce livre "ados" en librairie de par sa jolie couverture (et aussitôt acheté pour la médiathèque), je l'ai lu avec plaisir. Il y des fantômes, des animaux, qui parlent ou plutôt qui sont télépathes, une jeune fille et son papa... Une histoire rondement menée qui saura aucun doute trouver ses lecteurs.rices.
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Talents Cultura 2023 : Catégorie albums jeunesse